Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
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De laque et d'or, manuscrits de Birmanie
Maquette du monastère de la reine (Mya Taung Kyung), mandalay, 1881-1885 ( ?) Bois de teck, don du consul Frédéric Haas au musée Guimet. H 180 cm ; L. 245cm ; P. 140cm MG 26320 (C) RMN (musée Guimet, Paris)/Benjamin Soligny / Raphaël Chipault
Le musée Guimet présente pour la première fois un ensemble exceptionnel de manuscrits et d’objets birmans conservés dans ses collections. Cette exposition, qui se tiendra dans la bibliothèque historique de la rotonde du musée, présentera notamment des livres laqués et dorés-les kammavaca -, des manuscrits gravés sur olles (feuilles de palmiers) et des ouvrages écrits à l'encre sur du papier traditionnel plié en paravent-les parabaik -. Le livre manuscrit a été abondamment utilisé jusqu'à la fin du XIXème siècle pour consigner à la fois la littérature religieuse et profane, ou encore des ouvrages horoscopiques, des traités médicaux et pharmaceutiques, sans oublier des documents d'archives ou des actes officiels publics ou privés. Un plan ancien de la ville d'Ava -longtemps capitale du pays-, une maquette en teck d'un vaste édifice religieux du XIXème siècle de la région de Mandalay, ainsi qu'un étonnant tableau horoscopique incisé dans une défense d'ivoire, complèteront l'ensemble. Informations complémentairesMusée national des arts asiatiques -
Guimet
6, place d'Iéna 75116 Paris
Tel : +33 (0)1 56 52 53 00
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
billets http://www.placeminute.com/nuit_de_la_tong,788/
C’est pour une bonne cause : la construction de 3 classes au Cambodge
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Bon, désolé, je peux pas venir.
Samedi 22 octobre, c'est Fillon qui reçoit à l'Ambassade à Tokyo.
Il arrive avec le fromage et le vin rouge.
Il vient donc pour une bonne cause. Alors j'y serai....
Samedi 22 octobre, c'est Fillon qui reçoit à l'Ambassade à Tokyo.
Il arrive avec le fromage et le vin rouge.
Il vient donc pour une bonne cause. Alors j'y serai....
cipiki- Localisation : tokyo
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Au Petit Palais
L'exposition Elles changent l'Inde sera présentée au Petit Palais à Paris du 21 octobre 2011 au 8 janvier 2012.
Cette initiative du Groupe BNP Paribas s'inscrit dans le cadre de la célébration du 150ème anniversaire de la présence du Groupe dans le pays.
Au cours de l'année 2010, l'exposition a été présentée dans cinq villes indiennes : Mumbai, Delhi, Kochi, Chennai et Calcutta. En 2011, BNP Paribas présente l'exposition en Europe avec une première étape à Milan, puis à Londres, Bruxelles et Paris.
Cette exposition propose plus de 100 photographies réalisées par 6 photographes de l'agence Magnum Photos, qui témoignent de l'énergie des femmes indiennes.
Olivia Arthur, Martine Franck, Raghu Rai, Alessandra Sanguinetti, Alex Webb et Patrick Zachmann, ont photographié des femmes déterminées à se réaliser et nous offrent ainsi une représentation inédite de la société indienne. Ce sont des portraits de femmes lucides, dignes et qui ne baissent pas les bras face aux évidentes difficultés du parcours de vie qu'elles ont choisi.
Entrée gratuite, du mardi au dimanche de 10h à 18h, nocturne le jeudi jusqu'à 20h.
http://www.bnpparibas.com/fr/actualites/communiques-presse.asp?Code=JLAU-8MSGZQ
Martine Franck :
Elle s’est concentrée sur des groupes d’entre-aides, qui financent leurs projets grâce au microcrédit. Elle est allée à la rencontre de femmes faisant partie de ces groupes, notamment dans les zones rurales.
Alex Webb :
Il a suivi plusieurs femmes de Bombay et de New Delhi, qui pour sortir de leur situation précaire, se sont orientées vers des « métiers d’hommes ». On y voit entre autres des chauffeuses de taxi, des pompistes ou vigiles.
Patrick Zachmann :
Il s’est penché sur les panchayats (conseils municipaux). Un tiers des sièges est réservé aux femmes. Aujourd’hui, des millions de femmes se sont lancées en politique, mais doivent faire face à plusieurs obstacles tels que l’illettrisme ou la pauvreté.
Alexandra Sanguinetti :
Elle s’est intéressée au monde de Bollywood. Elle a photographié les coulisses de plusieurs tournages, et a notamment suivi une des réalisatrices star : Farah Khan. De plus en plus de femmes travaillent désormais pour le 7ème art.
Olivia Arthur :
La photographe s’est intéressée à l’éducation en Inde, principal facteur d’émancipation des femmes. Elle a suivi le parcours de jeunes étudiantes et de jeunes actives, conscientes de leurs capacités et prêtes à assumer de hautes responsabilités.
Raghu Rai :
Il a choisi de porter son regard sur douze figures féminines importantes. Des économistes, écrivains, femmes d’affaires… qui ont toutes une influence importante sur la société indienne contemporaine.
http://www.terrafemina.com/culture/arts-et-spectacles/articles/7860-expo--l-elles-changent-linde-r-demarre-aujourdhui-au-petit-palais.html
L'exposition Elles changent l'Inde sera présentée au Petit Palais à Paris du 21 octobre 2011 au 8 janvier 2012.
Cette initiative du Groupe BNP Paribas s'inscrit dans le cadre de la célébration du 150ème anniversaire de la présence du Groupe dans le pays.
Au cours de l'année 2010, l'exposition a été présentée dans cinq villes indiennes : Mumbai, Delhi, Kochi, Chennai et Calcutta. En 2011, BNP Paribas présente l'exposition en Europe avec une première étape à Milan, puis à Londres, Bruxelles et Paris.
Cette exposition propose plus de 100 photographies réalisées par 6 photographes de l'agence Magnum Photos, qui témoignent de l'énergie des femmes indiennes.
Olivia Arthur, Martine Franck, Raghu Rai, Alessandra Sanguinetti, Alex Webb et Patrick Zachmann, ont photographié des femmes déterminées à se réaliser et nous offrent ainsi une représentation inédite de la société indienne. Ce sont des portraits de femmes lucides, dignes et qui ne baissent pas les bras face aux évidentes difficultés du parcours de vie qu'elles ont choisi.
Entrée gratuite, du mardi au dimanche de 10h à 18h, nocturne le jeudi jusqu'à 20h.
http://www.bnpparibas.com/fr/actualites/communiques-presse.asp?Code=JLAU-8MSGZQ
Martine Franck :
Elle s’est concentrée sur des groupes d’entre-aides, qui financent leurs projets grâce au microcrédit. Elle est allée à la rencontre de femmes faisant partie de ces groupes, notamment dans les zones rurales.
Alex Webb :
Il a suivi plusieurs femmes de Bombay et de New Delhi, qui pour sortir de leur situation précaire, se sont orientées vers des « métiers d’hommes ». On y voit entre autres des chauffeuses de taxi, des pompistes ou vigiles.
Patrick Zachmann :
Il s’est penché sur les panchayats (conseils municipaux). Un tiers des sièges est réservé aux femmes. Aujourd’hui, des millions de femmes se sont lancées en politique, mais doivent faire face à plusieurs obstacles tels que l’illettrisme ou la pauvreté.
Alexandra Sanguinetti :
Elle s’est intéressée au monde de Bollywood. Elle a photographié les coulisses de plusieurs tournages, et a notamment suivi une des réalisatrices star : Farah Khan. De plus en plus de femmes travaillent désormais pour le 7ème art.
Olivia Arthur :
La photographe s’est intéressée à l’éducation en Inde, principal facteur d’émancipation des femmes. Elle a suivi le parcours de jeunes étudiantes et de jeunes actives, conscientes de leurs capacités et prêtes à assumer de hautes responsabilités.
Raghu Rai :
Il a choisi de porter son regard sur douze figures féminines importantes. Des économistes, écrivains, femmes d’affaires… qui ont toutes une influence importante sur la société indienne contemporaine.
http://www.terrafemina.com/culture/arts-et-spectacles/articles/7860-expo--l-elles-changent-linde-r-demarre-aujourdhui-au-petit-palais.html
thanaka- Admin
- Localisation : il existe une application pour ça
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Dix façons de croquer le Japon à Paris
Dans l'izakaya Lengué (Ve), on peut picorer un tataki de bœuf, ainsi qu'une étonnante glace au litchi emprisonnée dans une pâte de riz. Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/LE FIGARO
En nouilles, raviolis, bouillon, saisi à la plaque ou tranché à vif, le mets japonais se décline en une multitude de préparations. Voici le bon mode d'emploi pour ne plus faire perdre la tête à vos baguettes.
Sushi
Qu'est-ce que c'est? C'est sans doute l'expression la plus connue, la plus galvaudée aussi, de la cuisine japonaise. Basiquement, il s'agit avant tout d'une préparation de riz vinaigré qui peut se marier à toutes sortes d'ingrédients (tranche de poisson cru, crevette, oursin, crabe, légume, omelette…). Selon les recettes, on parle alors de maki, nigiri, temaki, qui se dégustent avec gingembre, wasabi et sauce soja. Outre la qualité du poisson et des produits utilisés, ce sera le savoir-faire du maître sushi, qui les prépare impérativement à la commande, qui fera la différence.
Où les déguster? Parmi les adresses emblématiques de la capitale, toujours Isami (IVe) où officie en live Katsuo Nakamura, et Kyomisu (VIIIe), qui s'est lancé depuis peu dans la livraison de bentos (plateaux-repas japonais) à domicile ou au bureau. Belle pêche aussi chez Hanawa (VIIIe), très prisé des beautiful people et patrons du CAC 40. Honorables, mais nettement plus démocratiques sinon, ceux de Zen (Ier).
Ramen
Qu'est-ce que c'est? Pour la jouer connaisseur, vous savez qu'il faut commander un «lamen». Mais même une erreur de prononciation ne devrait pas vous priver du plaisir simple de ce mets roboratif. Piqué à la Chine, le plat consiste en un grand bol de soupe, généralement préparée à base de sauce soja ou de miso en version plus épaisse, dans lequel font trempette des nouilles de farine de blé. Taille et forme de ces dernières - le plus souvent accompagnées de viande de porc en tranches fines - variant à peu près à l'infini.
Où les déguster? Dernière venue, et déjà triomphante, l'orangée Naritake (IIe) et son ramen de miso au porc (fondantissime). La rue Saint-Anne (Ier) étant au Japon ce que la Bretagne est aux huîtres, les escales n'y manquent pas. Ambiance graillon et buée aux vitres dans les cantines comme Higuma ou la voisine Hokkaido (IIe). Le tout de 6 à 12 €. Files d'attente à prévoir.
Udon
Qu'est-ce que c'est? Nouilles toujours, également à base de farine de blé, mais de calibre bien supérieur, de couleur blanchâtre et dont la caractéristique principale est le côté élastique, totalement addictif. Là encore de multiples déclinaisons sont possibles: chaud (dans une soupe ou à arroser de sauce) ou froid (l'incontournable «zaru udon» où l'on trempe les pâtes dans une sauce froide à base de soja), accompagné de tempura de légumes et/ou de crevettes, œuf mollet ou tofu frit, pour ne citer qu'eux.
Où les déguster? Plutôt paisible, Sanukiya (par l'équipe de Zen) et son petit comptoir à l'atmosphère pop vous attendent depuis quelques semaines (Ier) avec de sympathiques formules déjeuner (de 14 à 20 €) et un accueil aussi souriant que détendu. Kunitoraya (Ier) et son double Kunitoraya II (Ier), fait figure de référence en la matière (à partir de 9 €).
Donburi
Qu'est-ce que c'est? Les pâtes ont le ramen ; le riz, le donburi. Désignant initialement l'immense bol qui le contient, le plat a fini par prendre son nom. Bon marché et très populaire, il consiste en une généreuse portion de riz blancsurmontée de divers accompagnements, viande, poisson, légume ou œuf notamment. Parmi les déclinaisons stars, le katsudon, ultragourmand avec ses petits morceaux de porc pané ; l'unadon, à l'anguille grillée ; ou le tendon, avec des beignets en tempura.
Où les déguster? Dans la florissante galaxie d'adresses nippones de Toshiro Kuroda (Workshop Issé, Bizan…), Mononoki (IIe), ouverte il y a sept ans, est la petite dernière. Imprenable, le katsudon est le plat star de cette échoppe moderne. Le quartier ne manque pas de solutions de repli, avec notamment Naniwa Ya (Ier) et son programme classique au déjeuner (douze donburi au choix notamment), plus élaboré le soir.
Kushikatsu
Qu'est-ce que c'est? Il n'y a pas que les yakitoris dans la vie! Dans la région d'Osaka on se damne pour ces brochettes d'un tout autre genre. Piqués sur des tiges de bambou, les aliments (poisson, viande, légumes) sont panés puis frits dans l'huile. À accommoder ensuite de différentes sauces.
Où les déguster? Détenteur de trois restaurants au Japon, dont un étoilé au Michelin, Yosuke Wakasa a récemment ouvert un élégant comptoir parisien, Kushikatsu Bon (XIe, menus à 48 et 58 €). Il y assure lui-même le show, seul derrière sa friteuse en cuivre en forme de grosse boule. Le repas s'y compose d'une quinzaine de rafales panées dont quelques «must» comme le foie gras poêlé sur aubergine, le bœuf chateaubriand, le shiitake, la crevette ou… la boule de glace vanille. Même programme de l'autre côté de la Seine sous les poutres apparentes de chez Shu (VIe, menus de 38 à 56 €).
Teppanyaki
Qu'est-ce que c'est? C'est de mode de cuisson qu'il s'agit ici. En l'occurrence une plaque brûlante, sorte de plancha que les spécialistes traitent avec le plus grand soin, l'astiquant sans retenue entre deux cuissons. Les clients prennent souvent place autour d'elle, et le dîner tourne rapidement au spectacle acrobatique. Crevettes, saint-jacques, petites pièces de bœuf, saumon et autres grillent rapidement, le chef surjouant volontiers l'exercice.
Où les déguster?Le Benkay (XVe), l'institution haut de gamme, se trouve perché au sein de l'hôtel Novotel et inclut les grillades à de copieux menus (de 90 à 150 €). Grand jeu aussi chez Aïda (VIIe, menu unique 160 €), bien plus qu'une adresse à teppanyaki, l'exercice ici y relève du grand art. Le patron n'hésite pas, par exemple, à y faire poêler le homard, tranché en deux, vivant. Plus modeste, mais efficace, Kagayaki (IIIe, menus à partir de 13,50 €).
Izakaya
Qu'est-ce que c'est? Les Espagnols ont les bars à tapas, les Japonais les izakayas… L'endroit idéal pour bavarder après une longue journée de travail autour d'un verre de saké, de shochu ou une bière tout en partageant des plats en petites portions.
Où les déguster? Convivial, mais délicat, chaque établissement s'attelant à soigner ses assiettes. À l'image de Lengué (Ve, tapas à partir de 4 €), récente et paisible escale du quartier pourtant peu enthousiasmant de la Huchette. À picorer, notamment, un épatant tataki de bœuf, des california rolls grillés au saumon, d'exquises petites boulettes de poulet, comme un rêve de yakitori, des crevettes panées et, en dessert, une irrésistible glace au litchi emprisonnée dans une pâte de riz. On se débrouille aussi extrêmement bien chez Izakaya Issé (Ier, tapas à partir de 4 €), où la sélection de sakés laisse pantois, et chez Icho (IIIe).
Gyoza
Qu'est-ce que c'est? Encore un plat très répandu chez les voisins chinois, mais dont la popularité au Japon ne s'est jamais démentie. Des raviolis en forme de demi-lune, grillés sur une face et farcis généralement de viande de porc hachée, gingembre, ciboule et chou vert. On trempe la pièce dans une coupelle de sauce soja dans laquelle on a versé quelques gouttes d'huile pimentée.
Où les déguster? Ouvert depuis quelques jours seulement, Gyoza Bar (IIe) joue les monomaniaques, avec la carte la plus courte de la ville: hormis la portion de soja mariné ou de riz, il s'agit juste de choisir son nombre de raviolis (8, 12 ou 16 pour 6, 8 et 10 €), très fins et évidemment préparés à la minute. Ce long comptoir, élégant avec ses murs d'ardoise, est emmené par l'équipe du Passage 53, voisin, le gastronomique du coin où officie… un chef japonais. Aucune échoppe de la rue Sainte-Anne ne fait l'impasse sur ces raviolis stars que l'on trouve aussi bien traités chez Zen (Ier).
Okonomiyaki
Qu'est-ce que c'est? Visuellement, on est entre la crêpe, l'omelette et la pizza. Il s'agit en fait d'un gros pancake dont la pâte mélange normalement farine, igname râpée, œufs et chou. Comme souvent, de multiples recettes en découlent, avec moult garnitures, au porc, bœuf, crevettes, calamars… Au lieu de mélanger tous les aliments, certains les empilent en couches. Chaque crêpe est recouverte de fins copeaux de bonite séchée (qui s'agitent frénétiquement à la surface, sous l'effet de la chaleur) et de traits de sauces japonaises semblables à de la sauce barbecue et de la mayonnaise.
Où les déguster? Chez Aki, au cœur de l'animation de la rue Sainte-Anne (Ier) on fait la promo de l'okonomiyaki sur la vitrine, et on la cuit sur plaque chauffante devant les clients. Un peu plus au calme, l'équipe d'Happa Teï (IIe) maîtrise aussi l'exercice. Elle propose une autre spécialité: les takoyakis, venus d'Osaka, des boulettes de poulpe, confectionnées dans des moules, comme des gaufres.
Kaiseki
Qu'est-ce que c'est? Une succession de petits plats soumis à l'imagination du chef, qui pourrait s'apparenter à nos menus dégustation. Mais aussi bien plus, parce qu'il s'agit d'une cuisine saisonnière, puissamment cérébrale, où le goût, la texture, l'aspect et la couleur, très travaillés par les cuisiniers, jouent chacun un rôle. Les références à la nature sont omniprésentes dans la présentation très esthétisante des plats (vaisselle également très raffinée) de cette cuisine hautement gastronomique.
Où les déguster? Chez Hissa Takeuchi, le chef de file revendiqué, dont l'enseigne Kaiseki (XVe) est des plus explicites. Lui-même se vit comme un artiste contemporain et les repas chez lui font partie des expériences initiatiques (prix violents le soir).
Pour les liens des restaurants http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2012/01/27/03013-20120127ARTFIG00739-dix-facons-de-croquer-le-japon-a-paris.php
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Exposition "Hanoi aux 36 rues et corporations" à Paris
Une exposition de croquis, photos et de l'installation du peintre vietnamien résidant en France, Vuong Pat Cam, intitulée "Hanoi aux 36 rues et corporations" (*) , a ouvert ses portes le 15 avril à Paris.
Etaient présents au vernissage Lê Hông Chuong, directeur du Centre culturel du Vietnam en France ; Hélène Luc, présidente de l'Association d'amitié franco-vietnamienne (AAFV) ; et Thérèse Nguyên Van Ky, présidente de l'Union générale des Vietnamiens en France (UGVF), pour ne citer qu'eux.
L'artiste Vuong Pat Cam, né au Laos, est en France depuis qu'il a 12 ans. N'ayant jamais vécu au Vietnam, Hanoi tient néanmoins dans son coeur une place particulière. Et grâce à cet amour, il est parvenu à donner vie à l'ancien quartier de Hanoi à travers les 20 gouaches sur soie et la trentaine de photos en couleur et en noir et blanc présentées lors de cette expo.
Son installation réside en plusieurs maquettes illustrées par ses gouaches et photos, lesquelles conféreraient presque aux spectateurs la sensation - avec un peu d'imagination - de déambuler dans les vieilles rues à l'ambiance sans pareil de Hanoi.
Interrogé sur ce qui l'a poussé à réaliser des tableaux sur la capitale, l'artiste explique que son inspiration lui vient de sa nostalgie pour le Vietnam, en particulier pour Hanoi, dont il a voulu donner une image aussi vivante et authentique que possible.
Dans le cadre du vernissage, les membres du club de la culture et de l'art, de l'Union des étudiants vietnamiens de France (UEVF) ont interprété des chansons inoubliables sur le thème "Hanoi dans notre coeur".
Fin de l'exposition le 4 mai.
source media: http://lecourrier.vnanet.vn/lecourrier/fr-fr/home/default.aspx
(*) Exposition "Hanoi aux 36 rues et corporations" (jusqu'au 5 mai 2012) - Centre culturel du Vietnam en France - 19 rue Albert 75013 Paris
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Cambodge, me voici : de la complexité des retrouvailles
Informations Pratiques
http://cambodgemevoici.webs.com/
http://www.institutfrancais-cambodge.com/
Lieu: Théâtre de la Reine blanche - 2 bis passage ruelle, 75018 Paris. M° la Chapelle ou Marx Dormoy
Quatre femmes. Quatre destins. Mais un pays d’origine en commun : le Cambodge. Entre rires, nostalgie, sarcasmes et parfois dénuement, ces quatre femmes se content et se rencontrent devant un guichet fermé du consulat cambodgien à Paris. Quatre voix pour mieux exprimer toute la richesse et la complexité de ce pays aux plaies encore mal cicatrisées.
Cambodge, me voici est la toute première pièce du jeune auteur et metteur en scène Jean-Baptiste Phou. Un texte pour explorer sa propre identité, celle d’un Français d’origine cambodgienne, mais pour aussi appréhender au sens plus large la question du déracinement. C’est en donnant la parole à ces quatre femmes qu’il arrive tour à tour à mettre le doigt avec subtilité et humour sur les douleurs et les amputations de ces histoires de vie, mais aussi sur les fantasmes et clichés dont se nourrissent les occidentaux à leurs égards.
Ainsi, Mom, rutilante de paillettes et de pacotilles et au franc-parler déroutant, se cache d’artifices pour mieux tenter de dissimuler cette douleur, celle d’avoir survécu au khmers rouges, d’avoir connu les camps de travaux forcés et d’avoir fait partie de cette génération de Boat People aux yeux du monde entier – bien que ce soit en avion qu’elle fut arrivée… Mais le mal du pays aujourd’hui se traduit aussi par sa quête à devenir mère, en essayant de partir adopter son « petit bout de Cambodge ». Une petite fille à qui offrir l’enfance qu’elle n’a pas eue et qui saurait peut-être combler la brèche de cette souffrance ?
Sovandara, quant à elle, débarque tout fraichement du pays pour retrouver François, son Barang* de fiancé rencontré en ONG. Ces mêmes ONG devenues le poumon palliatif à l’insuffisance respiratoire du Cambodge. Elle aussi a connu « les évènements », synonyme du mot « génocide » qu’aucune d’entre elles ne prononce. Bien que toutes ces femmes ne soient que paroles, revendiquant un pays nouveau en reconstruction, à l’heure où les procès des anciens dirigeants khmers rouges commencent, 30 ans de silence n’ont pas permis le deuil et encore moins au mot « génocide » de se dire tout haut.
A contrario de Mom et Sovandara qui aiment en définitive éperdument leur terre d’origine, il y a la formidable et royale Metha, réfugiée politique d’avant l’heure, aujourd’hui totalement réticente à fouler de nouveau cette terre qu’elle n’a encore jamais revue. Elle n’a pourtant pas connu les « évènements », mais n’en souffre pas moins pour autant et vit depuis dans le rejet total de ce pays qui l’a vue naître. Sous son allure princière, elle aussi au fil de cette conversation fortuite, finira par laisser éclater, aux prises de ses propres contradictions, ce Cambodge qui sommeille en elle depuis si longtemps.
Et enfin, il y a Sophea, jeune et naïve, assoiffée de ses racines imaginées, celles que sa mère a tant voulu étouffer. Et c’est bien certainement derrière ce personnage que Jean-Baptiste Phou laisse crier son appel à lui du Cambodge. L’écho a semble t-il su résonner jusqu’au Mékong, puisque l’Institut français du Cambodge l’accueillera en résidence cet été afin de présenter la pièce – en khmer cette fois-ci – lors du festival international de théâtre Lakahon se tenant en septembre à Phnom Penh.
* Barang signifie Français en Khmer.
Sophea : Sonadie SAN
Sovandara : Ravie KHING
Mom : Roshane SAIDNATTAR
Metha : Roat Marie CHAYA
http://toutelaculture.com/2012/05/cambodge-me-voici-de-la-complexite-des-retrouvailles/
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Apichatpong Weerasethakul - Festival Côté Court 2012 - Ciné 104
Le Festival Côté Court 2012 (organisé à Pantin, du 6 au 16 juin) met à l'honneur Apichatpong Weerasethakul, et propose une rencontre avec le réalisateur thaïlandais, lundi 11 juin à 21h au Ciné 104.
Réalisateur thaïlandais, Apichatpong Weerasethakul débute sa carrière par le court métrage et le montage vidéo, avant de réaliser le documentaire Mystérieux objet à midi. Depuis 1998, le cinéaste parcourt le monde avec des expositions et des installations
Ses œuvres cinématographiques et artistiques lui ont déjà valu de nombreux prix et une large reconnaissance internationale, dont la Palme d’or au Festival de Cannes en 2010 pour Oncle Boonmee, celui qui se souvient de ses vies antérieures. Il vient présenter ici six de ses courts métrages et en parler avec le public.
Programme de la soirée :
The Anthem (5 min.) : en Thaïlande, avant chaque projection, on peut assister à l'hymne royal, qui a pour but d'honorer le roi. Il s'agit d'un rituel de bénédiction récurrent dans la société thaï, qui a lieu avant chaque cérémonie ou événement.
Morakot (Emerald) (11 min.) : Dans The Pilgrim Kamanita, une nouvelle bouddhiste écrite en 1906 par l'écrivain danois Karl Gjellerup, les personnages renaissent sous forme d'étoiles et se racontent leurs histoires pendant des siècles, jusqu'à leur disparition. Morakot est un défunt hôtel en ruines au coeur de Bangkok qui a ouvert dans les années 80. Comme Kamanita, l'immuable Morakot est une étoile saturée de souvenirs. Apichatpong a collaboré avec trois acteurs professionnels, qui racontent leurs rêves, leur vie dans leur ville natale, les moments difficiles, et récitent des poèmes d'amour, pour réinvestir l'hôtel de nouveaux souvenirs.
Wordly Desires (42 min.) : un couple quitte ses proches pour partir à la recherche d'un arbre spirituel dans la jungle. C'est à la fois un chant dans la nuit, un chant qui parle d'une idée innocente de l'amour, et une quête du bonheur.
Ghost of Asia (co-réalisé avec Christelle Lheureux, 9 min.) : « pour ce film, nous nous sommes inspirés d'un fantôme qui erre sur les rivages alentours touchés par le Tsunami en décembre 2004.Dans un village sur une île thaïlandaise (Ko Samed), nous avons mis notre acteur à disposition de trois enfants de 4 à 6 ans, en les invitant à le diriger. Le personnage devient une marionnette qui s'agite au gré de leur imaginaire. Un support sur lequel les enfants se projettent. Le film est structuré sur la direction d'acteur enregistrée en temps réel, passant d'une activité à une autre, d'une émotion à une autre, sans hiérarchie. Un portrait de cette île vu par les enfants de la plage. » — Christelle Lheureux & Apichatpong Weerasethakul
Mobile Men (3 min.) : deux jeunes hommes dans un pick up roulant à toute allure. Attrapant l'objectif de la caméra, ils le braquent sur eux, et dévoilent leurs corps et leurs tatouages.
A Letter to Uncle Boonmee (17 min.) : « en décembre 2008, j'ai repéré à Nabua plusieurs maisons qui pourraient convenir pour être celle d'Uncle Boonmee dans mon prochain long métrage. Ce film court est une lettre personnelle à Uncle Boonmee sur Nabua. J'ai filmé l'intérieur des maisons, le soir. Elles sont toutes désertes, sauf une occupée par un groupe de jeunes soldats, joués par des adolescents de Nabua. Deux d'entre eux racontent le film en m'incarnant. »
Ciné 104
104, av. Jean-Lolive
93500 Pantin
www.cotecourt.org
[Visuel : Mobil Men – Apichatpong Weerasethakul. Courtesy Festival Côté Court]
http://www.artistikrezo.com/201205319597/actualites/Cinema/apichatpong-weerasethakul-festival-cote-court-2012-cine-104.html
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Bon appétit en Chinois se dit : 请慢用
C’est ce que nous inspire l’exposition « les Séductions du Palais, Cuisiner et manger en Chine » qui démarre demain au Musée du Quai Branly.
Elle présente les traditions de table chinoises avec 150 objets provenant majoritairement du Musée national de Chine complétés par une sélection d’œuvres provenant du musée des Arts asiatiques Guimet. La table et le réseau de valeurs qu’elle sous-tend sont ancrés au cœur de la civilisation chinoise, lieu d’émulation, voire de virtuosité, où chacun est amené à se surpasser.
Jusqu’au 30 septembre 2012.
http://www.quaibranly.fr/
C’est ce que nous inspire l’exposition « les Séductions du Palais, Cuisiner et manger en Chine » qui démarre demain au Musée du Quai Branly.
Elle présente les traditions de table chinoises avec 150 objets provenant majoritairement du Musée national de Chine complétés par une sélection d’œuvres provenant du musée des Arts asiatiques Guimet. La table et le réseau de valeurs qu’elle sous-tend sont ancrés au cœur de la civilisation chinoise, lieu d’émulation, voire de virtuosité, où chacun est amené à se surpasser.
Jusqu’au 30 septembre 2012.
http://www.quaibranly.fr/
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Turbulences - 21 juin — 16 septembre 2012 - Espace culturel Louis Vuitton
http://www.louisvuitton-espaceculturel.com/index_FR.html
À l’origine, le mot de turbulence désignait « le mouvement désordonné de la foule ».
Léonard de Vinci est le tout premier artiste à s’intéresser à ce processus et à employer le mot italien de
« torbolenza ». Il dessine et observe avec une attention toute particulière le moment de transition conduisant
de l’écoulement laminaire à l’écoulement tourbillonnaire lorsque surgissent entrelacs, spirales, volutes et motifs
se régénérant sans cesse.
Contrairement à d’autres états de la matière dits « stables ou équilibrés », les processus turbulents sont
extrêmement instables, irréversibles mais surtout imprévisibles.
Aujourd’hui, que ce soit à l’aide de nouvelles technologies ou de dispositifs rudimentaires, d’images virtuelles
ou de dessin traditionnel, des artistes issus d’horizons différents explorent les multiples potentialités plastiques
et philosophiques de la notion de turbulence. Ils élaborent aussi divers systèmes de notation graphique, picturale
ou sculpturale permettant de « cartographier » ces mouvements déconcertants et impromptus de la matière.
Espace immersif et installations vidéo de Pascal Haudressy et Ryoichi Kurokawa mêlant images, sons ou sculptures;
souffleries et turbines produisant des tourbillons d’air ou de liquide d’Atilla Csörgo, de Zilvinas Kempinas,
de Petroc Sesti ou de Jorinde Voigt; mur semblant se liquéfier de Loris Cecchini; sculptures évoluant au gré
des variations de champs magnétiques de Sachiko Kodama, ondes et flux mécaniques d’Élias Crespin, champ
coloré tourbillonnant de Miguel Chevalier à explorer à travers le corps et le regard; mutations de pixels par
Angela Bulloch : cette exposition — traversée par des flux constants — rassemble les oeuvres de dix artistes
de différentes nationalités explorant de multiples manières (à travers des machines, des images, des processus
physiques) l’art de jouer avec la turbulence.
Vortex, flux, accélération, effervescence : bien loin des détraquements menaçants du chaos total, les oeuvres
présentées ici fonctionnent à l’instar de « turbines » génératrices de processus, de structures et de formes
en devenir. L’ordre et le désordre étroitement mêlés ensemencent un champ fécond, dynamique.
Co-commissaires de l’exposition : David Rosenberg et Pierre Sterckx
http://louisvuitton-press.com/
login : turbulences
mdp : espace_lv
Turbulences
21 juin — 16 septembre 2012
Espace culturel Louis Vuitton
60, rue de Bassano
101, avenue des Champs-Élysées
75008 Paris
T. +33 1 53 57 52 03
F. +33 1 53 57 52 32
espaceculturel@louisvuitton.com
www.louisvuitton.com/espaceculturel
Ouvert du lundi au samedi de 12h00 à 19h00, le dimanche de 11h00 à 19h00.
Ouvert les jours fériés à l’exception du 25 décembre, du 1er janvier et du 1er mai.
Contact Presse : Jun Fujiwara T. + 33 1 55 80 33 80 j.fujiwara@fr.vuitton.com
Contact Jeunes Publics : Aurélia Bismuth T. +33 1 53 57 53 77 a.bismuth@fr.vuitton.com
Depuis 2008, l’Espace culturel Louis Vuitton propose des visites et des ateliers de création plastique, libres d’accès
pour les enfants et les jeunes.
Une découverte originale de l’art contemporain pour les écoles, les individuels et les associations.
À l’origine, le mot de turbulence désignait « le mouvement désordonné de la foule ».
Léonard de Vinci est le tout premier artiste à s’intéresser à ce processus et à employer le mot italien de
« torbolenza ». Il dessine et observe avec une attention toute particulière le moment de transition conduisant
de l’écoulement laminaire à l’écoulement tourbillonnaire lorsque surgissent entrelacs, spirales, volutes et motifs
se régénérant sans cesse.
Contrairement à d’autres états de la matière dits « stables ou équilibrés », les processus turbulents sont
extrêmement instables, irréversibles mais surtout imprévisibles.
Aujourd’hui, que ce soit à l’aide de nouvelles technologies ou de dispositifs rudimentaires, d’images virtuelles
ou de dessin traditionnel, des artistes issus d’horizons différents explorent les multiples potentialités plastiques
et philosophiques de la notion de turbulence. Ils élaborent aussi divers systèmes de notation graphique, picturale
ou sculpturale permettant de « cartographier » ces mouvements déconcertants et impromptus de la matière.
Espace immersif et installations vidéo de Pascal Haudressy et Ryoichi Kurokawa mêlant images, sons ou sculptures;
souffleries et turbines produisant des tourbillons d’air ou de liquide d’Atilla Csörgo, de Zilvinas Kempinas,
de Petroc Sesti ou de Jorinde Voigt; mur semblant se liquéfier de Loris Cecchini; sculptures évoluant au gré
des variations de champs magnétiques de Sachiko Kodama, ondes et flux mécaniques d’Élias Crespin, champ
coloré tourbillonnant de Miguel Chevalier à explorer à travers le corps et le regard; mutations de pixels par
Angela Bulloch : cette exposition — traversée par des flux constants — rassemble les oeuvres de dix artistes
de différentes nationalités explorant de multiples manières (à travers des machines, des images, des processus
physiques) l’art de jouer avec la turbulence.
Vortex, flux, accélération, effervescence : bien loin des détraquements menaçants du chaos total, les oeuvres
présentées ici fonctionnent à l’instar de « turbines » génératrices de processus, de structures et de formes
en devenir. L’ordre et le désordre étroitement mêlés ensemencent un champ fécond, dynamique.
Co-commissaires de l’exposition : David Rosenberg et Pierre Sterckx
http://louisvuitton-press.com/
login : turbulences
mdp : espace_lv
Turbulences
21 juin — 16 septembre 2012
Espace culturel Louis Vuitton
60, rue de Bassano
101, avenue des Champs-Élysées
75008 Paris
T. +33 1 53 57 52 03
F. +33 1 53 57 52 32
espaceculturel@louisvuitton.com
www.louisvuitton.com/espaceculturel
Ouvert du lundi au samedi de 12h00 à 19h00, le dimanche de 11h00 à 19h00.
Ouvert les jours fériés à l’exception du 25 décembre, du 1er janvier et du 1er mai.
Contact Presse : Jun Fujiwara T. + 33 1 55 80 33 80 j.fujiwara@fr.vuitton.com
Contact Jeunes Publics : Aurélia Bismuth T. +33 1 53 57 53 77 a.bismuth@fr.vuitton.com
Depuis 2008, l’Espace culturel Louis Vuitton propose des visites et des ateliers de création plastique, libres d’accès
pour les enfants et les jeunes.
Une découverte originale de l’art contemporain pour les écoles, les individuels et les associations.
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Le château de Versailles, l’art au contemporain - jusqu’au 30 Septembre 2012
Le château de Versailles poursuit son aventure avec l’art contemporain en exposant dans ses galeries et dans le parc une quinzaine d’œuvres de la plasticienne portugaise Joana Vasconcelos.
Après Jeff Koons en 2008 et Takashi Murakami en 2010, l’art contemporain commence à faire partie du paysage à Versailles.
Joana Vasconcelos expose son univers au Domaine de Versailles jusqu’au 30 Septembre 2012
source Euronews et L'express
Après Jeff Koons en 2008 et Takashi Murakami en 2010, l’art contemporain commence à faire partie du paysage à Versailles.
Joana Vasconcelos expose son univers au Domaine de Versailles jusqu’au 30 Septembre 2012
source Euronews et L'express
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
http://ahae.com/
De ma fenêtre est la première exposition personnelle d'Ahae à Paris. Sur plus de 1000 m2, dans une galerie spécialement conçue pour l’occasion, l’exposition présentera les oeuvres du photographe coréen en très grands, grands et moyens formats.
Destinée à tous les publics, entièrement gratuite et ouverte de 10h à 22h, l’amateur de photographie comme le flâneur du Jardin des Tuileries peuvent découvrir un regard sensible aux mille-et-une variations d’un même paysage vu d’un même point de vue : la fenêtre du studio d’Ahae. Cette galerie d’exposition accueillera également un programme de lectures et de concerts tout au long de son mois d’ouverture.
Ahae a vu le jour en 1941 à Kyoto, au Japon, où sa famille avait été déplacée pendant la période de colonisation japonaise de la Corée. Il retourne ensuite définitivement dans sa patrie, dans le sud de la péninsule coréenne, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Jeune, il débute son éducation artistique par le dessin et la peinture pour se mettre bientôt à la sculpture, passant aussi maître dans l’art de la fabrication des masques. Depuis les années 1970, Ahae se passionne pour la photographie. Ces vingt dernières années, il est allé à la recherche de terre où il pourrait mettre en pratique son concept de style de vie écologique, centré sur le lien étroit entre protection de la nature et agriculture biologique. Dépositaire de milliers de brevets et marques, ainsi que lauréat de plusieurs prix d’invention, Ahae supervise deux plantations biologiques de thé.
Il y a deux ans, Ahae a inauguré une démarche singulière et inédite : prendre toutes ses photos de la même fenêtre de son studio. Depuis lors, il est désormais à sa fenêtre tous les jours, qu’il pleuve ou qu’il vente, pour enregistrer tous les éléments et spectacles de la nature qui retiennent son attention. Ahae prend en moyenne entre 2 000 et 4 000 photographies par jour. Produire un million de photographies en deux ans à travers une seule fenêtre : c’est là un projet que personne n’avait encore réalisé, ni même tenté. Ahae n’a du reste recours à aucun éclairage artificiel, ni mise en scène, ni manipulation postérieure, ce qui rend son projet encore plus extraordinaire.
Saisissant le passage du temps et la beauté de la nature autour de lui, Ahae exprime à travers les photographies qu’il expose un message clair : ouvrez les yeux, regardez la nature autour de vous, et faites votre possible pour la protéger, pendant qu’il en est encore temps. À travers ces oeuvres photographiques, nous percevons non seulement l’artiste, mais aussi l’amoureux de la nature. Depuis avril 2011 à New York jusqu’en juin 2012 au Louvre, en passant par Londres, Moscou et Venise, Ahae présente ses oeuvres au plus grand nombre pour diffuser son propos le plus largement possible. Comme l'artiste prend un nombre impressionnant d’images dans une même journée, il a fallu créer une unité de traitement pour faciliter l’archivage de ce flux constant de photographies.
Toutes les photographies de la collection Through my Window (De ma Fenêtre) ont été prises avec des appareils numériques de pointe. Des téléobjectifs hauts de gamme à longue portée ont servi à prendre la plupart des photographies d’animaux de la collection, tandis qu’une série d’appareils photographiques de format moyen a été utilisée pour les paysages.
http://www.officiel-galeries-musees.com/exposition/de-ma-fenetre-photographies-d-ahae
De ma fenêtre est la première exposition personnelle d'Ahae à Paris. Sur plus de 1000 m2, dans une galerie spécialement conçue pour l’occasion, l’exposition présentera les oeuvres du photographe coréen en très grands, grands et moyens formats.
Destinée à tous les publics, entièrement gratuite et ouverte de 10h à 22h, l’amateur de photographie comme le flâneur du Jardin des Tuileries peuvent découvrir un regard sensible aux mille-et-une variations d’un même paysage vu d’un même point de vue : la fenêtre du studio d’Ahae. Cette galerie d’exposition accueillera également un programme de lectures et de concerts tout au long de son mois d’ouverture.
Ahae a vu le jour en 1941 à Kyoto, au Japon, où sa famille avait été déplacée pendant la période de colonisation japonaise de la Corée. Il retourne ensuite définitivement dans sa patrie, dans le sud de la péninsule coréenne, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Jeune, il débute son éducation artistique par le dessin et la peinture pour se mettre bientôt à la sculpture, passant aussi maître dans l’art de la fabrication des masques. Depuis les années 1970, Ahae se passionne pour la photographie. Ces vingt dernières années, il est allé à la recherche de terre où il pourrait mettre en pratique son concept de style de vie écologique, centré sur le lien étroit entre protection de la nature et agriculture biologique. Dépositaire de milliers de brevets et marques, ainsi que lauréat de plusieurs prix d’invention, Ahae supervise deux plantations biologiques de thé.
Il y a deux ans, Ahae a inauguré une démarche singulière et inédite : prendre toutes ses photos de la même fenêtre de son studio. Depuis lors, il est désormais à sa fenêtre tous les jours, qu’il pleuve ou qu’il vente, pour enregistrer tous les éléments et spectacles de la nature qui retiennent son attention. Ahae prend en moyenne entre 2 000 et 4 000 photographies par jour. Produire un million de photographies en deux ans à travers une seule fenêtre : c’est là un projet que personne n’avait encore réalisé, ni même tenté. Ahae n’a du reste recours à aucun éclairage artificiel, ni mise en scène, ni manipulation postérieure, ce qui rend son projet encore plus extraordinaire.
Saisissant le passage du temps et la beauté de la nature autour de lui, Ahae exprime à travers les photographies qu’il expose un message clair : ouvrez les yeux, regardez la nature autour de vous, et faites votre possible pour la protéger, pendant qu’il en est encore temps. À travers ces oeuvres photographiques, nous percevons non seulement l’artiste, mais aussi l’amoureux de la nature. Depuis avril 2011 à New York jusqu’en juin 2012 au Louvre, en passant par Londres, Moscou et Venise, Ahae présente ses oeuvres au plus grand nombre pour diffuser son propos le plus largement possible. Comme l'artiste prend un nombre impressionnant d’images dans une même journée, il a fallu créer une unité de traitement pour faciliter l’archivage de ce flux constant de photographies.
Toutes les photographies de la collection Through my Window (De ma Fenêtre) ont été prises avec des appareils numériques de pointe. Des téléobjectifs hauts de gamme à longue portée ont servi à prendre la plupart des photographies d’animaux de la collection, tandis qu’une série d’appareils photographiques de format moyen a été utilisée pour les paysages.
http://www.officiel-galeries-musees.com/exposition/de-ma-fenetre-photographies-d-ahae
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
http://www.mcjp.fr/
PAYSAGES DU CINEMA JAPONAIS
Cette programmation « spécial 15e anniversaire » de 150 films présentée en deux parties et déclinée en 15 thématiques pendant 8 mois de mai à décembre 2012, a été conçue pour tous les publics. Elle est une invitation à découvrir la société et la culture japonaises à travers le cinéma.
Les amoureux du Japon apprécieront de voir ou revoir quelques grands classiques (Mizoguchi, Kurosawa, Ozu, Naruse) en provenance d’une cinématographie qui fut l’égale d’Hollywood à deux reprises dans son histoire. À ces œuvres du patrimoine mondial se joindront des films rares de réalisateurs déjà familiers des cinéphiles (Keisuke Kinoshita, Kihachi Okamoto, Kirio Urayama, Nobuo Nakagawa), mais aussi « d’auteurs-surprises » (Kôzô Saeki, Kunio Watanabe, Seiji Hisamatsu) comme il en existe encore beaucoup au Japon. Ils découvriront également un hommage en 14 films à Jun Ichikawa, disparu en 2008. Les petits contes familiaux, initiatiques et moraux au sens où l’entendait Eric Rohmer (« histoire de personnages qui aiment bien analyser leurs pensées et leurs états d’esprits ») dont Ichikawa fut un grand admirateur, offrent une occasion rare de se plonger dans le quotidien et les préoccupations de l’homme du commun japonais aux cours de ces deux dernières décennies.
Pour ceux qui désirent mieux connaître le Japon, ou pour une première approche, les thématiques proposées ne manqueront pas de satisfaire leur curiosité dans des domaines aussi variés que la famille, les enfants, l’amour, la représentation du paysage, le sens de la vie et de la mort, la nostalgie du pays natal, les héroïnes japonaises ou encore la société de l’après-guerre.
D’autres programmes aborderont le Japon d’un point de vue original : son histoire moderne (1868 - 1945) à travers des superproductions populaires inédites ; les mutations économiques et sociales actuelles vécues au quotidien et analysées par des documentaires percutants ; ou bien les dernières évolutions du phénomène otaku comme remède anti-crise. Enfin, une sélection d’une vingtaine de comédies, des films de l’âge d’or aux productions récentes, viendra s’associer au second volet de l’exposition sur le rire prévue cet automne à la Maison de la culture du Japon à Paris. Quelques inédits de la série Tora-san, c’est dur d’être un homme seront programmés à cette occasion.
Ce cycle est inauguré par une thématique consacrée au 11 mars 2011. Intitulée « Avant, pendant et après Fukushima », elle revient sur la catastrophe et ses conséquences avec des reportages de la chaîne nationale NHK : l’annonce d’un séisme d’une puissance inédite, les premières heures qui ont suivi le tsunami, l’accident de la centrale nucléaire, la vie des réfugiés, les initiatives locales participant à l’effort de reconstruction. Cette actualité est mise en perspective avec d’autres films plus au moins récents (documentaires et fictions) qui traitent du problème des ressources et de la biodiversité (La rivière Arakawa, Les pluies éternelles d’Ôdaigahara), du péril atomique (Alexei et la source, Pluie noire, Les enfants d’Hiroshima), des violences naturelles imprévisibles (La submersion du Japon, Le volcan tueur) : ces questions traitées du point de vue de réalisateurs japonais invitent à une réflexion globale sur la capacité des hommes, réelle ou fantasmée, de maîtriser leur environnement.
le catalogue
Le calendrier des projections
http://www.mcjp.fr/francais/cinema/paysages-du-cinema-japonais-389/calendrier-des-projections-530
Maison de la culture du Japon à Paris
101 bis, quai Branly
75015 Paris
PAYSAGES DU CINEMA JAPONAIS
Cette programmation « spécial 15e anniversaire » de 150 films présentée en deux parties et déclinée en 15 thématiques pendant 8 mois de mai à décembre 2012, a été conçue pour tous les publics. Elle est une invitation à découvrir la société et la culture japonaises à travers le cinéma.
Les amoureux du Japon apprécieront de voir ou revoir quelques grands classiques (Mizoguchi, Kurosawa, Ozu, Naruse) en provenance d’une cinématographie qui fut l’égale d’Hollywood à deux reprises dans son histoire. À ces œuvres du patrimoine mondial se joindront des films rares de réalisateurs déjà familiers des cinéphiles (Keisuke Kinoshita, Kihachi Okamoto, Kirio Urayama, Nobuo Nakagawa), mais aussi « d’auteurs-surprises » (Kôzô Saeki, Kunio Watanabe, Seiji Hisamatsu) comme il en existe encore beaucoup au Japon. Ils découvriront également un hommage en 14 films à Jun Ichikawa, disparu en 2008. Les petits contes familiaux, initiatiques et moraux au sens où l’entendait Eric Rohmer (« histoire de personnages qui aiment bien analyser leurs pensées et leurs états d’esprits ») dont Ichikawa fut un grand admirateur, offrent une occasion rare de se plonger dans le quotidien et les préoccupations de l’homme du commun japonais aux cours de ces deux dernières décennies.
Pour ceux qui désirent mieux connaître le Japon, ou pour une première approche, les thématiques proposées ne manqueront pas de satisfaire leur curiosité dans des domaines aussi variés que la famille, les enfants, l’amour, la représentation du paysage, le sens de la vie et de la mort, la nostalgie du pays natal, les héroïnes japonaises ou encore la société de l’après-guerre.
D’autres programmes aborderont le Japon d’un point de vue original : son histoire moderne (1868 - 1945) à travers des superproductions populaires inédites ; les mutations économiques et sociales actuelles vécues au quotidien et analysées par des documentaires percutants ; ou bien les dernières évolutions du phénomène otaku comme remède anti-crise. Enfin, une sélection d’une vingtaine de comédies, des films de l’âge d’or aux productions récentes, viendra s’associer au second volet de l’exposition sur le rire prévue cet automne à la Maison de la culture du Japon à Paris. Quelques inédits de la série Tora-san, c’est dur d’être un homme seront programmés à cette occasion.
Ce cycle est inauguré par une thématique consacrée au 11 mars 2011. Intitulée « Avant, pendant et après Fukushima », elle revient sur la catastrophe et ses conséquences avec des reportages de la chaîne nationale NHK : l’annonce d’un séisme d’une puissance inédite, les premières heures qui ont suivi le tsunami, l’accident de la centrale nucléaire, la vie des réfugiés, les initiatives locales participant à l’effort de reconstruction. Cette actualité est mise en perspective avec d’autres films plus au moins récents (documentaires et fictions) qui traitent du problème des ressources et de la biodiversité (La rivière Arakawa, Les pluies éternelles d’Ôdaigahara), du péril atomique (Alexei et la source, Pluie noire, Les enfants d’Hiroshima), des violences naturelles imprévisibles (La submersion du Japon, Le volcan tueur) : ces questions traitées du point de vue de réalisateurs japonais invitent à une réflexion globale sur la capacité des hommes, réelle ou fantasmée, de maîtriser leur environnement.
le catalogue
Le calendrier des projections
http://www.mcjp.fr/francais/cinema/paysages-du-cinema-japonais-389/calendrier-des-projections-530
Maison de la culture du Japon à Paris
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Dernière édition par Admin le Jeu 12 Juil 2012 - 5:55, édité 2 fois
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Promenades indochinoises - Exposition dans la rotonde (4e étage) du musée Guimet.
Photographies de Pierre BONNET
A l’issue d’une proposition de don de photographies sur l’Indochine de 1921 à 1935 prises par Pierre Bonnet, alors qu’il effectuait différentes missions pour la Société Française des Distilleries de l’Indochine.
Le musée organise une exposition de ces photographies en hommage à l’auteur mais également au donateur, son fils Roger Bonnet, pour l’extraordinaire travail de documentation qu’il a réalisé à partir des simples légendes transmises par son père.
Dans cette exposition, sont présentées des photographies du Cambodge, de la Cochinchine et du Tonkin : le site d’Angkor en février 1930, quelques lieux touristiques à Saigon et aux alentours entre 1921 et 1924 (Jardin botanique, Cap Saint-Jacques,…) et la vie d’expatriés français au Tonkin entre 1921 et 1929 au travers de photographies prises sur leur lieu de travail (architecture industrielle), dans l’intimité de la famille (décoration intérieure, mode vestimentaire,…) et lors d’excursions touristiques (cérémonies, ethnographie, paysages,…).
vue prise du milieu de la chaussée reliant l’enceinte IV à la pyramide, février 1930.
source http://www.guimet.fr/fr/expositions/expositions-a-venir/promenades-indochinoises
A l’issue d’une proposition de don de photographies sur l’Indochine de 1921 à 1935 prises par Pierre Bonnet, alors qu’il effectuait différentes missions pour la Société Française des Distilleries de l’Indochine.
Le musée organise une exposition de ces photographies en hommage à l’auteur mais également au donateur, son fils Roger Bonnet, pour l’extraordinaire travail de documentation qu’il a réalisé à partir des simples légendes transmises par son père.
Dans cette exposition, sont présentées des photographies du Cambodge, de la Cochinchine et du Tonkin : le site d’Angkor en février 1930, quelques lieux touristiques à Saigon et aux alentours entre 1921 et 1924 (Jardin botanique, Cap Saint-Jacques,…) et la vie d’expatriés français au Tonkin entre 1921 et 1929 au travers de photographies prises sur leur lieu de travail (architecture industrielle), dans l’intimité de la famille (décoration intérieure, mode vestimentaire,…) et lors d’excursions touristiques (cérémonies, ethnographie, paysages,…).
vue prise du milieu de la chaussée reliant l’enceinte IV à la pyramide, février 1930.
source http://www.guimet.fr/fr/expositions/expositions-a-venir/promenades-indochinoises
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
La lettre du musée Guimet http://www.guimet.fr/images/musee-guimet/pdf/la_lettre_de_guimet.pdf
Le programme du musée guimet http://www.guimet.fr/images/musee-guimet/pdf/calandrier_ldg_01.pdf
Le programme du musée guimet http://www.guimet.fr/images/musee-guimet/pdf/calandrier_ldg_01.pdf
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01 - 31 octobre L'expophoto "Tant de façons d'imaginer le monde"
A travers l’œil de Vincent de Louvigny , ce sont des moments uniques capturés par l´objectif, des souvenirs particuliers imprimés sur la pellicule.
L´exposition « Tant de façons d´imager le monde » est le témoignage de son expérience autour du globe afin de partager ce qu´il a ...
vécu. Partager avec son public, mais aussi avec tous ceux qui lui ont permis de vivre cette aventure. C´est pourquoi Vincent de Louvigny a exprimé le désir de faire don d´une partie de ses droits d´auteur à des associations caritatives, mondialement présentes auprès de ces populations. Tout comme Vincent de Louvigny a voyagé, ce témoignage a pour vocation d´être itinérant, d´aller à la rencontre de son public en multipliant la diversité des endroits qui l´accueillent.
Vincent de Louvigny est né en 1973. Dirigeant de l´agence de communication Open Your Com depuis onze ans, le photographe est également un voyageur passionné qui explore le monde depuis ses 22 ans, armé de son appareil photo pour saisir l´instant. Il se définit comme amateur, dans le sens étymologique du terme, c´est à dire aimer. Aimer et faire aimer ce qu´il capte à travers des lieux et des rencontres.
Informations pratiques :
Agence Terres d'Aventure Paris
30 rue Saint Augustin
75002 Paris
http://www.terdav.com/EspritTerdav/Evenements
L´exposition « Tant de façons d´imager le monde » est le témoignage de son expérience autour du globe afin de partager ce qu´il a ...
vécu. Partager avec son public, mais aussi avec tous ceux qui lui ont permis de vivre cette aventure. C´est pourquoi Vincent de Louvigny a exprimé le désir de faire don d´une partie de ses droits d´auteur à des associations caritatives, mondialement présentes auprès de ces populations. Tout comme Vincent de Louvigny a voyagé, ce témoignage a pour vocation d´être itinérant, d´aller à la rencontre de son public en multipliant la diversité des endroits qui l´accueillent.
Vincent de Louvigny est né en 1973. Dirigeant de l´agence de communication Open Your Com depuis onze ans, le photographe est également un voyageur passionné qui explore le monde depuis ses 22 ans, armé de son appareil photo pour saisir l´instant. Il se définit comme amateur, dans le sens étymologique du terme, c´est à dire aimer. Aimer et faire aimer ce qu´il capte à travers des lieux et des rencontres.
Informations pratiques :
Agence Terres d'Aventure Paris
30 rue Saint Augustin
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http://www.terdav.com/EspritTerdav/Evenements
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