Eléphants - The Last Mahout
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Re: Eléphants - The Last Mahout
In the past 100 years, the Asian elephant population has declined by 90%; the extent of their available habitat has shrunk by 95% in the same time.
The Asian Elephant Foundation is fighting for the conservation of this magnificent animal and asked Punto14 to film a brief video showing the situation of the elephant in Thailand to use in their preservation center in Chiang Mai.
http://www.theasianelephantfoundation.org/
CREDITS:
A Punto14 production 2012.
Shooting + editing + coloring: Thomas Cristofoletti
Shooting: David Terrazas
Thanks to:
- Katherine Connor of Boon Lott's Elephant Sanctuary
- Antoinette van de Water and Dutsadee Nilubol of Bring the Elephant Home
- Agnes Verheek of Elephants World
- The rangers of Kui Buri National Park
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Indonésie: 3 éléphants protégés tués
Trois éléphants de Sumatra, une espèce menacée d'extinction, ont été retrouvés morts en Indonésie, vraisemblablement empoisonnés par des employés d'une plantation de palmiers à huile qui leur reprochaient d'avoir détruit leurs paillotes, a-t-on appris aujourd'hui de source officielle.
Les corps décomposés des éléphantes, dont un éléphanteau d'un an, ont été retrouvés samedi à la lisière du parc national Tesso Nilo, dans la province de Riau (nord-ouest), a indiqué à l'AFP le responsable du parc, Kupin Simbolon. "Nous croyons qu'elles sont mortes il y a une semaine, après un empoisonnement présumé. Les éléphantes sont probablement entrées dans la plantation de palmiers à huile et ont détruit des paillotes appartenant à des employés, qui ont voulu se venger en les empoisonnant", a-t-il ajouté.
Au moins 17 pachidermes sont morts cette année dans ce même parc et aux environs, la plupart à la suite d'empoisonnements présumés, a précisé Kupin Simbolon. "Ces éléphants sont protégés. Nous ne devrions pas laisser faire", a-t-il déclaré.
L'Indonésie est le premier producteur mondial d'huile de palme et les organisations écologistes accusent souvent les plantations de détruire l'habitat des espèces animales gravement menacées. Moins de trois mille éléphants de Sumatra vivent encore à l'état sauvage, selon l'International Union for Conservation of Nature, ce qui représente une chute de moitié par rapport à 1985.
http://www.lefigaro.fr/
Les corps décomposés des éléphantes, dont un éléphanteau d'un an, ont été retrouvés samedi à la lisière du parc national Tesso Nilo, dans la province de Riau (nord-ouest), a indiqué à l'AFP le responsable du parc, Kupin Simbolon. "Nous croyons qu'elles sont mortes il y a une semaine, après un empoisonnement présumé. Les éléphantes sont probablement entrées dans la plantation de palmiers à huile et ont détruit des paillotes appartenant à des employés, qui ont voulu se venger en les empoisonnant", a-t-il ajouté.
Au moins 17 pachidermes sont morts cette année dans ce même parc et aux environs, la plupart à la suite d'empoisonnements présumés, a précisé Kupin Simbolon. "Ces éléphants sont protégés. Nous ne devrions pas laisser faire", a-t-il déclaré.
L'Indonésie est le premier producteur mondial d'huile de palme et les organisations écologistes accusent souvent les plantations de détruire l'habitat des espèces animales gravement menacées. Moins de trois mille éléphants de Sumatra vivent encore à l'état sauvage, selon l'International Union for Conservation of Nature, ce qui représente une chute de moitié par rapport à 1985.
http://www.lefigaro.fr/
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Thailande
Une semaine de « volontariat » à partager la vie des éléphants et de leur mahout.
http://www.ganeshapark.com/volontariat.htm
http://www.ganeshapark.com/volontariat.htm
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The Elephant Valley Project - Cambodia
While making a documentary in Cambodia, i volunteered my camera skills at the ecotourist project, myself and Jai Rafferty spent two days at the project witnessing the behavior of these gigantic animals, and were truly impressed with how Jack Highwood and friends had brought these over worked animals back to a natural environment and a normal way of life.
They're Non Government Organisation (NGO) the Elephant Livelihood Initiative Environment (E.L.I.E) and The Elephant Valley Project are based in Sen Monorom, Mondulkiri Cambodia.
E.L.I.E.’s primary goal is to improve the health and welfare of domestic elephants in Mondulkiri Province. The secondary goal is to work with the people and the problems that face them.
E.L.I.E now runs a number of projects in Mondulkiri to help achieve our goals, including an elephant research and monitoring program, mobile veterinarian program and an indigenous community based organisation program. Not forgetting of course our Elephant Valley Project, an ecotourism project that provides an alternative approach to elephant care, rehabilitation and conservation.
http://www.elephantvalleyproject.org/
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Le tourisme thaïlandais au coeur du trafic des éléphants d'Asie
BANGKOK - Le plus gros animal terrestre passe difficilement les frontières incognito. Mais rien n'arrête les trafiquants qui, selon des militants, alimentent en éléphants les attractions touristiques de Thaïlande et menacent encore un peu plus l'espèce asiatique du pachyderme.
Ces éléphants d'Asie, dont les femelles sont dépourvues de défenses, ne font pas les gros titres comme leurs cousins africains, abattus pour leur ivoire et qui seront l'une des stars de la réunion s'ouvrant dimanche à Bangkok de la Convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction (Cites).
Mais ils sont eux aussi en danger, notamment sous la pression d'une industrie touristique accusée d'être des plus voraces. Tout le monde, même les soi-disant centres de préservation, essaient d'acheter des éléphants, estime ainsi John Roberts, de la Golden Triangle Asian Elephant Foundation.
En 1989, les éléphants domestiques de Thaïlande, qui a fait du pachyderme l'un de ses emblèmes nationaux, s'étaient retrouvés au chômage après l'interdiction des exploitations forestières. Mais ils ont été reconvertis dans le tourisme.
Les camps et autres zoos qui exhibent les mastodontes dans des spectacles de funambule, des matchs de foot ou encore des concours de peinture, emploient la quasi totalité des 4.000 éléphants domestiques du pays (contre 2.000 à l'état sauvage).
Et le nombre de bébés qui entrent dans le système est supérieur à ce qui semble possible par reproduction naturelle, souligne Roberts, qui a lui-même décidé il y a sept ans de ne plus acheter d'éléphants pour son camp, où vivent 26 pensionnaires.
Je ne vois pas comment acheter un éléphant sans provoquer le trafic d'un autre, regrette-t-il, soulignant qu'un mahout remplace systématiquement son animal. Du coup, les prix explosent, de 500.000 à 2 millions de bahts (12.000 à 50.000 euros) par bébé, selon les estimations.
Certains imagineraient de complexes scénarios, mais l'option la plus logique est de prendre une route normale, relève Vincent Nijman, spécialiste du commerce d'espèces sauvages à l'université d'Oxford Brooks. L'éléphant peut être dans un camion ou même marcher devant des douaniers corrompus.
Une analyse partagée par des défenseurs de l'environnement qui dénoncent la capture en Birmanie d'éléphanteaux sauvages, revendus ensuite dans un des 150 camps thaïlandais.
L'ONG britannique Elephant Family estime à entre 50 à 100 le nombre de bébés ou de jeunes femelles vendus chaque année de l'autre côté de la frontière. La Thaïlande est sans aucun doute une plaque-tournante, accuse Dan Bucknell, l'un de ses responsables.
La situation n'est guère plus enviable de l'autre côté de la péninsule, au Laos.
Il ne reste que 480 éléphants domestiques au pays du million d'éléphants, indique Gilles Maurer, responsable de l'ONG Elephantasia, qui évoque une espèce en danger avec près de 90% des animaux âgés de plus de 20 ans. Et en ligne de mire un risque d'extinction d'autant plus rapide que des bébés sont exportés.
A terme, la perspective pèse sur l'espèce toute entière. Car une fois les éléphants domestiques disparus, craint-il, il y a un risque très fort que des braconniers capturent des sauvages qui ne sont déjà plus que 300 à 500 dans l'ensemble du Laos, en raison de la dégradation de leur habitat naturel.
En 2012, les autorités thaïlandaises ont mené des contrôles dans les camps et saisi quelque 25 animaux, dont 19 sans-papier restent sous leur protection.
Mais les militants réclament une réforme de la loi. La Thaïlande a besoin d'un suivi plus transparent de la population et des naissances, insiste Petch Manopawitr, du Fonds mondial pour la nature (WWF), plaidant pour la mise en place d'une base de données, via des micropuces ou des tests ADN.
http://www.romandie.com/news/n/_Le_tourisme_thailandais_au_coeur_du_trafic_des_elephants_d_Asie88020320130940.asp?
Ces éléphants d'Asie, dont les femelles sont dépourvues de défenses, ne font pas les gros titres comme leurs cousins africains, abattus pour leur ivoire et qui seront l'une des stars de la réunion s'ouvrant dimanche à Bangkok de la Convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction (Cites).
Mais ils sont eux aussi en danger, notamment sous la pression d'une industrie touristique accusée d'être des plus voraces. Tout le monde, même les soi-disant centres de préservation, essaient d'acheter des éléphants, estime ainsi John Roberts, de la Golden Triangle Asian Elephant Foundation.
En 1989, les éléphants domestiques de Thaïlande, qui a fait du pachyderme l'un de ses emblèmes nationaux, s'étaient retrouvés au chômage après l'interdiction des exploitations forestières. Mais ils ont été reconvertis dans le tourisme.
Les camps et autres zoos qui exhibent les mastodontes dans des spectacles de funambule, des matchs de foot ou encore des concours de peinture, emploient la quasi totalité des 4.000 éléphants domestiques du pays (contre 2.000 à l'état sauvage).
Et le nombre de bébés qui entrent dans le système est supérieur à ce qui semble possible par reproduction naturelle, souligne Roberts, qui a lui-même décidé il y a sept ans de ne plus acheter d'éléphants pour son camp, où vivent 26 pensionnaires.
Je ne vois pas comment acheter un éléphant sans provoquer le trafic d'un autre, regrette-t-il, soulignant qu'un mahout remplace systématiquement son animal. Du coup, les prix explosent, de 500.000 à 2 millions de bahts (12.000 à 50.000 euros) par bébé, selon les estimations.
Certains imagineraient de complexes scénarios, mais l'option la plus logique est de prendre une route normale, relève Vincent Nijman, spécialiste du commerce d'espèces sauvages à l'université d'Oxford Brooks. L'éléphant peut être dans un camion ou même marcher devant des douaniers corrompus.
Une analyse partagée par des défenseurs de l'environnement qui dénoncent la capture en Birmanie d'éléphanteaux sauvages, revendus ensuite dans un des 150 camps thaïlandais.
L'ONG britannique Elephant Family estime à entre 50 à 100 le nombre de bébés ou de jeunes femelles vendus chaque année de l'autre côté de la frontière. La Thaïlande est sans aucun doute une plaque-tournante, accuse Dan Bucknell, l'un de ses responsables.
La situation n'est guère plus enviable de l'autre côté de la péninsule, au Laos.
Il ne reste que 480 éléphants domestiques au pays du million d'éléphants, indique Gilles Maurer, responsable de l'ONG Elephantasia, qui évoque une espèce en danger avec près de 90% des animaux âgés de plus de 20 ans. Et en ligne de mire un risque d'extinction d'autant plus rapide que des bébés sont exportés.
A terme, la perspective pèse sur l'espèce toute entière. Car une fois les éléphants domestiques disparus, craint-il, il y a un risque très fort que des braconniers capturent des sauvages qui ne sont déjà plus que 300 à 500 dans l'ensemble du Laos, en raison de la dégradation de leur habitat naturel.
En 2012, les autorités thaïlandaises ont mené des contrôles dans les camps et saisi quelque 25 animaux, dont 19 sans-papier restent sous leur protection.
Mais les militants réclament une réforme de la loi. La Thaïlande a besoin d'un suivi plus transparent de la population et des naissances, insiste Petch Manopawitr, du Fonds mondial pour la nature (WWF), plaidant pour la mise en place d'une base de données, via des micropuces ou des tests ADN.
http://www.romandie.com/news/n/_Le_tourisme_thailandais_au_coeur_du_trafic_des_elephants_d_Asie88020320130940.asp?
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Burma - Wild Elephant Poaching Increases in Pegu
The son of Myint Wai, a resident from Pegu Division, shows the skull of a wild elephant that was killed by hunters earlier this year along the Pegu mountain range. (Photo: JPaing / The Irrawaddy)
BAW NI, Pegu Division — From Mile 58 on the newly built Rangoon-Naypyidaw highway, Myint Wai walks about four miles into a jungle, through the Pegu mountain range.
He is returning to the site where he recently discovered skeletons of several dead elephants, and he talks along the way about the hunters who killed them, hoping to trade their skins and valuable tusks.
“More than 20 wild elephants were killed by hunters [this year],” he tells The Irrawaddy. “These hunters have been slaughtering wild elephants since 2010. I estimate that several dozens of elephants have been killed so far. And there are many places I can’t reach.”
Myint Wai, a local resident in Pegu Division, northeast of Rangoon, points to a homemade map of the mountain range, identifying sites where he found the dead carcasses most recently. Some sites are deep in the jungle, he says, adding that he walked for several days to get there.
One of the closest sites lies two hours from the highway, over a rough walking path and across small muddy streams filled with leeches. When Myint Wai reached the location, he gestured toward the skeletons and explained that a group of local hunters from Baw Ni village, in Pegu Division’s Daik-U Township, were responsible.
The skeletons of one elephant were hidden under bamboo brush. The animal was killed in April, Myint Wai says, and some of the rib bones were scattered along the stream. “The age of this elephant could have been between 50 and 60,” he says, gesturing toward a skull, pierced with two bullet holes.
Hunting wild elephants is illegal in Daik-U Township, but poachers often disobey, trading the skin and tusks illegally inside Burma and over the border to Thailand. The skin from one elephant can sell for about 10 million kyats (US$10,000) in illegal markets.
Last month three elephants ran into Baw Ni village late one night, trying to escape from hunters, who continued trying to shoot them in the village.
“This illegal trade has been going on for a long time. Nobody seems interested or aware, but it’s getting worse every year,” Myint Wai says, adding that he raised the issue with National League for Democracy (NLD) member Nyan Win when they met two weeks ago. “I can’t sit and let this happen any longer. I feel bad for these animals. So I decided to raise this issue by reporting this case to the local police. I also reported it to an MP, asking to raise the issue in Parliament.”
He says his journeys into the jungle are risky. “I have no gun, but they [the hunters] do. I was even threatened by some local people who were involved in this case. They said they knew who was talking to media about the elephant slaughters.”
Local people say there are different groups of elephant hunters who use a waterway at the Baw Ni dam to carry the skins by boats after killing the animals. One suspect—a man from Thaton Township in Mon State who is married to a woman in Baw Ni village—is wanted by the police after being accused of participating in the illegal trade.
More than 150 wild elephants live on the Pegu mountain range, locals say. More elephants lived in the area in the past, but they have struggled to survive amid the hunting as well as logging.
“There were 10 miles of flat land before reaching the mountain range of Pegu in the past,” said Han Zaw Win, an environmentalist in the area. “But much of the jungle was cut down. It’s hard for the elephants to survive.”
In January, residents and lawmakers from Irrawaddy Division’s Ngaputaw Township reported the deaths of five elephants within seven months by hunters.
http://www.irrawaddy.org/burma/multimedia-burma/wild-elephant-poaching-increases-pegu.html
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