Birmanie - Vers un développement du tourisme
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Birmanie - Vers un développement du tourisme
La Birmanie va-t-elle devenir une destination de vacances ? Aux dires des connaisseurs, le pays ne manque pas d'atouts. Mais il a été dirigé pendant des années par une junte militaire et certains touristes refusaient de venir pour ne pas cautionner un tel régime.
L'ouverture politique enclenchée ces derniers mois pourrait se traduire par une arrivée massive de touristes. "Pendant lontemps, explique ce responsable d'agence de voyage, les gens se disaient qu'il ne fallait pas venir en raison de l'embargo. Mais maintenant, ils se disent qu'ils peuvent venir".
Ce jeudi, l'Union européenne a fait un pas de plus vers une levée des sanctions. D'autres pays s'apprêtent à faire de même. Parallèlement, les autorités birmanes se disent déterminées à promouvoir le tourisme. Selon les chiffres officiels, un peu plus de 300 000 personnes ont visité le pays en 2010. Cette année, cela pourrait être plus du double.
L'ouverture politique enclenchée ces derniers mois pourrait se traduire par une arrivée massive de touristes. "Pendant lontemps, explique ce responsable d'agence de voyage, les gens se disaient qu'il ne fallait pas venir en raison de l'embargo. Mais maintenant, ils se disent qu'ils peuvent venir".
Ce jeudi, l'Union européenne a fait un pas de plus vers une levée des sanctions. D'autres pays s'apprêtent à faire de même. Parallèlement, les autorités birmanes se disent déterminées à promouvoir le tourisme. Selon les chiffres officiels, un peu plus de 300 000 personnes ont visité le pays en 2010. Cette année, cela pourrait être plus du double.
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Date d'inscription : 31/05/2009
la Thaïlande face à l’ogre birman
Pour les tour-opérateurs de Bangkok, il ne faudra que trois ans au voisin birman pour devenir le plus puissant concurrent du tourisme en Thaïlande.
La comparaison des deux pays fait pourtant penser à David contre Goliath : un peu plus de 816 000 touristes se sont rendus en Birmanie l’année dernière, alors que la Thaïlande en accueillait dans le même temps plus de 19 millions – avec un chiffre d’affaires de 19,2 milliards d’euros. Mais la plage de Ngapali vaut bien celles de Phuket ou Koh Samui, la pagode Shwedagon n’a rien à envier au Palais Royal, la Birmanie a conservé son caractère authentique – et dispose même de vraies montagnes.
Et les choses vont vite dans la région : les touristes se sont détournés du Pays du Sourire à deux reprises ces dernières années, après les inondations catastrophiques de 2011 (qui ont profité en particulier au Vietnam) ou les troubles politiques un an plus tôt à Bangkok.
Ce qui pousse le président de l’Association des Tour-opérateurs de Thaïlande (ATTA) Susdivachr Cheewarattanaporn à s’inquiéter d’une montée en puissance rapide du voisin. Interrogé par le Bangkok Post, il voit tout de même deux obstacles se dresser devant le développement du tourisme birman : l’absence d’un cadre juridique sur l’investissement, et la situation politique. Mais il prévient quand même ses ouailles : il faut surveiller attentivement l’évolution de la situation, et être prêt à saisir toutes les opportunités.
Son homologue birman Maung Maung Swe semble vouloir relativiser la «menace», même si il est d’accord sur l’investissement : la Birmanie ne compte qu’environ 25 000 chambres dans 744 hôtels, un manque d’infrastructures flagrant qui nuira forcément à l’explosion rapide du tourisme. Même s’il estime que le nouveau gouvernement prête une attention particulière au secteur, il lui demande par exemple d’allonger la durée du leasing de terrain de 30 à 50 ans pour les investisseurs étrangers, et surtout de permettre à ces derniers de posséder à 100% les hôtels cinq étoiles (seuls les deux étoiles et moins seraient «réservés» aux Birmans).
L’avenir dira si les tour-opérateurs de Thaïlande avaient raison, ou si les investisseurs ont écouté Aung San Suu Kyi, qui les prévenait il y a quelques jours lors de son passage à Bangkok : «Même la meilleure loi sur les investissements ne sera d’aucune utilité s’il n’y a pas de tribunal suffisamment propre et indépendant pour l’appliquer de façon juste». Une prudence qui plairait certainement aux ONG, inquiètent de voir la Birmanie demander conseil à son voisin thaïlandais sur comment rendre le pays plus attractif pour les touristes…
http://asie-info.fr/
La comparaison des deux pays fait pourtant penser à David contre Goliath : un peu plus de 816 000 touristes se sont rendus en Birmanie l’année dernière, alors que la Thaïlande en accueillait dans le même temps plus de 19 millions – avec un chiffre d’affaires de 19,2 milliards d’euros. Mais la plage de Ngapali vaut bien celles de Phuket ou Koh Samui, la pagode Shwedagon n’a rien à envier au Palais Royal, la Birmanie a conservé son caractère authentique – et dispose même de vraies montagnes.
Et les choses vont vite dans la région : les touristes se sont détournés du Pays du Sourire à deux reprises ces dernières années, après les inondations catastrophiques de 2011 (qui ont profité en particulier au Vietnam) ou les troubles politiques un an plus tôt à Bangkok.
Ce qui pousse le président de l’Association des Tour-opérateurs de Thaïlande (ATTA) Susdivachr Cheewarattanaporn à s’inquiéter d’une montée en puissance rapide du voisin. Interrogé par le Bangkok Post, il voit tout de même deux obstacles se dresser devant le développement du tourisme birman : l’absence d’un cadre juridique sur l’investissement, et la situation politique. Mais il prévient quand même ses ouailles : il faut surveiller attentivement l’évolution de la situation, et être prêt à saisir toutes les opportunités.
Son homologue birman Maung Maung Swe semble vouloir relativiser la «menace», même si il est d’accord sur l’investissement : la Birmanie ne compte qu’environ 25 000 chambres dans 744 hôtels, un manque d’infrastructures flagrant qui nuira forcément à l’explosion rapide du tourisme. Même s’il estime que le nouveau gouvernement prête une attention particulière au secteur, il lui demande par exemple d’allonger la durée du leasing de terrain de 30 à 50 ans pour les investisseurs étrangers, et surtout de permettre à ces derniers de posséder à 100% les hôtels cinq étoiles (seuls les deux étoiles et moins seraient «réservés» aux Birmans).
L’avenir dira si les tour-opérateurs de Thaïlande avaient raison, ou si les investisseurs ont écouté Aung San Suu Kyi, qui les prévenait il y a quelques jours lors de son passage à Bangkok : «Même la meilleure loi sur les investissements ne sera d’aucune utilité s’il n’y a pas de tribunal suffisamment propre et indépendant pour l’appliquer de façon juste». Une prudence qui plairait certainement aux ONG, inquiètent de voir la Birmanie demander conseil à son voisin thaïlandais sur comment rendre le pays plus attractif pour les touristes…
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Afflux de touristes en Birmanie
Les hôtels sont pleins ou hors de prix, les dollars froissés sont refusés et les cartes de crédit inutiles. Bienvenue en Birmanie, la destination touristique à la mode, qui a toutes les peines du monde à faire face à l'afflux de visiteurs. Cinquante ans de dictature militaire ont complètement isolé le pays et entraîné un boycott touristique sévère, soutenu par l'opposante et icône de la démocratie Aung San Suu Kyi. Mais un an après la dissolution de la junte en mars 2011 et une série de réformes politiques spectaculaires, le stigmate a disparu. Et la Birmanie est redevenue non seulement fréquentable, mais séduisante.
"Parce que le pays a été très isolé, le 'pays des pagodes dorées' résonne d'une forte authenticité, protégé du tourisme de masse et empreint d'une hospitalité véritable", écrivait le New York Times en janvier, la plaçant à la troisième place des 45 destinations incontournables en 2012. Un enthousiasme aussi sincère que brutal, qui constitue un insurmontable défi pour une industrie naissante. "Pour être vraiment honnête, à ce stade, je ne pense pas que la Birmanie soit prête à faire face à la demande du tourisme de masse", estime ainsi Thomas Moons, un responsable du Governor's Residence à Rangoun, un hôtel de luxe constamment plein.
A la célèbre pagode Shwedagon de Rangoun, les moines en robe bordeaux habitués à faire le tour du stupa doré dans le plus grand calme doivent désormais se frayer un chemin entre les touristes. Qui tentent à leur tour, appareil photo en main, de trouver un cadre débarrassé des autres vacanciers. Car les arrivées internationales ont littéralement explosé, avec quelque 365.000 touristes atterrissant à Rangoun en 2011, soit une hausse de 22% par rapport à l'année précédente et près du double de 2003.
Des dollars parfaits sinon rien
Cette année devrait atteindre de nouveaux records, avec 175.000 arrivées à l'aéroport de l'ancienne capitale entre janvier et avril, contre moins de 130.000 sur la même période en 2011, selon des chiffres du secteur.
Certains habitués sont déjà déçus. Comme Klaus, touriste allemand de 61 ans, qui en est à son troisième séjour. "Il y a trop de monde cette fois", se lamente-t-il, à une époque habituellement déserte pour cause de pic de chaleur.
"Les gens dans les hôtels étaient tellement gentils avant, souriants et s'occupant de vous, mais ils n'ont plus le temps (...). Et les prix des hôtels crèvent le plafond".
Les palaces sont en effet "surpeuplés comme jamais" surtout à Rangoun, et ont augmenté leurs prix en conséquence, confirme Phyoe Wai Yar Zar, de l'Office du tourisme de Birmanie.
Mais le logement n'est pas le seul obstacle pour des Occidentaux habitués à une Asie du Sud-Est facile, en particulier la Thaïlande voisine. Presque aucun établissement n'accepte les cartes bancaires, obligeant le voyageur avisé à prendre avec lui, en dollars, la totalité de ce qu'il entend dépenser.
Et si la récente réforme monétaire permet de changer de l'argent à un taux compétitif dans des bureaux officiels au lieu de recourir au marché noir, il faut fournir des dollars propres, repassés et sans défauts. Sous peine de se les voir refuser.
"Des touristes sont arrivés en Birmanie sans suffisamment d'informations et n'ont pas pris assez de liquide pour leur séjour", témoigne ainsi avec regret Phyoe Wai Yar Zar.
Les visiteurs doivent donc se rappeler que la Birmanie demeure un des pays les plus pauvres de la planète.
"Nous allons continuer nos opérations là-bas, mais les attentes des clients devront être gérées", note Andrew Appleyard, de l'agence britannique Exodus Travels, qui a remis la Birmanie sur la liste de ses destinations en 2011 après dix ans d'absence.
"Le service est lent, les choses ne marchent pas toujours et vous devez partager des endroits comme la Shwedagon avec des centaines de touristes".
http://www.lefigaro.fr/
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Quel tourisme pour la Birmanie?
Un expert des Nations unies enjoint le gouvernement de privilégier le tourisme de qualité à la quantité. Plus facile à dire qu’à faire…
La Birmanie s’ouvre au monde, et cette ouverture va permettre aux touristes du monde entier de découvrir les nombreux joyaux architecturaux que recèle le pays. A Rangoon, lors d’un récent colloque sur le tourisme, Hans Carl Jacobsen, expert auprès de l’organisation mondiale du tourisme, dépendant des Nations unies a demandé aux Birmans de privilégier le tourisme de qualité au tourisme de masse.
Dans un premier temps, rappelle le magazine Irrawaddy, le nombre de touristes sera forcément restreint par l’absence d’infrastructures. Après des années de dictature et de repli sur lui-même, le pays manque de tout : d’hôtels, de routes, de moyens de transport et de communication. Un analyste, cité par le journal, explique qu’à son sens, seuls 25000 « vrais » touristes internationaux sont venus en Birmanie en 2011. Selon lui, la majorité des 391 000 visiteurs étrangers venus l’an passé en terre birmane est constitué d’hommes d’affaires et des habitants des pays frontaliers, Thaïlande notamment.
Mais il arrivera forcément un jour, où le nombre de visiteurs explosera, étant donné le potentiel touristique du pays. Que fera à ce moment-là le gouvernement ? Les exemples donnés par les voisins n’incitent guère à l’optimisme. Trop souvent, le développement du tourisme répond à une logique de rentabilité immédiate. L’environnement et le patrimoine sont les premières victimes de cette vision à court terme. Sans compter, qu’il n’est guère dans la culture asiatique de vouloir préserver l’ancien à tout prix…
Dans le livre Passage sur le Mékong, le chercheur Guy Lubeigt passe en revue les différentes richesses architecturales des pays riverains du Mékong. Si le tourisme de masse fait peser des menaces sur plusieurs d’entre-elles (Ayuthaya, les temples d’Angkor…), M. Lubeigt cite le cas de Luang Prabang au Laos, qui serait selon lui, un modèle de préservation. Un exemple à suivre pour la Birmanie ?
http://asie-info.fr/2012/07/30/quel-tourisme-pour-la-birmanie-57412.html
France 2 - Envoyé spécial du 05/07/2012.
La Birmanie s’ouvre au monde, et cette ouverture va permettre aux touristes du monde entier de découvrir les nombreux joyaux architecturaux que recèle le pays. A Rangoon, lors d’un récent colloque sur le tourisme, Hans Carl Jacobsen, expert auprès de l’organisation mondiale du tourisme, dépendant des Nations unies a demandé aux Birmans de privilégier le tourisme de qualité au tourisme de masse.
Dans un premier temps, rappelle le magazine Irrawaddy, le nombre de touristes sera forcément restreint par l’absence d’infrastructures. Après des années de dictature et de repli sur lui-même, le pays manque de tout : d’hôtels, de routes, de moyens de transport et de communication. Un analyste, cité par le journal, explique qu’à son sens, seuls 25000 « vrais » touristes internationaux sont venus en Birmanie en 2011. Selon lui, la majorité des 391 000 visiteurs étrangers venus l’an passé en terre birmane est constitué d’hommes d’affaires et des habitants des pays frontaliers, Thaïlande notamment.
Mais il arrivera forcément un jour, où le nombre de visiteurs explosera, étant donné le potentiel touristique du pays. Que fera à ce moment-là le gouvernement ? Les exemples donnés par les voisins n’incitent guère à l’optimisme. Trop souvent, le développement du tourisme répond à une logique de rentabilité immédiate. L’environnement et le patrimoine sont les premières victimes de cette vision à court terme. Sans compter, qu’il n’est guère dans la culture asiatique de vouloir préserver l’ancien à tout prix…
Dans le livre Passage sur le Mékong, le chercheur Guy Lubeigt passe en revue les différentes richesses architecturales des pays riverains du Mékong. Si le tourisme de masse fait peser des menaces sur plusieurs d’entre-elles (Ayuthaya, les temples d’Angkor…), M. Lubeigt cite le cas de Luang Prabang au Laos, qui serait selon lui, un modèle de préservation. Un exemple à suivre pour la Birmanie ?
http://asie-info.fr/2012/07/30/quel-tourisme-pour-la-birmanie-57412.html
France 2 - Envoyé spécial du 05/07/2012.
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la Thaïlande a les yeux de Chimène pour la Birmanie
Les Thaïlandais devraient constituer en 2012 un des premiers contingents de visiteurs en Birmanie, en hausse de 30% par rapport à l’année dernière.
La Thaïlande devrait être, avec la Malaisie, l’un des deux pays d’Asie du Sud-Est dont les ressortissants auront fréquenté en grand nombre la Birmanie en 2012. C’est, du moins, ce que conclut une étude du Kasikorn Research Center, filière de la banque du même nom, citée par l’Irrawaddy. Selon cette enquête, 90 000 Thaïlandais sont attendus cette année sur le sol birman, en augmentation de 30% par rapport à l’année dernière. Ils compteront pour environ 18% des visiteurs étrangers qui, au total, devraient dépenser quelque 400 millions de dollars (320 millions d’€). Sans surprise, les chercheurs placent la Chine, la Corée du sud et le Japon comme principaux pourvoyeurs de touristes en Birmanie. Ils le sont déjà dans nombre de pays du sud-est asiatique (Cambodge, Thaïlande, et Laos notamment).
Pour faire face à cette hausse, les Thaïlandaises Thaï Airways et Bangkok Airways, à l’instar de nombreuses compagnies aériennes asiatiques, annoncent une augmentation de leurs fréquences. Thai Asia, filiale de Air Asia, lancera en octobre une liaison Bangkok-Mandalay. Selon le site Air Journal, le nombre de sièges disponibles pour la seule ville de Rangoon devrait être en augmentation de 26% en novembre 2012 par rapport à novembre 2011. L’Irrawaddy annonce la prochaine rénovation des aéroports de Mandalay et de Rangoon, ainsi que, dans un second temps, l’extension de ceux de Bagan et Naypyidaw.
La Birmanie pense accueillir 500.000 visiteurs étrangers en 2012. Le Lonely Planet en a même fait l’une des 10 destinations mondiales à découvrir cette année. Malgré ces signaux au vert, le manque de chambres d’hôtel et de moyens de communication sur l’ensemble du territoire devrait ralentir le développement touristique du pays, du moins le temps que celui-ci se mette à niveau.
Si les Thaïlandais se pressent pour découvrir les trésors de Birmanie, l’inverse est vrai aussi. Le Bangkok Post indique en effet que 135.000 touristes birmans sont attendus en Thaïlande en 2012, soit une affluence en hausse de 22% par rapport à 2011.
http://asie-info.fr/2012/08/25/tourisme-la-thailande-a-les-yeux-de-chimene-pour-la-birmanie-58385.html
La Thaïlande devrait être, avec la Malaisie, l’un des deux pays d’Asie du Sud-Est dont les ressortissants auront fréquenté en grand nombre la Birmanie en 2012. C’est, du moins, ce que conclut une étude du Kasikorn Research Center, filière de la banque du même nom, citée par l’Irrawaddy. Selon cette enquête, 90 000 Thaïlandais sont attendus cette année sur le sol birman, en augmentation de 30% par rapport à l’année dernière. Ils compteront pour environ 18% des visiteurs étrangers qui, au total, devraient dépenser quelque 400 millions de dollars (320 millions d’€). Sans surprise, les chercheurs placent la Chine, la Corée du sud et le Japon comme principaux pourvoyeurs de touristes en Birmanie. Ils le sont déjà dans nombre de pays du sud-est asiatique (Cambodge, Thaïlande, et Laos notamment).
Pour faire face à cette hausse, les Thaïlandaises Thaï Airways et Bangkok Airways, à l’instar de nombreuses compagnies aériennes asiatiques, annoncent une augmentation de leurs fréquences. Thai Asia, filiale de Air Asia, lancera en octobre une liaison Bangkok-Mandalay. Selon le site Air Journal, le nombre de sièges disponibles pour la seule ville de Rangoon devrait être en augmentation de 26% en novembre 2012 par rapport à novembre 2011. L’Irrawaddy annonce la prochaine rénovation des aéroports de Mandalay et de Rangoon, ainsi que, dans un second temps, l’extension de ceux de Bagan et Naypyidaw.
La Birmanie pense accueillir 500.000 visiteurs étrangers en 2012. Le Lonely Planet en a même fait l’une des 10 destinations mondiales à découvrir cette année. Malgré ces signaux au vert, le manque de chambres d’hôtel et de moyens de communication sur l’ensemble du territoire devrait ralentir le développement touristique du pays, du moins le temps que celui-ci se mette à niveau.
Si les Thaïlandais se pressent pour découvrir les trésors de Birmanie, l’inverse est vrai aussi. Le Bangkok Post indique en effet que 135.000 touristes birmans sont attendus en Thaïlande en 2012, soit une affluence en hausse de 22% par rapport à 2011.
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Date d'inscription : 31/05/2009
les touristes birmans en Thailande
Bonjour ,
Vous y croyez vraiment ,à135 000 birmans se deplacant en touristes en Thailande en une année ??
Ca fait beaucoup ,non ,etant donné le nbre de gens susceptiblent d'avoir les moyens de prendre l'avion et de se payer des ouacances en Thailande ,pays reputés riche et cher en Ase ..
ou alors me plantje ???
merci a ceux quiont une idée plus précise de la chose ,
Vous y croyez vraiment ,à135 000 birmans se deplacant en touristes en Thailande en une année ??
Ca fait beaucoup ,non ,etant donné le nbre de gens susceptiblent d'avoir les moyens de prendre l'avion et de se payer des ouacances en Thailande ,pays reputés riche et cher en Ase ..
ou alors me plantje ???
merci a ceux quiont une idée plus précise de la chose ,
Blue Sky- Localisation : ma verte Alsace ...et partout ailleurs ??
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Date d'inscription : 02/06/2009
Re: Birmanie - Vers un développement du tourisme
Ca parait beaucoup en effet, en moyenne + de 350 personnes par jour ! surement sur-estimé pour la Thailande.
Mais toujours est il que lorsque tu voyages avec Myanmar International entre Rangoon et Bangkok, la majorité des passagers sont birmans,
et comme il y a 2 vols par jours...
et peut-être aussi des points de passages terrestres autorisés pour les birmans ?
Ensuite, le terme "touriste" n'est peut-être pas non plus le mieux approprié, business man/woman, commerçants ... ?
Mais toujours est il que lorsque tu voyages avec Myanmar International entre Rangoon et Bangkok, la majorité des passagers sont birmans,
et comme il y a 2 vols par jours...
et peut-être aussi des points de passages terrestres autorisés pour les birmans ?
Ensuite, le terme "touriste" n'est peut-être pas non plus le mieux approprié, business man/woman, commerçants ... ?
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Date d'inscription : 31/05/2009
les hôteliers se font tirer les oreilles
Les autorités birmanes craignent que les prix excessifs pratiqués par certains hôtels ne ternissent la réputation du pays. Le prix des chambres pourrait être plafonné.
Etat paria pendant de longues années, la Birmanie est à nouveau une destination touristique fréquentable. Sur les sept premiers mois de l’année, le nombre d’arrivées est en hausse de 37,5% par rapport à la même période en 2011, selon le Myanmar Times. Touristes et hommes d’affaires ont ainsi été 280.000 à franchir les services d’immigration de l’aéroport de Rangoon et près de 20.000 autres à passer par d’autres points d’entrée. A la fin de l’année, le total pourrait s’élever à 500.000. Et la tendance se confirmera sans nul doute en 2013 alors que les magazines de voyage encensent cette «nouvelle» destination.
Mais, voilà, le développement des infrastructures ne suit pas. Le secteur de l’hôtellerie peine, en particulier, à faire face à la demande. A la faveur de ce déséquilibre, les prix des chambres ont tendance à flamber. Au point où les autorités s’inquiètent de voir l’image de la Birmanie, à peine redorée, se ternir à nouveau. Aussi ont-elles décidé de remonter les bretelles de ceux qui abusent et, plus précisément, des établissements tenus par des étrangers. Selon le supplément «Voyages» du Telegraph du 7 septembre, le ministère des Hôtels et du Tourisme impose désormais aux hôtels ne pas facturer la nuitée plus de 150 dollars.
Le Sedona Hotel Yangon, propriété d’un investisseur de Singapour, a décidé de passer outre et de continuer de faire payer certaines de ses chambres 220 dollars. Le ministère menace désormais son directeur d’interdiction de territoire pendant six mois, selon un courrier obtenu par le quotidien britannique. «Durant cette période, vous serez cordialement priés de trouver un remplaçant à M. Saman [Sarathchandra]. Nous observerons alors la situation et prendrons les mesures qui s’imposent si aucun progrès n’est constaté», écrit le ministère.
http://asie-info.fr/2012/09/10/birmanie-les-hoteliers-se-font-tirer-les-oreilles-59534.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Etat paria pendant de longues années, la Birmanie est à nouveau une destination touristique fréquentable. Sur les sept premiers mois de l’année, le nombre d’arrivées est en hausse de 37,5% par rapport à la même période en 2011, selon le Myanmar Times. Touristes et hommes d’affaires ont ainsi été 280.000 à franchir les services d’immigration de l’aéroport de Rangoon et près de 20.000 autres à passer par d’autres points d’entrée. A la fin de l’année, le total pourrait s’élever à 500.000. Et la tendance se confirmera sans nul doute en 2013 alors que les magazines de voyage encensent cette «nouvelle» destination.
Mais, voilà, le développement des infrastructures ne suit pas. Le secteur de l’hôtellerie peine, en particulier, à faire face à la demande. A la faveur de ce déséquilibre, les prix des chambres ont tendance à flamber. Au point où les autorités s’inquiètent de voir l’image de la Birmanie, à peine redorée, se ternir à nouveau. Aussi ont-elles décidé de remonter les bretelles de ceux qui abusent et, plus précisément, des établissements tenus par des étrangers. Selon le supplément «Voyages» du Telegraph du 7 septembre, le ministère des Hôtels et du Tourisme impose désormais aux hôtels ne pas facturer la nuitée plus de 150 dollars.
Le Sedona Hotel Yangon, propriété d’un investisseur de Singapour, a décidé de passer outre et de continuer de faire payer certaines de ses chambres 220 dollars. Le ministère menace désormais son directeur d’interdiction de territoire pendant six mois, selon un courrier obtenu par le quotidien britannique. «Durant cette période, vous serez cordialement priés de trouver un remplaçant à M. Saman [Sarathchandra]. Nous observerons alors la situation et prendrons les mesures qui s’imposent si aucun progrès n’est constaté», écrit le ministère.
http://asie-info.fr/2012/09/10/birmanie-les-hoteliers-se-font-tirer-les-oreilles-59534.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
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Orient-Express en Birmanie
Le groupe hôtelier de luxe, déjà présent en Birmanie, a débuté, à Rangoon, la construction d’un second bateau. Sa mise en service est prévue en juillet 2013.
Le nom évoque davantage les voies de chemin de fer que les flots. Pourtant, depuis le rachat en 1976 du train mythique par l’Américain James Sherwood, Orient-Express s’est diversifié pour s’imposer comme un géant de l’hôtellerie et du tourisme de luxe. Aujourd’hui, il possède entièrement ou en partie 40 hôtels, dont le Governor’s Residence à Rangoon, un restaurant, six trains touristiques et deux bateaux de croisière fluviale dans une vingtaine de pays à travers le monde. En 2013, si ses projets sont menés à terme, il ajoutera un nouveau bateau à cette longue liste.
L’Orcaella, du nom scientifique des dauphins de l’Irrawaddy, est en effet en cours de construction à Rangoon. Doté de 25 cabines pouvant accueillir 50 passagers au maximum, il ressemblera, en plus petit, au Road to Mandalay, opéré par le groupe depuis 17 ans. Mais, à la différence de son grand frère, il devrait offrir des croisières plus longues, entre sept et onze jours. Sur le fleuve Irrawaddy, il proposera toutes sortes d’itinéraires entre Rangoon, Bagan, Mandalay et Bhamo. Sa petite taille lui permettra aussi de s’aventurer jusqu’à Homalin, une petite ville du Nord-Ouest dans la région de Sagaing, bâtie sur le Chindwin, principal affluent de l’Irrawaddy.
Interrogée par le Myanmar Times, Anna Nash, directrice des relations publiques d’Orient-Express, explique que la mise en service de l’Orcaella est destinée «à répondre à la demande générée par la popularité croissante du Myanmar comme destination touristique». «L’offre des bateaux de croisière est limitée. Il n’y en a pour l’heure que cinq naviguant sur l’Irrawaddy, totalisant moins de 250 couchages.» Ce genre d’escapade ne s’adresse toutefois qu’à une clientèle extrêmement fortunée. A titre d’exemple, trois nuits entre Mandalay et Bagan sont annoncées, sur le site du groupe, entre 2,400 et 5,730 dollars. Un tarif qui sera revu à la hausse dès 2013.
http://asie-info.fr/2012/09/15/orient-express-en-birmanie-un-2e-bateau-de-croisiere-en-chantier-59629.html
Le nom évoque davantage les voies de chemin de fer que les flots. Pourtant, depuis le rachat en 1976 du train mythique par l’Américain James Sherwood, Orient-Express s’est diversifié pour s’imposer comme un géant de l’hôtellerie et du tourisme de luxe. Aujourd’hui, il possède entièrement ou en partie 40 hôtels, dont le Governor’s Residence à Rangoon, un restaurant, six trains touristiques et deux bateaux de croisière fluviale dans une vingtaine de pays à travers le monde. En 2013, si ses projets sont menés à terme, il ajoutera un nouveau bateau à cette longue liste.
L’Orcaella, du nom scientifique des dauphins de l’Irrawaddy, est en effet en cours de construction à Rangoon. Doté de 25 cabines pouvant accueillir 50 passagers au maximum, il ressemblera, en plus petit, au Road to Mandalay, opéré par le groupe depuis 17 ans. Mais, à la différence de son grand frère, il devrait offrir des croisières plus longues, entre sept et onze jours. Sur le fleuve Irrawaddy, il proposera toutes sortes d’itinéraires entre Rangoon, Bagan, Mandalay et Bhamo. Sa petite taille lui permettra aussi de s’aventurer jusqu’à Homalin, une petite ville du Nord-Ouest dans la région de Sagaing, bâtie sur le Chindwin, principal affluent de l’Irrawaddy.
Interrogée par le Myanmar Times, Anna Nash, directrice des relations publiques d’Orient-Express, explique que la mise en service de l’Orcaella est destinée «à répondre à la demande générée par la popularité croissante du Myanmar comme destination touristique». «L’offre des bateaux de croisière est limitée. Il n’y en a pour l’heure que cinq naviguant sur l’Irrawaddy, totalisant moins de 250 couchages.» Ce genre d’escapade ne s’adresse toutefois qu’à une clientèle extrêmement fortunée. A titre d’exemple, trois nuits entre Mandalay et Bagan sont annoncées, sur le site du groupe, entre 2,400 et 5,730 dollars. Un tarif qui sera revu à la hausse dès 2013.
http://asie-info.fr/2012/09/15/orient-express-en-birmanie-un-2e-bateau-de-croisiere-en-chantier-59629.html
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Myanmar : les hôtels ont la cote, pas les prisons
Un groupe de moines novices marchent vers la pagode du Vieux Bagan, un futur paradis touristique. La plaine de 42 km du Vieux Bagan, au Myanmar, est parsemé de 3 000 temples anciens et est prisé par les touristes.
Htay Aung est complètement débordé. Il essaie d’attirer de nouvelles lignes aériennes et d’inciter des hôtels à ouvrir dans son pays. «Nos employés doivent apprendre à parler anglais», annonce-t-il. Non, Htay Aung n’est pas le président d’une compagnie chinoise en plein essor, il est le nouveau ministre du Tourisme du Myanmar.
Sa position illustre bien la remarquable transformation de son pays. De paria international, le Myanmar est devenu un pays asiatique à l’économie dynamique. «Nous sommes devenus transparents, nous croyons au changement, confie Htay Aung à Métro. Nous comprenons ce que notre peuple veut et ce dont il a besoin. C’est pourquoi nous nous ouvrons au reste du monde.»
Les réformes opérées par le gouvernement ont été saluées par le président américain, Barack Obama, lors de sa visite dans le pays le weekend dernier. «Le volte-face des Etats-Unis s’est passé plus vite que ce qu’on aurait pensé, explique Jan Zalewski, analyste au IHS Global Insight, spécialiste du Myanmar. Cela indique que les États-Unis soutiennent le processus de démocratisation, et qu’ils ne voudraient pas y perdre sur le plan économique et stratégique en adoptant une approche plus timide.»
Htay Aung joue un rôle crucial dans un pays où le tourisme est un acteur majeur de l’économie. Non seulement ce pays d’Asie du Sud tente d’attirer des politiciens, mais aussi des masses de touristes. «Le Myanmar est un des joyaux les mieux cachés du monde», dit-il. Le président [Thein Sein] essaie de nouer des relations partout dans le monde et la Dame de Rangoon [Aung San Suu Kyi] a fait le tour du monde pour parler du développement du pays et pour en faire la promotion comme une destination vacances de premier choix.
Les pagodes, les anciens palais, les jungles et les plages sont des attraits touristiques prisés au Myanmar, et le pays jouit d’une bonne réputation car il n’a pas été ruiné économiquement à cause de son isolement politique. L’année dernière, 313 127 étrangers ont visité le Myanmar, une augmentation de 5 % depuis 2010. Ce chiffre fait toutefois piètre figure si on le compare aux 19 millions de visiteurs qui choisissent la Thaïlande voisine. Dernièrement, un nouveau phénomène : de nombreux Thaïlandais traversent la frontière jusqu’au Myanmar pour acheter des produits contrefaits de grandes marques occidentales.
«Nous avons aussi nos faiblesses, avoue Htay Aung. Nos infrastructures, c’est-à-dire les télécommunications, les routes et les aéroports, ne sont pas en bon état. Comme le tourisme est un secteur qui offrent des services, nous allons devoir améliorer nos ressources humaines aussi.»
Le pays a toutefois réussi à attirer plusieurs compagnies d’aviation et cherche de nouveaux investissements. «Le Myanmar est très sous-développé en comparaison à ses voisins. Les investisseurs sont donc plus frileux à venir y faire des affaires. Mais cela pourrait aussi leur rapporter» note M. Zalewski. «Nous sommes le plus grand pays de l’Asie du Sud-Est. Nous avons des édifices historiques, un peuple accueillant, et le pays est sécuritaire», se vante enfin Htay Aung.
Former les politiciens
L’International Republican Institute (IRI) a visité le Myanmar de nombreuses fois durant les 20 dernières années et y a reçu un accueil plutôt frileux. «Mais maintenant, il y a beaucoup d’enthousiasme, raconte Julija Belej, directrice de l’IRI en Asie, jointe au téléphone à Rangoon. Il y a beaucoup d’ouverture. Les plus vieux activistes voient ça comme leur plus grand accomplissement, et les jeunes veulent s’engager dans les partis politiques. C’est vraiment excitant quand on sait qu’ils n’ont rien connu d’autres qu’un pays gouverné par la junte militaire.»
L’IRI, basé à Washington, assiste les partis politiques dans leur structuration. L’organisation politique ouvrira un bureau au Myanmar. «Les députés ont très hâte d’organiser leurs institutions, malgré le fait que la démocratie n’est pas complètement instaurée, rapporte Mme Belej. Ils se rendent bien compte qu’il y aura des élections et qu’ils pourraient perdre leur emploi. Les élections de 2015 approchent. Ils pourraient changer d’avis.»
La (quasi) liberté de presse
«Les choses ont beaucoup changé, admet Aye Chan Naing, journaliste birmane et activiste. Maintenant, on peut dire ce qu’on veut. Ou presque.» La liberté de presse est l’une des résolutions du pays dans sa transition démocratique. Cet été, le gouvernement a aboli la censure dans les journaux.
Avant, les médias devaient soumettre leurs papiers à un comité gouvernemental avant publication. «Vous pouvez maintenant aller voir les autorités et leur demander toutes les questions que vous voulez, confirme Aye Chan Naing, qui vit en exil en Thaïlande. Mais les lois oppressives sont encore là. Si le gouvernement veut les mettre en application, il le peut. On aurait des problèmes si on parlait des généraux et des crimes contre l’humanité.»
Les médias sont contraints de suivre des lignes directrices très strictes. Ceux qui les transgressent peuvent se retrouver en prison.
http://journalmetro.com/monde/193115/myanmar-les-hotels-ont-la-cote-pas-les-prisons/
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Myanmar’s tourist arrivals reached 1 million in 2012
Myanmar finally reached its goal of attracting 1 million visitors for the first time, in 2012, according to an official from the Ministry of Hotels and Tourism.
“Preliminary figures are around 1,060,000 when we combine all the [figures] from the airport gateways including Yangon and border-entry points, but we are still checking the official statistics,” said the official.
Visitors entered the country through such important gateways as Yangon, Mandalay, Bagan, Nay Pyi Taw, in addition to many border checkpoints.
About 560,000 visitors entered Myanmar through the Yangon International Airport and the Yangon Port while another 560,000 visitors arrived in the country from the international entry points at the airports in Yangon, Mandalay, and Nay Pyi Taw.
Meanwhile, tourist arrivals from the border-entry points near Thailand and China are estimated at 400,000.
In 2006, Myanmar saw a surge in tourists coming through the gates across the country, but the tourism industry declined at the end of 2007 and continued onward until 2010 due to political changes in the country.
Tourist arrivals started rising in 2011 and it increased after Myanmar became the centre of attention after the by-election in April, 2012.
Aung Din, managing director of Nature Lovers Travels and Tours, said there was an equal increase in both business tourists and international travellers.
Statistics show that Myanmar received more than 810,000 visitors in 2011.
source 11
“Preliminary figures are around 1,060,000 when we combine all the [figures] from the airport gateways including Yangon and border-entry points, but we are still checking the official statistics,” said the official.
Visitors entered the country through such important gateways as Yangon, Mandalay, Bagan, Nay Pyi Taw, in addition to many border checkpoints.
About 560,000 visitors entered Myanmar through the Yangon International Airport and the Yangon Port while another 560,000 visitors arrived in the country from the international entry points at the airports in Yangon, Mandalay, and Nay Pyi Taw.
Meanwhile, tourist arrivals from the border-entry points near Thailand and China are estimated at 400,000.
In 2006, Myanmar saw a surge in tourists coming through the gates across the country, but the tourism industry declined at the end of 2007 and continued onward until 2010 due to political changes in the country.
Tourist arrivals started rising in 2011 and it increased after Myanmar became the centre of attention after the by-election in April, 2012.
Aung Din, managing director of Nature Lovers Travels and Tours, said there was an equal increase in both business tourists and international travellers.
Statistics show that Myanmar received more than 810,000 visitors in 2011.
source 11
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Une envie de plages en Birmanie ?
Avec l’ouverture du pays, le tourisme balnéaire décolle. Ngapali n’est plus, loin s’en faut, l’unique destination des vacanciers.
Le potentiel de la Birmanie en termes touristiques n’est plus à décrire. Des pagodes dorées de Rangoon au pont de teck de Mandalay, en passant par la myriade de temples de Bagan et aux jardins flottants du lac Inle, le pays regorge d’attractions. Moins connues des étrangers sont les plages qui bordent notamment le Golfe de Bengale. En dépit des années de dictature et de fermeture au monde, des investisseurs ont très tôt construit hôtels et autres «resorts». C’est le cas en particulier à Ngapali, au nord-ouest de Rangoon, dont la plage de sable blanc longue de trois kilomètres accueille une clientèle huppée qui y débarque habituellement par avion.
Mais, avec l’explosion annoncée du nombre de touristes dans les années à venir, d’autres lieux commencent à prendre tout autant d’ampleur. Plus au sud de Ngapali par exemple, Chaung Tha et Ngwesaung connaissent une effervescence sans pareil. Ces deux villages, plus proches de Rangoon (7 heures de route) et moins onéreux, ont les faveurs depuis quelques années des habitants de la capitale moins fortunés et d’un nombre croissant d’étrangers. «Chaung Tha a radicalement changé au cours des cinq dernières années, écrit l’Irrawaddy. L’artère principale était jadis calme. Les petits vendeurs de poisson séché qu’on y rencontre encore rappellent le spectacle qui s’y tenait depuis des générations.»
Mais, désormais, ils disparaissent petit à petit face à l’avancée des promoteurs immobiliers. Des squelettes d’hôtels géants dominent maintenant les longues plages. Les complexes hôteliers de luxe se succèdent. «Combien de temps ces plages conserveront leur tranquillité est difficile à dire, relève l’Irrawaddy. Il y a seulement 20 ans, le littoral immaculé de Thaïlande n’abritait guère plus que quelques bars alimentés par des générateurs alors que désormais une industrie de plusieurs millions de dollars l’a investi. Chaung Tha a encore beaucoup de chemin à parcourir mais l’appétit pour les affaires ne fait plus de doute ici.»
http://asie-info.fr/2013/01/13/une-envie-de-plages-en-birmanie-515984.html
Le potentiel de la Birmanie en termes touristiques n’est plus à décrire. Des pagodes dorées de Rangoon au pont de teck de Mandalay, en passant par la myriade de temples de Bagan et aux jardins flottants du lac Inle, le pays regorge d’attractions. Moins connues des étrangers sont les plages qui bordent notamment le Golfe de Bengale. En dépit des années de dictature et de fermeture au monde, des investisseurs ont très tôt construit hôtels et autres «resorts». C’est le cas en particulier à Ngapali, au nord-ouest de Rangoon, dont la plage de sable blanc longue de trois kilomètres accueille une clientèle huppée qui y débarque habituellement par avion.
Mais, avec l’explosion annoncée du nombre de touristes dans les années à venir, d’autres lieux commencent à prendre tout autant d’ampleur. Plus au sud de Ngapali par exemple, Chaung Tha et Ngwesaung connaissent une effervescence sans pareil. Ces deux villages, plus proches de Rangoon (7 heures de route) et moins onéreux, ont les faveurs depuis quelques années des habitants de la capitale moins fortunés et d’un nombre croissant d’étrangers. «Chaung Tha a radicalement changé au cours des cinq dernières années, écrit l’Irrawaddy. L’artère principale était jadis calme. Les petits vendeurs de poisson séché qu’on y rencontre encore rappellent le spectacle qui s’y tenait depuis des générations.»
Mais, désormais, ils disparaissent petit à petit face à l’avancée des promoteurs immobiliers. Des squelettes d’hôtels géants dominent maintenant les longues plages. Les complexes hôteliers de luxe se succèdent. «Combien de temps ces plages conserveront leur tranquillité est difficile à dire, relève l’Irrawaddy. Il y a seulement 20 ans, le littoral immaculé de Thaïlande n’abritait guère plus que quelques bars alimentés par des générateurs alors que désormais une industrie de plusieurs millions de dollars l’a investi. Chaung Tha a encore beaucoup de chemin à parcourir mais l’appétit pour les affaires ne fait plus de doute ici.»
http://asie-info.fr/2013/01/13/une-envie-de-plages-en-birmanie-515984.html
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Birmanie : le tourisme en question
Publication par l’association Info-Birmanie d'une nouvelle version actualisée de son rapport sur le tourisme en Birmanie.
[14 Janvier 2013]
Après des années d'isolement, la Birmanie connaît actuellement un remarquable élan qui tend à l’éloigner de son passé autoritaire. Au niveau international, le gouvernement birman a mis l'accent sur l'acquisition de légitimité et de crédibilité. Les récentes réformes qui ont été mises en place sur le plan des libertés politiques et civiles ont fait surgir tous les espoirs pour la population de Birmanie et semblent indiquer une volonté des autorités birmanes de normaliser leurs relations avec l’Occident.
Cependant, malgré les réformes, le bilan de la Birmanie reste l’un des pires au monde en matière de droits de l'homme ; aussi l'armée détient un contrôle constitutionnel à tous les niveaux du gouvernement. La route vers la démocratie est encore longue et la vigilance s’impose.
C’est pourquoi, voyager en Birmanie reste un cas de conscience toujours d’actualité malgré les progrès accomplis depuis peu en matière de démocratie.
Avec plus d’un million de visiteurs attendu en 2013, le défi consiste maintenant à gérer l'afflux de touristes afin de garantir que ce tourisme en expansion profite à la population, notamment en aidant à lutter contre la pauvreté et en aidant le pays à préserver ses ressources naturelles et culturelles pour l'avenir des futures générations.
L’association Info-Birmanie a décidé de publier une version actualisée de son rapport sur le tourisme
http://www.info-birmanie.org/web/images/stories/Rapport_sur_le_tourisme_en_Birmanie_2013.pdf
afin d’apporter à celles et ceux qui envisagent de partir en Birmanie quelques éclairages sur les tenants et les aboutissants de cette problématique du tourisme dans le contexte actuel. Les seules informations fournies par les agences de voyages, insistant sur la beauté de la Birmanie, pays “aux mille et une pagodes”, ne sont absolument pas suffisantes et il est nécessaire de se renseigner pour prendre la décision d’y voyager.
Info-Birmanie
source http://www.icrainternational.org/actualites/972
[14 Janvier 2013]
Après des années d'isolement, la Birmanie connaît actuellement un remarquable élan qui tend à l’éloigner de son passé autoritaire. Au niveau international, le gouvernement birman a mis l'accent sur l'acquisition de légitimité et de crédibilité. Les récentes réformes qui ont été mises en place sur le plan des libertés politiques et civiles ont fait surgir tous les espoirs pour la population de Birmanie et semblent indiquer une volonté des autorités birmanes de normaliser leurs relations avec l’Occident.
Cependant, malgré les réformes, le bilan de la Birmanie reste l’un des pires au monde en matière de droits de l'homme ; aussi l'armée détient un contrôle constitutionnel à tous les niveaux du gouvernement. La route vers la démocratie est encore longue et la vigilance s’impose.
C’est pourquoi, voyager en Birmanie reste un cas de conscience toujours d’actualité malgré les progrès accomplis depuis peu en matière de démocratie.
Avec plus d’un million de visiteurs attendu en 2013, le défi consiste maintenant à gérer l'afflux de touristes afin de garantir que ce tourisme en expansion profite à la population, notamment en aidant à lutter contre la pauvreté et en aidant le pays à préserver ses ressources naturelles et culturelles pour l'avenir des futures générations.
L’association Info-Birmanie a décidé de publier une version actualisée de son rapport sur le tourisme
http://www.info-birmanie.org/web/images/stories/Rapport_sur_le_tourisme_en_Birmanie_2013.pdf
afin d’apporter à celles et ceux qui envisagent de partir en Birmanie quelques éclairages sur les tenants et les aboutissants de cette problématique du tourisme dans le contexte actuel. Les seules informations fournies par les agences de voyages, insistant sur la beauté de la Birmanie, pays “aux mille et une pagodes”, ne sont absolument pas suffisantes et il est nécessaire de se renseigner pour prendre la décision d’y voyager.
Info-Birmanie
source http://www.icrainternational.org/actualites/972
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Birmanie : record de visiteurs en 2012
Le nombre de visiteurs étrangers a dépassé pour la première fois la barre du million en 2012, soit une hausse de près de 30% en un an dans un pays en pleine explosion touristique depuis la dissolution de la junte en mars 2011, selon des chiffres officiels publiés mardi.
Selon ces statistiques du ministère du Tourisme, 1 060 000 visiteurs --touristes et hommes d'affaires-- sont entrés dans le pays l'an dernier, contre un peu plus de 800 000 en 2011.
«C'est une année exceptionnelle pour l'industrie. Nous n'avons jamais eu une telle expérience auparavant», a commenté à l'AFP Phyoe Wai Yar Zar, un responsable de l'Office du tourisme birman qui représente les professionnels du secteur.
Le ministère prévoit une nouvelle augmentation de 15% pour 2013, a-t-il ajouté, assurant que l'industrie était «capable de le gérer».
Pourtant, dans l'un des pays les plus pauvres de la planète, il est difficile, pendant les périodes d'affluence touristique de trouver une chambre libre dans les quelque 800 hôtels du pays. Une pénurie qui a fait flamber les prix dans les lieux les plus touristiques.
Parmi les visiteurs arrivés en avion en 2012, soit un peu plus de la moitié, les plus représentés sont les Thaïlandais (environ 94.000), devant les Chinois (environ 70 000). Parmi les Occidentaux, les Américains arrivent en tête (environ 37.000) devant les Français (environ 30 000) et les Britanniques (environ 24 000).
À Rangoun, les attractions les plus populaires ont également subi un assaut de visiteurs.
Ainsi, environ 350 000 étrangers ont visité la célèbre pagode Shwedagon l'an dernier, contre 225.000 en 2011, selon des chiffres publiés récemment dans le journal d'État New Light of Myanmar.
Bientôt, «le nombre de visiteurs étrangers va égaler celui des pèlerins locaux», avait noté un responsable de la pagode.
http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/asie/birmanie/201301/15/01-4611430-birmanie-record-de-visiteurs-en-2012.php
Selon ces statistiques du ministère du Tourisme, 1 060 000 visiteurs --touristes et hommes d'affaires-- sont entrés dans le pays l'an dernier, contre un peu plus de 800 000 en 2011.
«C'est une année exceptionnelle pour l'industrie. Nous n'avons jamais eu une telle expérience auparavant», a commenté à l'AFP Phyoe Wai Yar Zar, un responsable de l'Office du tourisme birman qui représente les professionnels du secteur.
Le ministère prévoit une nouvelle augmentation de 15% pour 2013, a-t-il ajouté, assurant que l'industrie était «capable de le gérer».
Pourtant, dans l'un des pays les plus pauvres de la planète, il est difficile, pendant les périodes d'affluence touristique de trouver une chambre libre dans les quelque 800 hôtels du pays. Une pénurie qui a fait flamber les prix dans les lieux les plus touristiques.
Parmi les visiteurs arrivés en avion en 2012, soit un peu plus de la moitié, les plus représentés sont les Thaïlandais (environ 94.000), devant les Chinois (environ 70 000). Parmi les Occidentaux, les Américains arrivent en tête (environ 37.000) devant les Français (environ 30 000) et les Britanniques (environ 24 000).
À Rangoun, les attractions les plus populaires ont également subi un assaut de visiteurs.
Ainsi, environ 350 000 étrangers ont visité la célèbre pagode Shwedagon l'an dernier, contre 225.000 en 2011, selon des chiffres publiés récemment dans le journal d'État New Light of Myanmar.
Bientôt, «le nombre de visiteurs étrangers va égaler celui des pèlerins locaux», avait noté un responsable de la pagode.
http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/asie/birmanie/201301/15/01-4611430-birmanie-record-de-visiteurs-en-2012.php
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More temples open for Bagan sunrise and sunset views
Tourists at the Shwehsandaw Pagoda waiting for the sunset (Photo-Ko Naw (Bagan)/EMG)
The terraces of five more of Bagan’s more than 2,200 ancient temples have been opened for visitors to watch sunsets and sunrises over the historic area, an official from the Department of Archaeology said.
They are Ywar Haung Gyi, Thitsarwaddy, Thagyarhit, Taung Guni and Myauk Guni temples. Tourists had been climbing the terraces of the last two even before they were added to the list, the official said.
Visitors to the temples must abide by rules and regulations designed to prevent erosion of the temples’ structures, including restrictions on visitor numbers, the official said.
Tourists to the ancient capital in Mandalay Region often seek a vantage point for a panoramic view of the pagoda-filled plains. The terraces of Shwesandaw Pagoda and Pyathadar Temple are among the most popular spots for viewing the plains, but with the number of tourists surging new areas are being opened to prevent overcrowding.
Source birmane 11
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Tour guides should protect Bagan's cultural heritage
Local pilgrims and a group of tourists seen infront of Began temples (Photo-Ko Naw)
Local residents and government officials are urging Myanmar tour guides to be more sensitive to national culture and set good examples to foreign visitors, especially when visiting Buddhist temples.
"On the Full Moon Day of Pyartho (January 26), I saw a group of foreigners watching the monks on the eastern platform of the Ananda Temple while wearing shoes….The problem is that the tour guide was also wearing shoes. Other tourists have taken off their shoes. Even the beggar who came to beg for money was not wearing any shoes. The tourist guides should be considerate," said one local resident.
As Myanmar is a Buddhist country, visitors must remove footwear and socks when visiting pagodas, temples, and monasteries.
The Ministry of Hotels and Tourism has issued a Dos and Don’ts booklet containing 30 guidelines for tour guides to have good practices in the tourist industry.
Source birmane 11
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Irrawaddy dolphins return to Mingun after 10-year absence
Tourists can now see Irrawaddy dolphins in the Ayeyarwady River near Mingun town as a group of the rare and endangered species has migrated into the area in Sagaing Region, according to Irrawaddy Dolphin Protection.
“About 18 Irrawaddy dolphins migrated to the area near Mingun [last month],” said Han Win, head of the agency. “Most of the time, they are found in the river near Madaya and Wetlet townships, in the middle of the protected area; but, remarkably, they migrated to Sagaing-Mingun this year,” he said.
Han Win said the groups of dolphins near Mingun comprised five or six dolphins each. The migration could be the result of falling water levels or the migration of fish, the dolphin’s main food source, from downstream, he said.
The government established the Irrawaddy Dolphin Protected Area in 2005. Small groups of dolphins inhabit the 74-kilometer protected area in the Ayeyarwady River between Mingun and Kyaukmyaung, but it has been a decade since they were last seen near Mingun.
Source birmane 11
“About 18 Irrawaddy dolphins migrated to the area near Mingun [last month],” said Han Win, head of the agency. “Most of the time, they are found in the river near Madaya and Wetlet townships, in the middle of the protected area; but, remarkably, they migrated to Sagaing-Mingun this year,” he said.
Han Win said the groups of dolphins near Mingun comprised five or six dolphins each. The migration could be the result of falling water levels or the migration of fish, the dolphin’s main food source, from downstream, he said.
The government established the Irrawaddy Dolphin Protected Area in 2005. Small groups of dolphins inhabit the 74-kilometer protected area in the Ayeyarwady River between Mingun and Kyaukmyaung, but it has been a decade since they were last seen near Mingun.
Source birmane 11
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Tourism must be more than a business, minister says
The tourism industry needs to operate on the premise that it is more than a business, Hotels and Tourism Minister Htay Aung told tourism business people recently, urging them to ensure that international visitors are treated sincerely.
The comments follow a surge in tourism that saw arrivals rise more than 50 percent last year over 2011. Myanmar drew more than one million international tourists last year, a record high. The number of tourists arriving at Yangon International Airport has climbed to 2,000 a day.
Htay Aung said the Ministry of Home Affairs was also planning to introduce new tourist policies. He also said the government welcomed new tour agencies and that it was paying special attention to the industry.
Foreign investment in hotels will see more than 6,500 rooms added nationwide over the next few years, according to recently released figures from the tourism ministry.
The 36 hotels will have a total of 6,766 rooms, the figures show.
Foreign investment in the sector totals $1.4 billion. Singapore investors top the list with $597 million in investment.
Source birmane 11
The comments follow a surge in tourism that saw arrivals rise more than 50 percent last year over 2011. Myanmar drew more than one million international tourists last year, a record high. The number of tourists arriving at Yangon International Airport has climbed to 2,000 a day.
Htay Aung said the Ministry of Home Affairs was also planning to introduce new tourist policies. He also said the government welcomed new tour agencies and that it was paying special attention to the industry.
Foreign investment in hotels will see more than 6,500 rooms added nationwide over the next few years, according to recently released figures from the tourism ministry.
The 36 hotels will have a total of 6,766 rooms, the figures show.
Foreign investment in the sector totals $1.4 billion. Singapore investors top the list with $597 million in investment.
Source birmane 11
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Bagan visitors given three sites for temple dining, official says
French tourists in Bagan Ancient Cultural Zone (Photo-Ko Naw (Bagan)/EMG)
Three dining areas have been selected for tourists to dine outside the walls of the ancient pagodas and temples of Bagan, an official from the Hotelier Association (Bagan Zone) said.
Tour companies must follow the rules and regulations set up by the Department of Archaeology, National Museum and Library before arranging outdoor dinners at the selected sites, which are located at the southern side of the Golden Palace, the northwestern side of the Dhammayangyi Temple, and O-htein Gone, the official said.
According to the department's 14 rules and regulations, the dining tables have to be at least 100 feet away from the walls of the pagodas and temples. Tour companies are also forbidden to dig earth and serve beer and alcohol.
Last October, locals staged a protest against the construction of new buildings and a “temple dinner” being served near one of the sacred sites in Bagan archaeological zone.
Source birmane 11
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Inlay Hotel Zone to be implemented in Nyaungshwe
Inlay Hotel zone project will be developed in an area of 622 acres near Ingyin Kone village about 15 mile southeast of NyaungShwe Township on NyaungShwe- Nanpan- Lowikaw motor road, the Finance Minister from Shan State Government said at a press conference held on February 5.
Hotel construction was not allowed in the Inlay Lak and its bank as it was already crowded. For that reason, a slope linking from south to north in Nyaungshwe has been chosen as hotel zone, the minister said.
The Ministry of Hotel and Tourism rented the proposed site from the government for 30 years and paid over 56 million Kyat for compensation to 65 farmers from six villages.
Source birmane 11
Hotel construction was not allowed in the Inlay Lak and its bank as it was already crowded. For that reason, a slope linking from south to north in Nyaungshwe has been chosen as hotel zone, the minister said.
The Ministry of Hotel and Tourism rented the proposed site from the government for 30 years and paid over 56 million Kyat for compensation to 65 farmers from six villages.
Source birmane 11
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Myanmar named “Top Country” by Wanderlust Travel Awards
Readers of a British travel magazine, Wanderlust, have chosen Myanmar as the top travel destination for the Wanderlust Travel Awards 2013.
According to the announcement released on February 1, Myanmar took the top spot with 96.98% in ranking this year.
Myanmar is followed by Peru, New Zealand, Bhutan, Jordan, Namibia, Chile, Iceland, Vietnam, Botswana, and Chile.
Hoi An, Vietnam was chosen as the top ten city while Bagan, Myanmar stood in the fourth place.
Political changes in the country have resulted in the increase in the tourism industry. According to statistics from the Ministry of Hotels and Tourism, the country received over 1.6 million visitors in 2012.
Although visitor arrivals have been increasing significantly, tourism industry experts say the country still lacks basic infrastructures and tourism services.
Source birmane 11
According to the announcement released on February 1, Myanmar took the top spot with 96.98% in ranking this year.
Myanmar is followed by Peru, New Zealand, Bhutan, Jordan, Namibia, Chile, Iceland, Vietnam, Botswana, and Chile.
Hoi An, Vietnam was chosen as the top ten city while Bagan, Myanmar stood in the fourth place.
Political changes in the country have resulted in the increase in the tourism industry. According to statistics from the Ministry of Hotels and Tourism, the country received over 1.6 million visitors in 2012.
Although visitor arrivals have been increasing significantly, tourism industry experts say the country still lacks basic infrastructures and tourism services.
Source birmane 11
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Mandalay's Mahamuni Buddha receives 200 foreign visitors per day
Foreign tourists seen at The Mahamuni Buddha Statue (Photo-Lae Lae Aung)
The Mahamuni Buddha statue in Mandalay receives an average of 200 foreign visitors per day, according to statistics from its board of trustee.
Statistics show that an average of 8000 foreign tourists has visited the Mahamuni statue per month in the last three months.
Sein Thin from the Buddha Image Board of Trustee said they do not have the exact figures of visitor numbers after the entrance fee was removed.
Since last April, the Buddha Image Board of Trustee used a tally system to count visitor numbers. A total of 34,361 have visited the Buddha Image from April to January.
The Mahamuni Buddha Image is an image of the Lord Buddha and is believed to be cast during his visit to Rakhine State. It was originally made of metal but is now heavily covered with gold leaves.
Although foreign visitors are no longer required to pay the zone fee, they have to pay for camera fees when visiting the Buddha Image.
The board of trustee has provided free wifi internet for all visitors.
Source birmane 11
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Bagan’s bag snatchers target female cyclists
Police in Bagan are searching for thieves targeting female cyclists in the town of Nyaung U, a few kilometers from the country’s most popular tourist destination.
The move follows two incidents last week in which foreign tourists were robbed while cycling through the town. The first victim was a Chinese female who was robbed by a man on a motorbike while she was returning to her hotel after sunset, police said.
They said the incident occurred at the intersection of Thinkharya and Anawrahta roads near Alodawpyae Temple.
Her backpack contained her passport, bank card, digital camera, mobile phone, more than US$300 in cash, and her hotel key, police said.
Two days later, a British female tourist was robbed by a thief on a motorbike. Her bag was snatched near Shwe Leiktoo Pagoda. It contained cash equivalent to about $1,000, and a camera and other valuables, police said.
They said they had asked staff at bicycle-rental shops to warn tourists about the incidents so they could protect themselves.
Source birmane 11
The move follows two incidents last week in which foreign tourists were robbed while cycling through the town. The first victim was a Chinese female who was robbed by a man on a motorbike while she was returning to her hotel after sunset, police said.
They said the incident occurred at the intersection of Thinkharya and Anawrahta roads near Alodawpyae Temple.
Her backpack contained her passport, bank card, digital camera, mobile phone, more than US$300 in cash, and her hotel key, police said.
Two days later, a British female tourist was robbed by a thief on a motorbike. Her bag was snatched near Shwe Leiktoo Pagoda. It contained cash equivalent to about $1,000, and a camera and other valuables, police said.
They said they had asked staff at bicycle-rental shops to warn tourists about the incidents so they could protect themselves.
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Cheek tattoos and tribal customs draw eco adventurers to Chin State
Chin State in western Myanmar is seeing an upsurge in ecotourists due to its rich culture and abundant physical attractions, tour agents say.
Chin State’s combination of exotic tribes and natural wonders had made it a hit with ecotourists who are often eager for the opportunity to sleep in huts in villages so they can observe tribal customs and lifestyles firsthand, Win Tin, managing director of Journeys Travels and Tours, told Eleven Media.
The custom of cheek tattooing practiced by tribes in Chin State was particularly attractive to ecotourists, Win Tin said. Travel and tour agencies also organize hiking and nature tours in the state, he said, adding that visits usually last from five to 12 days.
Tour agents also pointed to the conflict in Kachin State, saying that since Kachin became inaccessible ecotourists began flocking to Chin State.
“Travel to Kachin has been blocked this tourist season and trips cancelled by tour agencies. However, tourists looking for arduous journeys are taking alternative trips to Chin State instead,” Win Tin said. Fighting between government and Kachin rebel troops broke out in June 2011 and authorities subsequently prohibited tourists from visiting the state.
Ecotourists had been drawn to the snow-peaked mountains in the northern area of Kachin as well as the watershed area that is the source of the Ayeyarwady River, tour agents said.
Win Tin said foreign tourists were drawn to Myanmar by its culture, heritage and natural sites. Chin and Shan states appealed to ecotourists, who are most likely to come from France, Germany and Japan, tour guides said.
Source birmane 11
Chin State’s combination of exotic tribes and natural wonders had made it a hit with ecotourists who are often eager for the opportunity to sleep in huts in villages so they can observe tribal customs and lifestyles firsthand, Win Tin, managing director of Journeys Travels and Tours, told Eleven Media.
The custom of cheek tattooing practiced by tribes in Chin State was particularly attractive to ecotourists, Win Tin said. Travel and tour agencies also organize hiking and nature tours in the state, he said, adding that visits usually last from five to 12 days.
Tour agents also pointed to the conflict in Kachin State, saying that since Kachin became inaccessible ecotourists began flocking to Chin State.
“Travel to Kachin has been blocked this tourist season and trips cancelled by tour agencies. However, tourists looking for arduous journeys are taking alternative trips to Chin State instead,” Win Tin said. Fighting between government and Kachin rebel troops broke out in June 2011 and authorities subsequently prohibited tourists from visiting the state.
Ecotourists had been drawn to the snow-peaked mountains in the northern area of Kachin as well as the watershed area that is the source of the Ayeyarwady River, tour agents said.
Win Tin said foreign tourists were drawn to Myanmar by its culture, heritage and natural sites. Chin and Shan states appealed to ecotourists, who are most likely to come from France, Germany and Japan, tour guides said.
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