Jeu des photos ...

C'est tellement vrai mais pas ca

parce que c'est un couple, un homme une femme, differents et complémentaire, donc il fallait qu'il y en ai un avec la bouche ouverte et l'autre avec la bouche fermée pour marquer à la fois et cette difference et complementarité...

ok, c'est un peu tordu mais je n'ai pas d'idée ??

La bouche est ouverte pour attraper quelque chose et fermée pour éviter à ce quelque chose de partir !

Connaissant l'amour des chinois pour ce quelque chose, on doit pouvoir trouver !

'une des statues à la bouche fermée. Elle est alors nommée "Komainu", elle symbolise la puissance retenue. L'autre à la bouche ouverte. Elle est nommé "Karashishi" et symbolise la puissance exprimée. Ces statues tiennent sous l'une de leur pattes une sphère lorsque c'est un lion qui est représenté ou serre un texte sacré entre ses dents lorsque le statue représente un renard.

benoit l homme qui sait tout

Merci Mr Benoit Google !!!!!!!!!!!!!

leucateplage a écrit:'une des statues à la bouche fermée. Elle est alors nommée "Komainu", elle symbolise la puissance retenue. L'autre à la bouche ouverte. Elle est nommé "Karashishi" et symbolise la puissance exprimée. Ces statues tiennent sous l'une de leur pattes une sphère lorsque c'est un lion qui est représenté ou serre un texte sacré entre ses dents lorsque le statue représente un renard.

benoit l homme qui sait tout

OH LA! Ça sentle wikipedia a plein nez!

stilia a écrit:parce que c'est un couple, un homme une femme, differents et complémentaire, donc il fallait qu'il y en ai un avec la bouche ouverte et l'autre avec la bouche fermée pour marquer à la fois et cette difference et complementarité...

ok, c'est un peu tordu mais je n'ai pas d'idée ??

Stilia

Et maintenant le petit récit:
　

DE “ A - AN ” A “ A - UN ”

Mon nouvel élève est écrivain. Pour une première entrevue, nous nous sommes donnés rendez-vous au Maxim’s de Paris de Ginza, à deux pas de chez lui. Il semble avoir une certaine renommée et habite un des quartiers les plus chers de Tokyo.
Nous sommes donc en tête à tête dans ce café “parisien” et il est en train de m’expliquer ce qu’il écrit comme romans. Dommage! Je ne saurais vous reproduire le dialogue, car voyez-vous, tout vient de là: j’avais du mal à comprendre ce qu’il me disait. Au bout de quelques tentatives sans issues, il me lance tout simplement: “J’écris des romans d’amour.” Ah! Il suffisait de le dire! Des romans d’amour, vaste littérature. Après nous être mis d’accord sur les conditions des cours particuliers, il me donne rendez-vous chez lui pour la semaine suivante. Je m’y rends le jour convenu. Dans l’entrée sont exposés sur l’étagère des livres de poches dont les couvertures évoquent plus la collection “Arlequin” que de la grande littérature. L’eau de rose devait couler à flots. Il me présente à sa femme et à ses enfants et, avant de commencer la leçon, me tend un gros magazine, un recueil de romans à suivre dans lequel figurent ses écrits du mois.
_ Voilà, pour vous donner une idée de mon travail.
_ Merci. Je vais essayer de le lire à la maison.
_ Et aussi, voilà pour vous.
Une bouteille de champagne rosé! Je n’en avais jamais bu. Mes yeux s’agrandissent. La boîte de biscuits d’usage s’était transformée en Dom Perignon vintage 1998. Je reste sans voix.
_ “Yoroshiku onegaishimasu.” (“Je m’en remets à vous.”) Vous pensez qu’il me faudra combien de temps pour parler français couramment? Deux ans?
Gros cadeau d’entrée en matière, grosses ambitions… Comment modérer son objectif sans pour autant le décourager?
Le cours commence et mes doutes suivent…
Quelques jours plus tard, je parle à mes amies japonaises de mon nouvel élève écrivain. J’ouvre à la page de son roman-feuilleton et je commence à lire:
_ (en katakana) A – An (lu très platement comme un exercice de première lecture), etc, je â-no-nne aussi pour la suite, sans comprendre ce que je déchiffre.
L’une d’elles, qui avait lu à l’envers, m’arrache le livre des mains et incrédule, me dit:
_ Mari-Kanerou, tu ne mets pas le ton qu’il faut!
Ce que mon écrivain avait essayé de m’expliquer au café, c’était qu’il écrivait des romans érotiques…. Elles étaient hilares: mon romancier romantique était en fait un auteur de romans-feuilletons érotico-pornos… Catégorie littéraire beaucoup plus lucrative.

“A – An”, ce n’était pas si loin phonétiquement de “A – Un”, les deux Koma-Inu (lion-chien), gardiens à l’entrée des temples bouddhistes. Je me permettrai donc un rapprochement.
“A – Un”, concept bouddhiste qui associe les contraires. “A”, c’est le premier son, l’origine de tout, “Un” (pronouncer “oun”), le dernier souffle, l’autre bout du chemin. “A – Un”, c’est aussi la Terre et le Paradis, l’Homme et la Femme. Un jour, à l’entrée d’un temple où figuraient les deux statues de pierre Koma-Inu, mes amies japonaises m’expliquèrent l’expression dérivée de ces personnages: “A-Un no kokyu”, la respiration de A et Un, pour exprimer l’harmonie d’un vieux couple. “A” à notre droite, “Un” à notre gauche, deux statues, l'une à côté de l'autre depuis toujours, depuis l’origine, qui n’ont plus besoin de faire de longues phrases. Ils se comprennent à demi-mots. “Un”, confirmation de “A”. Sérénité emprisonnée à jamais dans la pierre tel l’amour des amants du film de Marcel Carné, “ Les Enfants du Paradis”.

Et “A – An”, dans tout ça? “A”, nous avons compris, il représente le premier son. Et “Un”? On dira qu’il expire entre “A” et “Un”, un souffle de Nirvana, encore loin de l’harmonie de notre coupe “A –Un”.

Mon élève commença son apprentissage du français à “a”, mais n’alla pas jusqu’à “z”.

“A – An”, ce n’était pas si loin phonétiquement de “A – Un”, les deux Koma-Inu (lion-chien), gardiens à l’entrée des temples bouddhistes. Je me permettrai donc un rapprochement.
“A – Un”, concept bouddhiste qui associe les contraires. “A”, c’est le premier son, l’origine de tout, “Un” (pronouncer “oun”), le dernier souffle, l’autre bout du chemin. “A – Un”, c’est aussi la Terre et le Paradis, l’Homme et la Femme. Un jour, à l’entrée d’un temple où figuraient les deux statues de pierre Koma-Inu, mes amies japonaises m’expliquèrent l’expression dérivée de ces personnages: “A-Un no kokyu”, la respiration de A et Un, pour exprimer l’harmonie d’un vieux couple. “A” à notre droite, “Un” à notre gauche, deux statues, l'une à côté de l'autre depuis toujours, depuis l’origine, qui n’ont plus besoin de faire de longues phrases. Ils se comprennent à demi-mots. “Un”, confirmation de “A”. Sérénité emprisonnée à jamais dans la pierre tel l’amour des amants du film de Marcel Carné, “ Les Enfants du Paradis”.


merci Cipiki , c'est très joli cette explication ....



Mon élève commença son apprentissage du français à “a”, mais n’alla pas jusqu’à “z”.[/quote]


>> et bien oui , on suppose qu'il s'est arrêté à " X " >> !!!! rôô !!!!


j'ai adoré ce petit jeu ! encore !!

Où avez-vous perdu vos tongues ces dernières années?
Cherchez bien.



comptabilité des tongues de flipflop

j'élimine la Bretagne à cause du soleil

un semblant de barrière de corail ... nouvelle calédonie ?

hé beh ! toutes ces flip- flop moi je trouve cela " flip...pant" !!


bon alors est ce en Indonésie ?

stilia a écrit:hé beh ! toutes ces flip- flop moi je trouve cela " flip...pant" !!


bon alors est ce en Indonésie ?

Il n'y a qu'eux pour nettoyer les plages comme ça. Je les entends rire à la tâche.

Acte complètement gratuit (pas un chat sur la plage, à part moi et ) et dont la destinée était d'être emporté par la prochaine marais, installation aussi éphémère qu'un mandala de sable tibetain. Était-ce une offrande à "Bouddah Flip-flop"? No lo se!

est ce que cela ne serait pas devant l'entrée d'un temple juste apres le passage d'un tsunami?

C'est bon , c'était nul, je sais, j'y vais , je suis plus là

Non, c'était un goupe de Japonais. Il n'y a qu'eux pour ranger les chaussures comme ça.

Ça ressemble au nord de l'Indonésie... Région Banda Aceh ???

Ces thongs ont à l'évidence étés rejetées par l'océan...mais elles n'y sont pas restées assez longtemps...
Une illustration ci-dessous pour vous faire découvrir le coté artistique de la mer.

salut annie

je dirais bien gili trawangan j avais été surpris par le nombre de tong que l on trouvait par
terre quand on fait le tour de l ile

benoit

leucateplage a écrit:salut annie

je dirais bien gili trawangan j avais été surpris par le nombre de tong que l on trouvait par
terre quand on fait le tour de l ile

benoit

Presque

Pa'c'que mouâ, j'étais pas à Gili Trawangan. J'étais à Gili Air, à côté. P'têt' que pour avoir la paire complète, faut aller chercher l'autre à Trawangan...

A toi, Benoit, "Fais pêter une photo!"

Quelle ville ??? Fastoche... ou pas ???

heu, je dirai Pékin, la place Tien An Men

JB

éh non... c'est pas Pékin

Hello éveuribaudi!!!

Shanghaï peut-être

(Mais j'hésite avec une ville du Vietnam)

sorry sorry ...hi hi hi... C'est pas Shanghaï...

Hello AsiaOnly!

Alors un batiment officiel à Hanoï............ peut-être

Ciao Boris.
C'est toujours pas ça...

C'est en Asie ???????