Graffitis, affiches, pub, peintures, sculptures, art

Music. Tents. Omelettes. Massages. If you want a true “Thai” experience, head to Thailand’s biggest music festival, the third annual Big Mountain Music Festival (BMMF3) on December 10-11, 2011 in Bonanza Khao Yai, Nakhon Ratchasima. Most tourists travelling through Thailand don’t get to experience Thai music, besides the occasional Thai hit blasting on your taxi’s radio, so this festival is a perfect way to fully immerse yourself in young Thai culture.

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http://www.travelfish.org/blogs/bangkok/2011/12/02/thailands-big-mountain-music-festival/

Va nu pieds (sangkhlaburi)



Va nu mains (frontière birmane)

Bangkok

la suite ici http://asiapacific.anu.edu.au/newmandala/2012/02/08/urban-art-in-yangon/

Somewhere en ASE

Site web http://www.bkkgraff.com/

En Birmanie, certains artistes utilisent les murs des villes comme terrain d’expression, y compris pour des messages politiques. C’est comme un test pour mesurer la tolérance des autorités.

Les dirigeants birmans ont engagé ces derniers mois des réformes visant à libéraliser le pays. Mais après des décennies de dictature militaire, les artistes savent qu’ils restent sous contrôle. “Il n’y a pas eu d’arrestation, reconnaît un jeune taggeur sous couvert d’anonymat, mais certains d’entre nous ont quand même été obligés de signer un papier pour dire qu’ils ne recommenceraient pas”.

“Aux yeux de certains, ajoute un autre artiste, ce qu’on fait, c’est du vandalisme. Mais nous, on prend soin de ne pas peindre nos oeuvres sur les murs des écoles ou des bâtiments religieux. Nos oeuvres, on les fait sur les murs d’endroits ayant une connotation particulière à nos yeux”.

Parmi les messages politiques des taggeurs, il y a par exemple la dénonciation des coupures d‘électricité ou encore la lutte contre la maltraitance des enfants.

http://fr.euronews.com/2012/08/26/birmanie-les-tags-urbains-preuve-d-une-libre-expression/

Bangkok http://www.v64artstudio.com/welcome/

Yangon, le 6 décembre 2012, Art Media Agency (AMA).

Le Washington Post et Art Daily font part du mécontentement des artistes grapheurs du Myanmar interdits de s’exprimer sur les murs de la plus grosse ville du pays, Yangon.

En effet, depuis lundi 3 décembre, les autorités de Yangon interdisent les graffitis sur les murs des bâtiments publics, les routes, les ponts, ainsi que dans les parcs et les écoles. Cette décision fait suite à celles prises dans de nombreux pays voisins au Myanmar. Enfreindre la règle entraînera automatiquement des sanctions.

Bien que les grapheurs ne soient pas surpris de cette décision, ils ne comptent pas mettre un terme à leurs activités. Nombreux déclarent d’ores et déjà qu’ils continueront de dessiner malgré l’interdiction. Ils espèrent également que le gouvernement leur fournira une marge de manœuvre afin qu’ils puissent tout de même s’exprimer, et ce en toute légalité.

Pour le grapheur Arker Kyaw, âgé de 19 ans, « la psychologie des jeunes les pousse encore plus à faire quelque chose si c’est interdit ». Il ajoute que « les autorités devraient laisser les grapheurs peindre dans des espaces publics appropriés ».

http://www.artmediaagency.com/59106/les-grapheurs-du-myanmar-interdits-de-sexprimer/

http://bangkok.coconuts.co/2013/11/29/amid-chaos-thai-street-artists-spray-themselves-conversation