Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
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thanaka- Admin
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
salut flip
c est quand mème le journal qui a sorti le plus mauvais album de prince
alors tu
vas pas me faire regréter ma soirée a biquet plage avec champagne
et groupe de rock n roll...
etc..
benoit déja plus beaucoup au travail

c est quand mème le journal qui a sorti le plus mauvais album de prince

vas pas me faire regréter ma soirée a biquet plage avec champagne


benoit déja plus beaucoup au travail






mekong- Localisation : LEUCATE PLAGE
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Béotrice- Localisation : Vaucluse
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Le concert LIVE c'est ici que ça se regarde
http://www.asiesudest.com/2010/09/hindi-zahra-au-theatre-de-lodeon_09.html

http://www.asiesudest.com/2010/09/hindi-zahra-au-theatre-de-lodeon_09.html
thanaka- Admin
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Programme du Café de l'Aventure au Zango Bar le 5 octobre
La Guilde Européenne du Raid et la Société des Explorateurs Français vous convient aux Cafés de l'Aventure
mardi 5 octobre 2010
à partir de 20 heures au Zango
15 rue du Cygne 75001 Paris
(métro Etienne Marcel)
A partir de 20h00, le 1er étage du Zango est réservé aux Cafés de l’aventure.
La présentation des invités commence vers 21h00.
Cette initiative a pour idée de rassembler de manière conviviale et régulière les acteurs de l'aventure animés par le même esprit de découverte du monde.
C'est donc tous les premiers mardis du mois que nous vous proposons de venir nous retrouver au Zango, pour exposer vos projets ou partager un retour d'expédition, de manière informelle.
Programme de la soirée
Pendant trois années, Sébastien Jallade a réalisé un inventaire géophotographique et documentaire du Qhapaq Ñan, la grande route inca : 16 mois de voyage sur place, 3 500 km de marche en solitaire et 3 pays parcourus (Equateur, Pérou, Bolivie), dont une traversée ouest-est des Andes, reliant le Pacifique aux contreforts de l’Amazonie, jusqu’à la forteresse de Kuelap, puis une marche dans un axe nord-sud de Cajamarca à Paria via Cusco et le lac Titicaca.
Réalisé avec le concours scientifique du pôle image de l’université de Paris 8 (programme de recherche conçu et dirigé par Olivier Archambeau), ce projet propose des milliers de photographies et 30 heures de témoignage sonores et vidéos centrés sur les paysages culturels autour des chemins précolombiens.
Le site Internet propose également une carte géolocalisée de relevés GPS du Qhapaq Ñan, pour la première fois accessibles à tous sur Internet (mise en ligne progressive durant toute l'année 2010)
http://www.qhapaq-nan.org
Toma mate : 2 500 km à cheval au pied de la Cordillère des Andes
Fanny Hubinet, cameraman de métier, est partie vivre 5 mois d’aventures avec 3 chevaux argentins, 1 autre jeune française et son chien, un berger australien. L'épopée de deux filles seules dans un monde d'hommes, des journées balayées par un vent glacial au milieu de l'immensité patagonne, des angoisses quotidiennes mais l'accueil et la chaleur indispensable du peuple argentin.
« Des inquiétudes quotidiennes rythmaient et régissaient nos choix : l’eau et les blessures des animaux. Nous vivions à leur rythme, cherchant toujours le point d’eau qui pouvait se dessiner à l’horizon.
Nous avons pu assister, également, par chance, à la cérémonie indienne du Camaruco, une cérémonie mapuche de trois jours, pour une nouvelle pluie, et qui n’avait pas eu lieu depuis près de huit ans. Nous y étions les seules huincas... »
Un film documentaire de 52 mn est sorti de cette aventure, une trace de cette expérience inoubliable.
http://caballo.over-blog.com
Dans les bars des bouts du monde paru chez L'Elocoquent éditeur
« Longtemps, j’avais cherché la femme idéale. Faute de l’avoir rencontrée, j’étais parti en quête du pays idéal. Après avoir encore échoué, j’avais modéré mes ambitions pour traquer le bar idéal. » Jean-Pierre Perrin. Aux côtés de l’écrivain et journaliste Jean-Pierre Perrin, quinze voyageurs nous livrent, en un récit inédit, un temps fort vécu dans un bar du bout du monde :
Loïc Finaz, officier de marine ; Mahyar Monshipour Kermani, boxeur ; Jean-François Clervoy, astronaute ; Anne Liardet, navigatrice ; Daniel Illemay, commandant de police ; Jean Rouaud, écrivain ;
Olivier Weber, écrivain, ambassadeur itinérant ; Claude Jaccoux, alpiniste ; Hubert de Gevigney, officier de marine ; Guy Lukowski, guitariste ; Bruno Philip, grand reporter ; Marc Thiercelin, navigateur ; Olivier Frébourg, écrivain, éditeur ; Alain Mingam, journaliste, Consultant Médias ; Frédéric Tonolli, réalisateur. En présence de Hubert de Gevigney.
Source Lonely Planet France
mardi 5 octobre 2010
à partir de 20 heures au Zango
15 rue du Cygne 75001 Paris
(métro Etienne Marcel)
A partir de 20h00, le 1er étage du Zango est réservé aux Cafés de l’aventure.
La présentation des invités commence vers 21h00.
Cette initiative a pour idée de rassembler de manière conviviale et régulière les acteurs de l'aventure animés par le même esprit de découverte du monde.
C'est donc tous les premiers mardis du mois que nous vous proposons de venir nous retrouver au Zango, pour exposer vos projets ou partager un retour d'expédition, de manière informelle.
Programme de la soirée
Pendant trois années, Sébastien Jallade a réalisé un inventaire géophotographique et documentaire du Qhapaq Ñan, la grande route inca : 16 mois de voyage sur place, 3 500 km de marche en solitaire et 3 pays parcourus (Equateur, Pérou, Bolivie), dont une traversée ouest-est des Andes, reliant le Pacifique aux contreforts de l’Amazonie, jusqu’à la forteresse de Kuelap, puis une marche dans un axe nord-sud de Cajamarca à Paria via Cusco et le lac Titicaca.
Réalisé avec le concours scientifique du pôle image de l’université de Paris 8 (programme de recherche conçu et dirigé par Olivier Archambeau), ce projet propose des milliers de photographies et 30 heures de témoignage sonores et vidéos centrés sur les paysages culturels autour des chemins précolombiens.
Le site Internet propose également une carte géolocalisée de relevés GPS du Qhapaq Ñan, pour la première fois accessibles à tous sur Internet (mise en ligne progressive durant toute l'année 2010)
http://www.qhapaq-nan.org
Toma mate : 2 500 km à cheval au pied de la Cordillère des Andes
Fanny Hubinet, cameraman de métier, est partie vivre 5 mois d’aventures avec 3 chevaux argentins, 1 autre jeune française et son chien, un berger australien. L'épopée de deux filles seules dans un monde d'hommes, des journées balayées par un vent glacial au milieu de l'immensité patagonne, des angoisses quotidiennes mais l'accueil et la chaleur indispensable du peuple argentin.
« Des inquiétudes quotidiennes rythmaient et régissaient nos choix : l’eau et les blessures des animaux. Nous vivions à leur rythme, cherchant toujours le point d’eau qui pouvait se dessiner à l’horizon.
Nous avons pu assister, également, par chance, à la cérémonie indienne du Camaruco, une cérémonie mapuche de trois jours, pour une nouvelle pluie, et qui n’avait pas eu lieu depuis près de huit ans. Nous y étions les seules huincas... »
Un film documentaire de 52 mn est sorti de cette aventure, une trace de cette expérience inoubliable.
http://caballo.over-blog.com
Dans les bars des bouts du monde paru chez L'Elocoquent éditeur
« Longtemps, j’avais cherché la femme idéale. Faute de l’avoir rencontrée, j’étais parti en quête du pays idéal. Après avoir encore échoué, j’avais modéré mes ambitions pour traquer le bar idéal. » Jean-Pierre Perrin. Aux côtés de l’écrivain et journaliste Jean-Pierre Perrin, quinze voyageurs nous livrent, en un récit inédit, un temps fort vécu dans un bar du bout du monde :
Loïc Finaz, officier de marine ; Mahyar Monshipour Kermani, boxeur ; Jean-François Clervoy, astronaute ; Anne Liardet, navigatrice ; Daniel Illemay, commandant de police ; Jean Rouaud, écrivain ;
Olivier Weber, écrivain, ambassadeur itinérant ; Claude Jaccoux, alpiniste ; Hubert de Gevigney, officier de marine ; Guy Lukowski, guitariste ; Bruno Philip, grand reporter ; Marc Thiercelin, navigateur ; Olivier Frébourg, écrivain, éditeur ; Alain Mingam, journaliste, Consultant Médias ; Frédéric Tonolli, réalisateur. En présence de Hubert de Gevigney.
Source Lonely Planet France
thanaka- Admin
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Quelques photos de l'arrivée du rallye Pékin-Paris en oldies vieilles pas toutes neuves voitures et un side car de 1922 ! durée 37 jours
http://www.asiesudest.com/2010/10/pekin-paris-arrivee-place-vendome.html
http://www.asiesudest.com/2010/10/pekin-paris-arrivee-place-vendome_16.html

http://www.asiesudest.com/2010/10/pekin-paris-arrivee-place-vendome.html
http://www.asiesudest.com/2010/10/pekin-paris-arrivee-place-vendome_16.html
thanaka- Admin
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Du 16 au 26 novembre 2010 au Studio des Ursulines - Paris 5

Rendez-vous biennal parisien, Shadows est un festival dédié au cinéma indépendant chinois. Les films programmés – fictions, documentaires, animations et vidéos de tout métrage – sont sélectionnés directement en Chine.
À travers une sélection d'œuvres récentes et de parcours thématiques, les cinéastes que le Festival Shadows défend sont des artistes indépendants qui lèvent le voile sur une Chine méconnue, complexe et fascinante.
toutes les infos ici ----> http://www.arsinica.net/shadows.html
le programme ----> http://www.arsinica.net/prog_shadows2010.html

Rendez-vous biennal parisien, Shadows est un festival dédié au cinéma indépendant chinois. Les films programmés – fictions, documentaires, animations et vidéos de tout métrage – sont sélectionnés directement en Chine.
À travers une sélection d'œuvres récentes et de parcours thématiques, les cinéastes que le Festival Shadows défend sont des artistes indépendants qui lèvent le voile sur une Chine méconnue, complexe et fascinante.
toutes les infos ici ----> http://www.arsinica.net/shadows.html
le programme ----> http://www.arsinica.net/prog_shadows2010.html
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens

mais


Too far!!!!
La Chine est moins loin mais les bons films passent à Paris

cipiki- Localisation : tokyo
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Restaurant "Au Vietnam"

Genre
Sans avoir à convoquer les pacotilles et les cotillons de l'exotisme, un couple franco-vietnamien dépayse en douceur l'intérieur d'un bistrot très parisien en disposant une cuisine d'entre Hué et Saïgon, si simple et sincère que manières et saveurs lointaines en deviennent presque familières.
Prix
Paisibles ! Env. 25 €. Menus à 11 € (déj.), 15 et 16 € (tout vapeur). Assortiment de vapeurs : scrupuleuses. Soupe My Tho : bouillon aussi digeste que parfumé. Loc lac (émincé de bœuf mariné et oignons) : d'un exotisme rustique.
Avec qui ?
Barbara Bui.
Bonne table
Une petite esseulée près d'une colonne. Service exquis dans sa simplicité.
Au Vietnam, 41, rue du Fer-à-Moulin (Ve). Tél. : 01 45 35 61 09. Tlj sf dim. Métro : Les Gobelins.
source http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2010/11/17/03013-20101117ARTFIG00001-au-vietnam.php

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Les "Tigres" du Myanmar sont à Paris
Des Japonais autour de l'Arc de triomphe, c'est banal, mais un groupe de Birmans, voilà un tourisme asiatique plus inattendu à Paris. Ils sont 11, jeudi 24 mars, à visiter la capitale et à savourer leur privilège à la manière des Cubains de Buena Vista Social Club découvrant New York. Sauf qu'eux ne sont pas musiciens mais experts en thaing bando, présenté en exclusivité au Festival des arts martiaux, samedi 26 mars à Bercy.
C'est la première fois que les Tigres du Myanmar (nom actuel de la Birmanie) voyagent hors d'Asie. Jusqu'ici, les démonstrations de ces héritiers de techniques de combat millénaires s'arrêtaient aux frontières de la Chine, de la Malaisie, de la Thaïlande et de Singapour. Dominé encore par le chinlon, un jeu de balle collectif, le sport birman est d'une infinie discrétion sur la scène internationale. Quelques rares marathoniens et haltérophiles participent aux Jeux olympiques.
Le moins dépaysé dans la délégation est U Hla Win, alias Richard Norris. Grâce à un ancêtre gallois, ce maître de 75 ans a pu acquérir la double nationalité et s'installer à Liverpool en 1960, deux ans avant le coup d'Etat qui a porté au pouvoir l'une des pires dictatures de la planète. Enfant, il a découvert le thaing bando en 1944 dans un monastère bouddhiste près de Rangoun, alors sous occupation japonaise, "quand la jungle était aux portes de la ville et les tigres pas si loin".
Les mouvements du cobra
"La boxe birmane a donné naissance à la boxe thaïe, mais celle-ci ne compte que huit armes alors que nous en avons neuf, se plaît à expliquer U Hla Win. Nous utilisons les mains, coudes, genoux et pieds, mais aussi notre tête. Le 9 est le chiffre magique, qui permet d'entrer dans le monde des esprits, les Nats." L'autre sayagi (maître), U Miinn Yekkha, juriste de Rangoon et auteur de nombreux ouvrages et articles sur la question, explique. "Thaing" signifie autoprotection. "Bando" indique qu'il n'y a pas d'armes. "Les moines et les soldats ont développé cette technique pour pouvoir s'entraîner sans se tuer, explique le Grenoblois Jean-Roger Callière, vice-président de l'International Thaing Bando Association, créée en 1997 à Rangoon, dont le siège est à Lausanne. Elle s'inspire de mouvements observés chez le tigre, le python ou le cobra."
Parmi les disciples, on trouve un policier ou un membre des forces spéciales antiterroristes. Il y a aussi deux jeunes femmes, Soe Soe et Thi Wai Hnin, étudiante de 19 ans qui compte déjà "douze ans d'expérience", plus une cicatrice sur la trachée. Leur spécialité est "la méditation", la culture d'une force intérieure qui permet de plier des sabres (en acier) sur leur buste ou leurs tempes.
Tous sont les rescapés d'épreuves de sélection qui se sont tenues à Rangoun. Un signe d'ouverture ? La prudence est de mise. Mais le vice-président birman de la Fédération mondiale a annoncé aux recalés qu'ils auraient d'autres opportunités de voyages.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/03/26/les-tigres-du-myanmar-sont-a-paris_1498883_3216.html
C'est la première fois que les Tigres du Myanmar (nom actuel de la Birmanie) voyagent hors d'Asie. Jusqu'ici, les démonstrations de ces héritiers de techniques de combat millénaires s'arrêtaient aux frontières de la Chine, de la Malaisie, de la Thaïlande et de Singapour. Dominé encore par le chinlon, un jeu de balle collectif, le sport birman est d'une infinie discrétion sur la scène internationale. Quelques rares marathoniens et haltérophiles participent aux Jeux olympiques.
Le moins dépaysé dans la délégation est U Hla Win, alias Richard Norris. Grâce à un ancêtre gallois, ce maître de 75 ans a pu acquérir la double nationalité et s'installer à Liverpool en 1960, deux ans avant le coup d'Etat qui a porté au pouvoir l'une des pires dictatures de la planète. Enfant, il a découvert le thaing bando en 1944 dans un monastère bouddhiste près de Rangoun, alors sous occupation japonaise, "quand la jungle était aux portes de la ville et les tigres pas si loin".
Les mouvements du cobra
"La boxe birmane a donné naissance à la boxe thaïe, mais celle-ci ne compte que huit armes alors que nous en avons neuf, se plaît à expliquer U Hla Win. Nous utilisons les mains, coudes, genoux et pieds, mais aussi notre tête. Le 9 est le chiffre magique, qui permet d'entrer dans le monde des esprits, les Nats." L'autre sayagi (maître), U Miinn Yekkha, juriste de Rangoon et auteur de nombreux ouvrages et articles sur la question, explique. "Thaing" signifie autoprotection. "Bando" indique qu'il n'y a pas d'armes. "Les moines et les soldats ont développé cette technique pour pouvoir s'entraîner sans se tuer, explique le Grenoblois Jean-Roger Callière, vice-président de l'International Thaing Bando Association, créée en 1997 à Rangoon, dont le siège est à Lausanne. Elle s'inspire de mouvements observés chez le tigre, le python ou le cobra."
Parmi les disciples, on trouve un policier ou un membre des forces spéciales antiterroristes. Il y a aussi deux jeunes femmes, Soe Soe et Thi Wai Hnin, étudiante de 19 ans qui compte déjà "douze ans d'expérience", plus une cicatrice sur la trachée. Leur spécialité est "la méditation", la culture d'une force intérieure qui permet de plier des sabres (en acier) sur leur buste ou leurs tempes.
Tous sont les rescapés d'épreuves de sélection qui se sont tenues à Rangoun. Un signe d'ouverture ? La prudence est de mise. Mais le vice-président birman de la Fédération mondiale a annoncé aux recalés qu'ils auraient d'autres opportunités de voyages.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/03/26/les-tigres-du-myanmar-sont-a-paris_1498883_3216.html
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City of Angels / Identity Crisis
Exposition du 8 au 29 Juin 2011, 59 Rivoli, Paris 1er
Vernissage le mercredi 8 Juin 2011 à partir de 19h

Les artistes de la TOOT YUNG Gallery de Bangkok présentent l'exposition City of angels, identity crisis, un cri artistique en réponse aux bouleversements sociaux et culturels que la Thaïlande traverse.
Entre contradictions, intégration et revendication identitaire, ces jeunes artistes exposent les nouvelles problématiques de la société moderne thaïlandaise (identité, genre, sexualité, statuts et codes sociaux) par une galerie de portraits résolument tournée vers la confrontation entre idées reçues et réalité.
Installation, photographies, vidéo, peintures, ces jeunes artistes varient les domaines d'expérimentations afin de présenter au public français une rencontre artistique et culturelle peu conventionnelle loin de l'image exotique de la Thaïlande.
Issus de la scène artistique émergente thaïe, déjà exposés dans plusieurs galeries en Europe et aux USA, Ohm Phanphiroj : (vidéaste/Photographe) et Tawan Wattuya (peintre) sont entourés pour cette exposition de jeunes artistes prometteurs qui n'ont encore jamais exposé à l'international. Ensemble, ils proposent une sélection d'œuvres réalisées dans un désir de révéler l'effervescence artistique thaïlandaise peu connue du grand public et d'exprimer leur engagement social et culturel face à leur pays en proie aux maux de la mondialisation.
La TOOT YUNG Gallery de Bangkok www.tootyunggallery.com et sa directrice Myrtille Tibayrenc, à l'origine de ce projet, s'engage pour promotion de l'art thaïlandais depuis cinq ans par la mise en place d'expositions en Thaïlande et Europe.
Vernissage le mercredi 8 Juin 2011 à partir de 19h
Installation,Vidéo, photographies et peintures
Musique expérimentale du compositeur thaï Bhanupong Tinmane
Buffet thaï.
source http://www.59rivoli.org/news.html
Vernissage le mercredi 8 Juin 2011 à partir de 19h

Les artistes de la TOOT YUNG Gallery de Bangkok présentent l'exposition City of angels, identity crisis, un cri artistique en réponse aux bouleversements sociaux et culturels que la Thaïlande traverse.
Entre contradictions, intégration et revendication identitaire, ces jeunes artistes exposent les nouvelles problématiques de la société moderne thaïlandaise (identité, genre, sexualité, statuts et codes sociaux) par une galerie de portraits résolument tournée vers la confrontation entre idées reçues et réalité.
Installation, photographies, vidéo, peintures, ces jeunes artistes varient les domaines d'expérimentations afin de présenter au public français une rencontre artistique et culturelle peu conventionnelle loin de l'image exotique de la Thaïlande.
Issus de la scène artistique émergente thaïe, déjà exposés dans plusieurs galeries en Europe et aux USA, Ohm Phanphiroj : (vidéaste/Photographe) et Tawan Wattuya (peintre) sont entourés pour cette exposition de jeunes artistes prometteurs qui n'ont encore jamais exposé à l'international. Ensemble, ils proposent une sélection d'œuvres réalisées dans un désir de révéler l'effervescence artistique thaïlandaise peu connue du grand public et d'exprimer leur engagement social et culturel face à leur pays en proie aux maux de la mondialisation.
La TOOT YUNG Gallery de Bangkok www.tootyunggallery.com et sa directrice Myrtille Tibayrenc, à l'origine de ce projet, s'engage pour promotion de l'art thaïlandais depuis cinq ans par la mise en place d'expositions en Thaïlande et Europe.
Vernissage le mercredi 8 Juin 2011 à partir de 19h
Installation,Vidéo, photographies et peintures
Musique expérimentale du compositeur thaï Bhanupong Tinmane
Buffet thaï.
source http://www.59rivoli.org/news.html
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Vols au-dessus d'un nid de bambou
Le nouveau cirque, invention française, fait des émules partout dans le monde, jusqu'au Vietnam, d'où nous vient Làng Tôi, mon village, un spectacle qui a déjà beaucoup tourné depuis 2009, et se pose sous la Grande Halle de La Villette, à Paris, jusqu'au 23 juillet. Ensuite, il repartira sur les routes de France, de Navarre et du vaste monde, jusqu'en décembre 2012.
On doit ce Nouveau Cirque du Vietnam à trois hommes : Nhat Ly Nguyen, Lan Nguyen et Le Tuan Anh. Les deux premiers sont frères, et français d'origine vietnamienne. Ils ont passé leur jeunesse entre la France et le Vietnam, et ont été élèves à l'école nationale de cirque d'Hanoï.
Nhat Ly, qui a pas mal bourlingué comme clown et musicien, a fondé à Hanoï l'agence Scènes du Vietnam, qui se consacre à la production du spectacle vivant. Lan Nguyen, qui a travaillé au Cirque Plume, est aujourd'hui le coordinateur artistique d'Arc en cirque, l'école de cirque de Chambéry (Savoie). Le Tuan Anh, le troisième homme, est vietnamien, et parcourt le monde avec ses numéros de jonglage. Il vit aujourd'hui entre l'Allemagne et le Canada, où il a rejoint le Cirque du Soleil.
Ensemble, ils ont conçu Làng Tôi, mon village avec vingt jeunes artistes débauchés du Cirque national vietnamien, gros ensemble traditionnel formé sous la triple influence chinoise, française (pendant la période coloniale) et russe (depuis l'indépendance). Nouveau Cirque oblige, pas d'animaux, pas de performance pour la performance : Làng Tôi, mon village mêle acrobatie, jonglage et musique dans des numéros qui s'enchaînent comme autant de moments de la vie d'un village traditionnel.
La belle idée est d'avoir utilisé le tronc de bambou, matériau ancestral s'il en est, comme fil rouge de tout le spectacle. Avec juste quelques bouts de ficelle ou quelques lanières de pneus de vélo, les artistes du Nouveau Cirque du Vietnam composent et recomposent à l'infini des architectures mouvantes et superbes : huttes, nids, maisons sur pilotis, cabanes, radeaux, nacelles, ponts suspendus, etc.
Le meilleur du spectacle est là, dans les évolutions de ces constructeurs de l'éphémère, en perpétuel (dés)équilibre : sur le sol de terre ocre, la construction de ces fragiles installations s'opère grâce aux corps souples, aériens, bondissants des jeunes circassiens vietnamiens. Elle permet toutes les figures acrobatiques possibles, et l'invention d'images fantastiques, comme celles de cette jeune contorsionniste qui évolue de branche en branche, troublante créature en qui on ne reconnaît plus ni l'homme ni l'animal, mais une étrange déclinaison des deux ensemble.
Pure grâce
Le meilleur du spectacle est aussi dans des "numéros" de pure grâce, poésie et invention, à l'image de ce jonglage musical inédit : au sol, un percussionniste avec une sorte de calebasse, à ses côtés, deux hommes avec des bâtons. Dans cette version zen d'"Il tape sur des bambous et c'est numéro un" (Philippe Lavil), c'est la manière dont les bâtons voltigent et viennent percuter la calebasse qui crée la musique. Magique.
Mais Làng Tôi, mon village n'évite pas toujours le piège de l'exotisme, avec sa vision, un peu image d'Epinal tout de même, de son village vietnamien en ses travaux et ses jours. Comme si, au Vietnam, la douleur de l'Histoire n'existait pas.
Làng Tôi, mon village, par le Nouveau Cirque du Vietnam, Grande Halle de La Villette, salle Charlie-Parker, Paris 19e. Mo Porte-de-Pantin. Tél. : 01-40-03-75-75. jusqu'au 23 juillet. Du mardi au samedi, à 20 h 30. De 10 € à 26 €. Durée : 1 h 10.
http://www.lemonde.fr/ete/article/2011/07/11/vols-au-dessus-d-un-nid-de-bambou_1547346_1383719.html
On doit ce Nouveau Cirque du Vietnam à trois hommes : Nhat Ly Nguyen, Lan Nguyen et Le Tuan Anh. Les deux premiers sont frères, et français d'origine vietnamienne. Ils ont passé leur jeunesse entre la France et le Vietnam, et ont été élèves à l'école nationale de cirque d'Hanoï.
Nhat Ly, qui a pas mal bourlingué comme clown et musicien, a fondé à Hanoï l'agence Scènes du Vietnam, qui se consacre à la production du spectacle vivant. Lan Nguyen, qui a travaillé au Cirque Plume, est aujourd'hui le coordinateur artistique d'Arc en cirque, l'école de cirque de Chambéry (Savoie). Le Tuan Anh, le troisième homme, est vietnamien, et parcourt le monde avec ses numéros de jonglage. Il vit aujourd'hui entre l'Allemagne et le Canada, où il a rejoint le Cirque du Soleil.
Ensemble, ils ont conçu Làng Tôi, mon village avec vingt jeunes artistes débauchés du Cirque national vietnamien, gros ensemble traditionnel formé sous la triple influence chinoise, française (pendant la période coloniale) et russe (depuis l'indépendance). Nouveau Cirque oblige, pas d'animaux, pas de performance pour la performance : Làng Tôi, mon village mêle acrobatie, jonglage et musique dans des numéros qui s'enchaînent comme autant de moments de la vie d'un village traditionnel.
La belle idée est d'avoir utilisé le tronc de bambou, matériau ancestral s'il en est, comme fil rouge de tout le spectacle. Avec juste quelques bouts de ficelle ou quelques lanières de pneus de vélo, les artistes du Nouveau Cirque du Vietnam composent et recomposent à l'infini des architectures mouvantes et superbes : huttes, nids, maisons sur pilotis, cabanes, radeaux, nacelles, ponts suspendus, etc.
Le meilleur du spectacle est là, dans les évolutions de ces constructeurs de l'éphémère, en perpétuel (dés)équilibre : sur le sol de terre ocre, la construction de ces fragiles installations s'opère grâce aux corps souples, aériens, bondissants des jeunes circassiens vietnamiens. Elle permet toutes les figures acrobatiques possibles, et l'invention d'images fantastiques, comme celles de cette jeune contorsionniste qui évolue de branche en branche, troublante créature en qui on ne reconnaît plus ni l'homme ni l'animal, mais une étrange déclinaison des deux ensemble.
Pure grâce
Le meilleur du spectacle est aussi dans des "numéros" de pure grâce, poésie et invention, à l'image de ce jonglage musical inédit : au sol, un percussionniste avec une sorte de calebasse, à ses côtés, deux hommes avec des bâtons. Dans cette version zen d'"Il tape sur des bambous et c'est numéro un" (Philippe Lavil), c'est la manière dont les bâtons voltigent et viennent percuter la calebasse qui crée la musique. Magique.
Mais Làng Tôi, mon village n'évite pas toujours le piège de l'exotisme, avec sa vision, un peu image d'Epinal tout de même, de son village vietnamien en ses travaux et ses jours. Comme si, au Vietnam, la douleur de l'Histoire n'existait pas.
Làng Tôi, mon village, par le Nouveau Cirque du Vietnam, Grande Halle de La Villette, salle Charlie-Parker, Paris 19e. Mo Porte-de-Pantin. Tél. : 01-40-03-75-75. jusqu'au 23 juillet. Du mardi au samedi, à 20 h 30. De 10 € à 26 €. Durée : 1 h 10.
http://www.lemonde.fr/ete/article/2011/07/11/vols-au-dessus-d-un-nid-de-bambou_1547346_1383719.html
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"Paris - Delhi - Bombay..."
Du 25 mai au 19 septembre 2011, le Centre Pompidou présente "Paris - Delhi - Bombay...", une exposition inédite qui invite à découvrir la société indienne contemporaine à travers les regards croisés d'artistes indiens et français, avec pour ambition de générer des échanges et de tisser des liens durables entre les deux cultures, les deux scènes artistiques.
Ce film est une co-production Daca-Centre Pompidou et Let's Pix
Pour en savoir + http://blog.paris3e.fr/post/2011/06/10/Paris-Delhi-Bombay-Centre-pompidou-beaubourg
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens





J'y cours dès mon arrivée.
J'avais trop aimé "Chalo India" au musée Mori à Tokyo, il y a 2 ans, et je retrouve quelques oeuvres en commun!!!!!
http://www.mori.art.museum/english/contents/india/index.html

cipiki- Localisation : tokyo
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T.H.E.Dance Compagny, "Langage mouvements"
A l'ocasion du Singapour Festivarts, reportage au Musée du quai Branly à la découverte de la surprenante troupe de danse contemporaine & multimédia (Singapour), T.H.E. Dance Company.
"Cette compagnie de danse contemporaine, dirigée par le jeune chorégraphe Kuik Swee Boon, propose O Sounds, une œuvre à la croisée de la chorégraphie et du multimédia. Leur univers sonore nous entraîne du tumulte de la ville vers la sérénité des chants funéraires taoïstes". Musée du quai Branly
source http://www.mondomix.com/events/musee-quai-branly-2010-11/singapour-festivarts.htm
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens


Un petit saut à photquai avant avant mon retour
cipiki- Localisation : tokyo
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Avec l'iphone j'ai posté en direct quelques photos ici cet aprem
http://www.asiesudest.com/2011/09/photoquai-paris-quai-branly.html
Sinon il y a aussi une expo photo sympa sur les grilles du jardin du luxembourg
http://www.asiesudest.com/2011/09/photoquai-paris-quai-branly.html
Sinon il y a aussi une expo photo sympa sur les grilles du jardin du luxembourg

thanaka- Admin
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
Juste un petit coup d'oeil sur quelques photos pour garder l'effet de surprise. Pas mal... à suivre.
Pourvu que la journée du patrimoine ne soit pas trop folle samedi.
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cipiki- Localisation : tokyo
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Exposition : Passion Indochine
Les univers du Vietnam, du Laos et du Cambodge du temps du protectorat français sont à découvrir au Parc floral de Paris.

En écho, présentées sur un support aérien dans chacun des pavillons, d’immenses épreuves de clichés réalisés par le photographe Francis Fanelli porteront sur les peuples, les paysages, les cités du Laos. (Francis Fanelli)
Vietnam, Laos, Cambodge : ces trois fabuleux royaumes placés bon gré, mal gré sous le protectorat de la France ou plus simplement réduits à l’état de colonie, allaient peu à peu former ce qu’on appellera l’Indochine dès le règne de Napoléon III.
Photographies de Marc Riboud
Pour la première fois unis dans ce genre d’entreprise, les trois pays font l’objet d’une manifestation baptisée "Passion Indochine" au Parc floral de Paris. Durant trois jours, le public pourra admirer des danses et des musiques traditionnelles, jouir des parfums et des saveurs de l’excellente cuisine des trois peuples, découvrir un artisanat extrêmement raffiné, toujours inventif et vigoureux. Dispersée sur trois pavillons, une exposition photographique organisée par la compagnie aérienne Vietnam Airlines donne à voir les clichés d’un photographe aussi illustre que Marc Riboud, ceux d’un Vietnamien né au Laos, Lâm Duc Hiên, ou ceux du Français Nicolas Cornet. Des photographies à l’atmosphère prenante chez Marc Riboud, mais aussi celles de paysages magnifiques, de monuments légendaires, et surtout des clichés dévoilant la vie quotidienne de ces trois peuples si profondément différents.
En écho, présentées sur un support aérien dans chacun des pavillons, et dans certaines gares du réseau métroplitain, d’immenses épreuves de clichés réalisés par le photographe Francis Fanelli porteront sur les peuples, les paysages, les cités du Laos.
Danses traditionelles
Parmi les danses offertes au public, des extraits du répertoire fascinant du Ballet royal du Cambodge, et moins connues, des danses populaires de l’ancien royaume du Laos et d’autres qui agrémentaient les fêtes dans les différentes régions du Vietnam, Tonkin, Annam et Cochinchine.
Initiations aux arts martiaux, aux danses, à l’artisanat, création d’ensembles végétaux exotiques évoquant ici la baie d’Halong, là le site des temples d’Angkor, complètent cet aperçu sur les trois pays. L’exposition "Passion Indochine" a lieu non loin de l’emplacement de la célèbre Exposition coloniale, de brillante et sinistre mémoire, qui permit jadis à Antonin Artaud de découvrir les danses balinaises et à des millions de visiteurs européens de l’entre-deux-guerres d’appréhender souvent pour la première fois ce qui faisait la richesse de l’Indochine ainsi que celle de tous les pays de l’Asie, de l’Afrique et de l’Océanie alors placés sous domination occidentale.
Raphaël de Gubernatis - Le Nouvel Observateur
PARC FLORAL DE PARIS, du 30 septembre au 1er octobre. Entré libre de 10h à 18h.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/culture/20110928.OBS1298/exposition-passion-indochine.html

En écho, présentées sur un support aérien dans chacun des pavillons, d’immenses épreuves de clichés réalisés par le photographe Francis Fanelli porteront sur les peuples, les paysages, les cités du Laos. (Francis Fanelli)
Vietnam, Laos, Cambodge : ces trois fabuleux royaumes placés bon gré, mal gré sous le protectorat de la France ou plus simplement réduits à l’état de colonie, allaient peu à peu former ce qu’on appellera l’Indochine dès le règne de Napoléon III.
Photographies de Marc Riboud
Pour la première fois unis dans ce genre d’entreprise, les trois pays font l’objet d’une manifestation baptisée "Passion Indochine" au Parc floral de Paris. Durant trois jours, le public pourra admirer des danses et des musiques traditionnelles, jouir des parfums et des saveurs de l’excellente cuisine des trois peuples, découvrir un artisanat extrêmement raffiné, toujours inventif et vigoureux. Dispersée sur trois pavillons, une exposition photographique organisée par la compagnie aérienne Vietnam Airlines donne à voir les clichés d’un photographe aussi illustre que Marc Riboud, ceux d’un Vietnamien né au Laos, Lâm Duc Hiên, ou ceux du Français Nicolas Cornet. Des photographies à l’atmosphère prenante chez Marc Riboud, mais aussi celles de paysages magnifiques, de monuments légendaires, et surtout des clichés dévoilant la vie quotidienne de ces trois peuples si profondément différents.
En écho, présentées sur un support aérien dans chacun des pavillons, et dans certaines gares du réseau métroplitain, d’immenses épreuves de clichés réalisés par le photographe Francis Fanelli porteront sur les peuples, les paysages, les cités du Laos.
Danses traditionelles
Parmi les danses offertes au public, des extraits du répertoire fascinant du Ballet royal du Cambodge, et moins connues, des danses populaires de l’ancien royaume du Laos et d’autres qui agrémentaient les fêtes dans les différentes régions du Vietnam, Tonkin, Annam et Cochinchine.
Initiations aux arts martiaux, aux danses, à l’artisanat, création d’ensembles végétaux exotiques évoquant ici la baie d’Halong, là le site des temples d’Angkor, complètent cet aperçu sur les trois pays. L’exposition "Passion Indochine" a lieu non loin de l’emplacement de la célèbre Exposition coloniale, de brillante et sinistre mémoire, qui permit jadis à Antonin Artaud de découvrir les danses balinaises et à des millions de visiteurs européens de l’entre-deux-guerres d’appréhender souvent pour la première fois ce qui faisait la richesse de l’Indochine ainsi que celle de tous les pays de l’Asie, de l’Afrique et de l’Océanie alors placés sous domination occidentale.
Raphaël de Gubernatis - Le Nouvel Observateur
PARC FLORAL DE PARIS, du 30 septembre au 1er octobre. Entré libre de 10h à 18h.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/culture/20110928.OBS1298/exposition-passion-indochine.html
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Re: Réservé uniquement aux Parisiennes & Parisiens
http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/arte-journal/4178456.html[img]
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cipiki- Localisation : tokyo
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Maori: une lutte pour les traditions expliquée au quai Branly

PARIS (AP) — Tatouage, haka, physique impressionnant, le grand public connaît les Maoris à travers quelques clichés d'actualité avec la Coupe du monde de rugby. L'exposition présentée à partir de mardi au musée du quai Branly a l'avantage d'offrir un panorama de la vivacité de la culture et des traditions maories, à travers de 250 oeuvres issues de la collection du musée de Te Papa Tongarewa, en Nouvelle-Zélande.
Conçue par les Maoris eux-mêmes, l'exposition "Maori, leurs trésors ont une âme" met en exergue la lutte pour leur autodétermination et la préservation de leur identité en Nouvelle-Zélande, pays où ils sont arrivés il y a plus de mille ans, autour des grands concepts qui animent le peuple maori.
"Nous voulions montrer au public français que la culture maorie reste très forte et vivante, notamment grâce à la langue (te reo maori) et au tatouage (ta moko)", qui ont connu un nouvelle vigueur dans les années 70 au moment de la lutte pour leurs terres, explique Michelle Hippolite, co-directrice du musée Te Papa Tongarewa de Wellington et cheffe maorie elle-même (kaihautu).
Depuis l'arrivée des Européens en Nouvelle-Zélande (Aotearoa en maori) au XVIIIe siècle, les Maori tentent de préserver le principe de tino tangatiratanga, "le contrôle des Maoris sur toute chose maorie" qui est le fil rouge de cette exposition, créée et présentée en Nouvelle-Zélande, entre avril et juin dernier.
Malgré un traité signé avec la couronne britannique en 1840, les Maoris ont perdu petit à petit leurs terres et, au fil de la visite, sont ainsi rappelés les combats récents pour se réapproprier les terres de leurs ancêtres, comme la Land March de 1975 qui a vu entre 30.000 à 40.000 personnes marcher plus d'un millier de kilomètres entre le village de Te Hapua jusqu'au Parlement de Wellington, pour défendre le principe de "plus un seul hectare de terre maorie" cédée.
Au centre de ces luttes, le whakapapa, le lien de parenté entre les peuples, les régions tribales, et les relations entre le temps, l'espace et les générations. Ce rôle de la généalogie avec l'appartenance à une famille, une sous-tribu et une tribu, se retrouve notamment dans le tatouage traditionnel. Exemple très fort avec le masque en plâtre de Wiremu Te Manewha, moulé sur son visage en 1885, sur lequel ont été reproduits les tatouages traditionnels.
Ces tatouages sur l'ensemble du visage et sur le corps indiquent l'identité de la personne, ses accomplissements et sa place dans la tribu. Femmes comme hommes se tatouaient le visage (lèvres, menton et front pour les femmes) une pratique qui semblait s'éteindre au début du XXe siècle et qui connaît un renouveau avec des techniques moins douloureuses. Auparavant, les tatouages étaient réalisés avec des lames de ciseaux, qui causaient de profonds sillons dans la peau, et un gonflement du visage, au point que le nouveau tatoué ne pouvait plus bouger et devait être nourri avec un entonnoir...
Autre élément fort de la culture maorie, la maison de réunion ancestrale (whare tupuna). Erigée à partir du XIXe siècle, elle était sculptée pour représenter le corps de l'ancêtre à l'intérieur duquel on trouvait refuge. Encore aujourd'hui la whare tupuna, dont une a été partiellement reconstruite pour l'exposition, reste un centre spirituel, culturel et physique de réunion des communautés maories, où sont par exemple célébrées les funérailles. AP
"Maori - Leurs trésors ont une âme, musée du Quai Branly.
Du 4 octobre 2011 au 22 janvier 2012
Sur le Net: www.quaibranly.fr
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