Une famille Québécoise en Chine
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Une famille Québécoise en Chine
Blog - Marco Fortier sur le trottoir
KUNMING, Chine – Marco, t’es où? Tu ne donnes plus de nouvelles, on s’inquiète. Bon, d’accord, voici toute la vérité sur mon emploi du temps des dernières semaines: j’étais perdu dans la nature au Cambodge, au Laos et maintenant en Chine.
Un petit rappel pour ceux qui n’auraient pas suivi mon itinéraire récent. Je voyage depuis sept mois en Asie avec ma blonde et nos filles de 4 et 6 ans. Nous avons encore toutes nos dents (sauf Marianne, qui a eu quatre fois la visite de la fée des dents).
Je vais escamoter le Cambodge et le Laos, on en reparlera un jour, pour sauter tout de suite sur la Chine. La Chine. Quelle histoire! Celle du plus grand pays du tiers-monde qui se transforme sous nos yeux en plus grand pays tout court. L’histoire de 1,3 milliard d’humains qui sortent de la misère en une génération.
C’est la deuxième fois que je viens en Chine depuis deux ans (l’autre fois, c’était aux Olympiques de Pékin à l’été 2008) et ce pays m’inspire la même réflexion: c’est ici que ça se passe.
On ne peut qu’être abasourdi par la vitesse affolante à laquelle ce pays se construit. J’écris ces lignes de l’auberge de jeunesse de Kunming, capitale du Yunnan, la province la plus au sud de la Chine. Le Yunnan traîne la réputation de mouton noir chinois, qui se prélasse dans les rizières en fumant du pot et de l’opium pendant que le reste du pays travaille jour et nuit.
Kunming était jusqu’à récemment une paisible capitale de province où les paysans venaient payer leurs impôts. En 10 ans, Kunming est devenue Chicago (moins Obama, bien sûr). En 10 ans.
De la terrasse de l’auberge de jeunesse de Kunming, sur le toit au troisième étage, je vois une forêt de gratte-ciel. Comme Chicago, Kunming se veut un pôle d’architecture, de beaux-arts, de culture, de gastronomie, d’environnement. Oui, une ville verte en Chine. Les motos ici roulent à l’électricité. Le silence de ces dizaines de milliers de deux-roues est hallucinant.
Il faut survoler Kunming en avion pour prendre la mesure de la frénésie de la construction qui s’empare de la région. Le vert tendre des rizières s’efface sous une marée de béton déferlant des rives du lac Dianchi aux montagnes ornées de pagodes ceinturant la ville. Les nouveaux quartiers empiètent littéralement sur les terres cultivables – et cultivées. J’ai vu une paysanne labourer la terre à l’aide d’un buffle à l’ombre des grues de construction et des gratte-ciel. Elle n’en a plus pour très longtemps. Le «progrès» va bouffer son lopin de terre.
Les Chinois veulent du neuf. Que du neuf. C’est une obsession. Des quartiers complets se font raser par des bulldozers et renaissent en tours bétonnées.
Manuel, un Français installé à Kunming depuis 12 ans, m’a fait voir des photos de son ancien quartier: un dédale de ruelles se faufilant parmi des maisons de deux étages. Une vie de quartier, tout le monde se connaissait, tout le nécessaire pouvait s’acheter dans un rayon de 10 minutes de marche.
Aujourd’hui, les édifices de 10 ou 12 étages dominent le quartier.
Les prix de l’immobilier ont explosé. Les loyers ont triplé en quelques années. À 10 minutes de marche de chez Manuel, on peut manger du sushi, acheter un iPhone, visiter un concessionnaire Maserati ou Porsche, voir un film Imax. Rien de tout cela ne l’intéresse, mais c’est une autre histoire.
Les Chinois, eux, se jettent corps et âme dans cette orgie de consommation. Kunming est un centre commercial géant. Les gens de Kunming passent leur temps à s’acheter des vêtements ou à remplir leur panier chez Walmart, le cellulaire collé à l’oreille. Comme s’ils prenaient leur revanche sur les famines, les idées de fou de Mao, l’humiliation par les puissances européennes.
Pour l’instant, ce projet de société semble combler les Chinois de bonheur.
Source & photos http://www.ruefrontenac.com/marcofortier/22809-voyages-chine-carnet
KUNMING, Chine – Marco, t’es où? Tu ne donnes plus de nouvelles, on s’inquiète. Bon, d’accord, voici toute la vérité sur mon emploi du temps des dernières semaines: j’étais perdu dans la nature au Cambodge, au Laos et maintenant en Chine.
Un petit rappel pour ceux qui n’auraient pas suivi mon itinéraire récent. Je voyage depuis sept mois en Asie avec ma blonde et nos filles de 4 et 6 ans. Nous avons encore toutes nos dents (sauf Marianne, qui a eu quatre fois la visite de la fée des dents).
Je vais escamoter le Cambodge et le Laos, on en reparlera un jour, pour sauter tout de suite sur la Chine. La Chine. Quelle histoire! Celle du plus grand pays du tiers-monde qui se transforme sous nos yeux en plus grand pays tout court. L’histoire de 1,3 milliard d’humains qui sortent de la misère en une génération.
C’est la deuxième fois que je viens en Chine depuis deux ans (l’autre fois, c’était aux Olympiques de Pékin à l’été 2008) et ce pays m’inspire la même réflexion: c’est ici que ça se passe.
On ne peut qu’être abasourdi par la vitesse affolante à laquelle ce pays se construit. J’écris ces lignes de l’auberge de jeunesse de Kunming, capitale du Yunnan, la province la plus au sud de la Chine. Le Yunnan traîne la réputation de mouton noir chinois, qui se prélasse dans les rizières en fumant du pot et de l’opium pendant que le reste du pays travaille jour et nuit.
Kunming était jusqu’à récemment une paisible capitale de province où les paysans venaient payer leurs impôts. En 10 ans, Kunming est devenue Chicago (moins Obama, bien sûr). En 10 ans.
De la terrasse de l’auberge de jeunesse de Kunming, sur le toit au troisième étage, je vois une forêt de gratte-ciel. Comme Chicago, Kunming se veut un pôle d’architecture, de beaux-arts, de culture, de gastronomie, d’environnement. Oui, une ville verte en Chine. Les motos ici roulent à l’électricité. Le silence de ces dizaines de milliers de deux-roues est hallucinant.
Il faut survoler Kunming en avion pour prendre la mesure de la frénésie de la construction qui s’empare de la région. Le vert tendre des rizières s’efface sous une marée de béton déferlant des rives du lac Dianchi aux montagnes ornées de pagodes ceinturant la ville. Les nouveaux quartiers empiètent littéralement sur les terres cultivables – et cultivées. J’ai vu une paysanne labourer la terre à l’aide d’un buffle à l’ombre des grues de construction et des gratte-ciel. Elle n’en a plus pour très longtemps. Le «progrès» va bouffer son lopin de terre.
Les Chinois veulent du neuf. Que du neuf. C’est une obsession. Des quartiers complets se font raser par des bulldozers et renaissent en tours bétonnées.
Manuel, un Français installé à Kunming depuis 12 ans, m’a fait voir des photos de son ancien quartier: un dédale de ruelles se faufilant parmi des maisons de deux étages. Une vie de quartier, tout le monde se connaissait, tout le nécessaire pouvait s’acheter dans un rayon de 10 minutes de marche.
Aujourd’hui, les édifices de 10 ou 12 étages dominent le quartier.
Les prix de l’immobilier ont explosé. Les loyers ont triplé en quelques années. À 10 minutes de marche de chez Manuel, on peut manger du sushi, acheter un iPhone, visiter un concessionnaire Maserati ou Porsche, voir un film Imax. Rien de tout cela ne l’intéresse, mais c’est une autre histoire.
Les Chinois, eux, se jettent corps et âme dans cette orgie de consommation. Kunming est un centre commercial géant. Les gens de Kunming passent leur temps à s’acheter des vêtements ou à remplir leur panier chez Walmart, le cellulaire collé à l’oreille. Comme s’ils prenaient leur revanche sur les famines, les idées de fou de Mao, l’humiliation par les puissances européennes.
Pour l’instant, ce projet de société semble combler les Chinois de bonheur.
Source & photos http://www.ruefrontenac.com/marcofortier/22809-voyages-chine-carnet
Admin- Admin
- Messages : 4881
Date d'inscription : 31/05/2009
Re: Une famille Québécoise en Chine
Et comme tout cela ne leur suffit pas, ils (les plus riches à qui on accorde une autorisation de sortie et un visa de touriste ici) se ruent sur le Japon pour y faire leurs courses (catégorie grand luxe of course). Tandis que les Japonais subissent la crise économique et se serre la ceinture, les Chinois viennent réhausser les ventes (40% dand les grands magasins!) et contribuent en partie à une légère amélioration du marché.
C'est incroyable! Ils sont partout. Partout! Une amie qui travaille dans un drugstore a vu un bus s'arrêter en face de la pharmacie, tout le bus est descendu et a fait une razzia de tous les produits en quelques minutes. Un vrai nuage de sauterelles. Il ne restait presque plus rien dans les rayons...
Lors de mon dernier depart pour l'aéroport en février, on nous a prévenus que la soute à baguages de la navette aéroport ne suffisait plus à contenir tous les baguages. Les touristes chinois, bien que très riches, ne prennent pas le taxi; le coffre des voitures sont bien trop petits, pardis! Et la taxe de surcharge a l'enregistrement, ils la paie sans sourciller. Taxe ou bachish, pour eux juste un petit service rendu et récompensé...
Une ruée de Chinois à Tokyo, encore et encore.
Hier à la gare de Shinjuku, je vais acheter mon ticket au gichet automatique comme d'habitude. De nos jours, je suis encore une des rares à ne pas avoir adopté la formule carte multi-fonction rechargeable. J'aime bien le petit rituel du porte-monnaie, que voulez-vous, c'est comme ça. Donc, les quelques machines restantes sont là pour les résistants consuméristes comme moi et pour les touristes. D'ordinaire, on ne se bouscule pas. Là, ce petit coin tranquille bourdonnait de monde. Ça criait, ça se bousculait, ça brandissait des doigts accusateurs sur un panneaux de prix au dessus de leur tête, là où les caracteres chinois des noms de gares avaient été déformés à en devenir illisibles... (les caracteres japonais sont une version plus ou moins modifiée des caracteres chinois, un peu comme le français et le latin, ou plutôt l'italien).
J'ADORE! J'adore les voir faire une percée dans ce pays trop reservé, où les gens ont l'air de se retenir de pisser toute la journee. Eux, les Chinois, ils se lachent. (Ne vous fiez pas aux vidéos Youtube avec des mémés japonaises farfelues ou autres. En général, la folie est juvénile et se prend un coup de hache un peu avant la trentaine, quand ces jeunes enfilent le costume, serrent la cravate et modulent le "hai!" ,"oui" , pour chaque circonstance, comme si leur dernière année universitaire avait consisté à les accorder à la hierarchie de l'entreprise, tel un piano avant un grand concert.)
Petite anecdote amusante.
A la fac ou je travaille, il y a des prof de chinois, le chinois étant de plus en plus enseigné. Après les vacances de mai (golden week), une prof de chinois chinoise nous racontait qu'elle avait vu un politicien japonais, célèbre bien sûr, à Kyoto. Tous les Japonais se seraient contentés de faire des commentaires très discrètement. Elle, non!!! Elle est allée vers lui (entouré de ses gardes du corps). Elle ne s'est pas contentée de lui dire bonjour. Elle lui a raconté qu'elle accompagnait sa famille en visite au Japon, etc etc. Elle lui a même proposé de lui servir de guide!!! le jour où il viendrait en Chine. Les prof japonais la regardait avec des airs ahuris! ( ) Elle leur précisa que ce n'était qu'une façon de parler, que l'irréalisme d'une telle circonstance ne l'empêchait pas de maintenir un dialogue entre humains, poli et courtois.
Deux peuples voisins si différents!
C'est incroyable! Ils sont partout. Partout! Une amie qui travaille dans un drugstore a vu un bus s'arrêter en face de la pharmacie, tout le bus est descendu et a fait une razzia de tous les produits en quelques minutes. Un vrai nuage de sauterelles. Il ne restait presque plus rien dans les rayons...
Lors de mon dernier depart pour l'aéroport en février, on nous a prévenus que la soute à baguages de la navette aéroport ne suffisait plus à contenir tous les baguages. Les touristes chinois, bien que très riches, ne prennent pas le taxi; le coffre des voitures sont bien trop petits, pardis! Et la taxe de surcharge a l'enregistrement, ils la paie sans sourciller. Taxe ou bachish, pour eux juste un petit service rendu et récompensé...
Une ruée de Chinois à Tokyo, encore et encore.
Hier à la gare de Shinjuku, je vais acheter mon ticket au gichet automatique comme d'habitude. De nos jours, je suis encore une des rares à ne pas avoir adopté la formule carte multi-fonction rechargeable. J'aime bien le petit rituel du porte-monnaie, que voulez-vous, c'est comme ça. Donc, les quelques machines restantes sont là pour les résistants consuméristes comme moi et pour les touristes. D'ordinaire, on ne se bouscule pas. Là, ce petit coin tranquille bourdonnait de monde. Ça criait, ça se bousculait, ça brandissait des doigts accusateurs sur un panneaux de prix au dessus de leur tête, là où les caracteres chinois des noms de gares avaient été déformés à en devenir illisibles... (les caracteres japonais sont une version plus ou moins modifiée des caracteres chinois, un peu comme le français et le latin, ou plutôt l'italien).
J'ADORE! J'adore les voir faire une percée dans ce pays trop reservé, où les gens ont l'air de se retenir de pisser toute la journee. Eux, les Chinois, ils se lachent. (Ne vous fiez pas aux vidéos Youtube avec des mémés japonaises farfelues ou autres. En général, la folie est juvénile et se prend un coup de hache un peu avant la trentaine, quand ces jeunes enfilent le costume, serrent la cravate et modulent le "hai!" ,"oui" , pour chaque circonstance, comme si leur dernière année universitaire avait consisté à les accorder à la hierarchie de l'entreprise, tel un piano avant un grand concert.)
Petite anecdote amusante.
A la fac ou je travaille, il y a des prof de chinois, le chinois étant de plus en plus enseigné. Après les vacances de mai (golden week), une prof de chinois chinoise nous racontait qu'elle avait vu un politicien japonais, célèbre bien sûr, à Kyoto. Tous les Japonais se seraient contentés de faire des commentaires très discrètement. Elle, non!!! Elle est allée vers lui (entouré de ses gardes du corps). Elle ne s'est pas contentée de lui dire bonjour. Elle lui a raconté qu'elle accompagnait sa famille en visite au Japon, etc etc. Elle lui a même proposé de lui servir de guide!!! le jour où il viendrait en Chine. Les prof japonais la regardait avec des airs ahuris! ( ) Elle leur précisa que ce n'était qu'une façon de parler, que l'irréalisme d'une telle circonstance ne l'empêchait pas de maintenir un dialogue entre humains, poli et courtois.
Deux peuples voisins si différents!
cipiki- Localisation : tokyo
Messages : 523
Date d'inscription : 04/03/2010
Re: Une famille Québécoise en Chine
excellent récit... comme d'hab.
Pour notre avis final, sur les chinois...(mais pas définitif, d'ailleurs c'est pour ça qu'on y retourne)
Mardi 10 Février 2009
La chine nous a fait douter, on se disait que voyager pouvait être usant au point de ne pas se rendre compte de notre attitude et que c’était peut-être là le problème.....
Et bien, non! Le Yunnan, en tout cas, restera le pays des Dragons au chômage et des légendes en voie d’immersion.
Pour la simple et bonne raison qu’à peine passé la frontière, on se noie sous les “Hello”, les poignets de mains et les sourires. Alors, ce n’est pas pour le plaisir d’être reçu comme des demi-Dieu, mais de là à avoir à faire à des gens qui se disputent pour ne pas vous servir, il y a un juste milieu.
Et, nous sommes prêts à en discuter avec quiconque, pour changer de point de vue.
Mais bon, en attendant on va pas chinoiser pendant des heures.
Pour nous c’est clair, c’est perte de temps que de ‘s’échiner’ à trouver, prétextes et excuses.....
“La chinoiserie pas, le chinois pas plus!”
Aujourd’hui nous sommes dans la ville de LANG SON, VietNam, aux abords de la frontière. Nous nous sommes dirigés vers ce qui semblait être des sons de tambours, et effectivement , il y avait une fête dans un quartier de la ville. La population nous a propulsé au devant de la scène pour que nous assistions au spectacle de musique, à la danse des dragons, ainsi qu’à des prières et différentes lectures officielles. Puis Nunc a commencé à se biturer le groin avec un groupe de femmes des montagnes et ça c’est terminé avec d’autres jeunes et moins jeunes avec un alcool pas vraiment “goûtu”, mais offert de bon coeur.
Récit de notre petit passage en Chine: Yunnan, Guangxi (seulement si vous n'avez rien de mieux à faire!!!)
http://url.exen.fr/106948/
Pour notre avis final, sur les chinois...(mais pas définitif, d'ailleurs c'est pour ça qu'on y retourne)
Mardi 10 Février 2009
La chine nous a fait douter, on se disait que voyager pouvait être usant au point de ne pas se rendre compte de notre attitude et que c’était peut-être là le problème.....
Et bien, non! Le Yunnan, en tout cas, restera le pays des Dragons au chômage et des légendes en voie d’immersion.
Pour la simple et bonne raison qu’à peine passé la frontière, on se noie sous les “Hello”, les poignets de mains et les sourires. Alors, ce n’est pas pour le plaisir d’être reçu comme des demi-Dieu, mais de là à avoir à faire à des gens qui se disputent pour ne pas vous servir, il y a un juste milieu.
Et, nous sommes prêts à en discuter avec quiconque, pour changer de point de vue.
Mais bon, en attendant on va pas chinoiser pendant des heures.
Pour nous c’est clair, c’est perte de temps que de ‘s’échiner’ à trouver, prétextes et excuses.....
“La chinoiserie pas, le chinois pas plus!”
Aujourd’hui nous sommes dans la ville de LANG SON, VietNam, aux abords de la frontière. Nous nous sommes dirigés vers ce qui semblait être des sons de tambours, et effectivement , il y avait une fête dans un quartier de la ville. La population nous a propulsé au devant de la scène pour que nous assistions au spectacle de musique, à la danse des dragons, ainsi qu’à des prières et différentes lectures officielles. Puis Nunc a commencé à se biturer le groin avec un groupe de femmes des montagnes et ça c’est terminé avec d’autres jeunes et moins jeunes avec un alcool pas vraiment “goûtu”, mais offert de bon coeur.
Récit de notre petit passage en Chine: Yunnan, Guangxi (seulement si vous n'avez rien de mieux à faire!!!)
http://url.exen.fr/106948/
Béotrice- Localisation : Vaucluse
Messages : 1165
Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Une famille Québécoise en Chine
Très intéressants vos récits et expériences!
Nelfe- Localisation : BZH
Messages : 612
Date d'inscription : 01/02/2010
Re: Une famille Québécoise en Chine
Nelfe a écrit:Très intéressants vos récits et expériences!
Si c'est pour nous ...
Nelfe
Béotrice- Localisation : Vaucluse
Messages : 1165
Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Une famille Québécoise en Chine
Oui, c'est pour tout le monde! C'est cadeau!
Nelfe- Localisation : BZH
Messages : 612
Date d'inscription : 01/02/2010
Re: Une famille Québécoise en Chine
Béotrice a écrit:Nelfe a écrit:Très intéressants vos récits et expériences!
Si c'est pour nous ...
Nelfe
Hello
... et j' en rajoute une couche de
et de
Bon dimanche tout le monde
misscoconut- Localisation : Région parisienne
Messages : 362
Date d'inscription : 01/06/2009
Re: Une famille Québécoise en Chine
Béotrice a écrit:
Récit de notre petit passage en Chine: Yunnan, Guangxi (seulement si vous n'avez rien de mieux à faire!!!)
http://url.exen.fr/106948/
Je me plonge dans votre voyage dès que j'ai un moment.
La Chine! Eternelle fascination.
cipiki- Localisation : tokyo
Messages : 523
Date d'inscription : 04/03/2010
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