Points de rencontre intime entre Myanmar et Thaïlande
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Admin- Admin
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Date d'inscription : 31/05/2009
coté Birmanie
Les enfants viennent vers moi avec une plus grande liberté qu’en Thaïlande. Cette petite fille, qui me voyait pour la seconde fois, s’est jetée dans mes bras et ne voulait plus me lâcher. Elle n’a que sa grand-mère pour toute famille et m’embrassait avec une avidité si touchante que je n’ai pu retenir mes larmes. Surtout lorsque la grand-mère m’a fait signe « prends-la avec toi ».
reportage photos ici http://michjuly.typepad.com/blog/2010/05/-pas-de-choc-des-photos-.html
Admin- Admin
- Messages : 4881
Date d'inscription : 31/05/2009
Re: Points de rencontre intime entre Myanmar et Thaïlande
Les enfants viennent vers moi avec une plus grande liberté qu’en Thaïlande. Cette petite fille, qui me voyait pour la seconde fois, s’est jetée dans mes bras et ne voulait plus me lâcher. Elle n’a que sa grand-mère pour toute famille et m’embrassait avec une avidité si touchante que je n’ai pu retenir mes larmes. Surtout lorsque la grand-mère m’a fait signe « prends-la avec toi ».
En effet ça doit être dur c'est triste pour cette petite .
Marco- Localisation : Sud/Est France
Messages : 189
Date d'inscription : 01/06/2009
Re: Points de rencontre intime entre Myanmar et Thaïlande
Extrait
"Pendant ce temps, les hôpitaux qui se trouvent le long des frontières (Cambodge et surtout Birmanie), crient au secours car leurs services ne peuvent plus faire face aux vagues de migrants illégaux qui viennent se faire soigner en Thaïlande. « Nous essayons de donner les mêmes soins aux thaïs et non thaïs » disent les médecins, « mais nos hôpitaux sont en déficit et des maladies contrôlées jusqu'à présent, sont en train de se répandre à grande vitesse, comme la tuberculose par exemple. Avec des infections aggravées par la résistance aux antibiotiques, en raison du non suivi des traitements. La malaria sévit également tout le long de la frontière birmane, principalement dans la province de Tak et le district de Mae Sot, proche de Myawaddy. Le « Mae Sot général Hospital » doit faire face à un déficit de cinquante millions de bahts ». "
le reportage ici http://u.nu/3rqx8
"Pendant ce temps, les hôpitaux qui se trouvent le long des frontières (Cambodge et surtout Birmanie), crient au secours car leurs services ne peuvent plus faire face aux vagues de migrants illégaux qui viennent se faire soigner en Thaïlande. « Nous essayons de donner les mêmes soins aux thaïs et non thaïs » disent les médecins, « mais nos hôpitaux sont en déficit et des maladies contrôlées jusqu'à présent, sont en train de se répandre à grande vitesse, comme la tuberculose par exemple. Avec des infections aggravées par la résistance aux antibiotiques, en raison du non suivi des traitements. La malaria sévit également tout le long de la frontière birmane, principalement dans la province de Tak et le district de Mae Sot, proche de Myawaddy. Le « Mae Sot général Hospital » doit faire face à un déficit de cinquante millions de bahts ». "
le reportage ici http://u.nu/3rqx8
Admin- Admin
- Messages : 4881
Date d'inscription : 31/05/2009
Re: Points de rencontre intime entre Myanmar et Thaïlande
j' ai pas trouvé de smiley pour dire " je suis en colère " " je suis révoltée"
stilia- Localisation : à l'ouest
Messages : 341
Date d'inscription : 02/03/2010
Re: Points de rencontre intime entre Myanmar et Thaïlande
stilia a écrit:j' ai pas trouvé de smiley pour dire " je suis en colère " " je suis révoltée"
Pareil ,
,,, on est tjrs prêts à se plaindre de notre propre situation , mais quelle détresse devant l'avenir peut amener un grand parent à demander à ce que l'on emmène sa petite fille ???
et aussi quelle belle preuve d'Amour ...
sacré lecon de chienne de vie .
Blue Sky- Localisation : ma verte Alsace ...et partout ailleurs ??
Messages : 116
Date d'inscription : 02/06/2009
Re: Points de rencontre intime entre Myanmar et Thaïlande
Le paradis – « Kawthoolei » - à Des Moines city ??
« Kawthoolei », c’est - littéralement - en langage Karen, « un pays sans démon », une sorte de paradis terrestre auquel aspirent tous les karens qui vivent sous l’oppression de la junte birmane depuis plus de soixante ans. Pour beaucoup c’était - et c’est peut-être encore - le retour à une terre natale sublimée, avec ses villages, ses traditions, sa culture et une forme d’autonomie par rapport au régime de Rangoon. Mais ne devrais-je pas plutôt écrire « au régime de Naypyidaw », cette capitale artificielle, créée par les miliaires en plein milieu de la jungle birmane ?
la suite du reportage ici http://u.nu/42pz8
Admin- Admin
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Date d'inscription : 31/05/2009
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